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David Le Breton

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Message par topocl Dim 18 Déc - 16:35

David Le Breton
Né en 1953


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David Le Breton (né le 26 octobre 1953) est professeur à l'Université de Strasbourg, membre de l'Institut universitaire de France et chercheur au laboratoire Cultures et Sociétés en Europe. Anthropologue et sociologue français, il est spécialiste des représentations et des mises en jeu du corps humain qu'il a notamment étudiées en analysant les conduites à risque.

Principales publications

  Corps et société, 1985.
  Anthropologie du corps et modernité, 1990
  Passions du risque, Éditions Métailié, 1999
  La Chair à vif, Usages médicaux et mondains du corps humain, 1993
  Du silence, 1997
  Usages culturels du corps (avec Colette Méchin et Isabelle Bianquis), 1997
  Anthropologie du sensoriel (avec Colette Méchin et Isabelle Bianquis), 1998
  L'Adieu au corps, 1999
  Éloge de la marche, 2000
  Le corps, son ombre et son double (avec Colette Méchin et Isabelle Bianquis), 2000
  L'Adolescence à risque, 2002
  Conduites à risque, 2002
  Signes d'identité. Tatouages, piercings et autres marques corporelles, 2002
  La Sociologie du corps, 2002
  Des visages, 2003
  La Peau et la Trace. Sur les blessures de soi, 2003
  L'Interactionnisme symbolique, 2004
  Les Passions ordinaires. Anthropologie des émotions, 2004
  Le théâtre du monde. Lectures de Jean Duvignaud, 2004
  Le corps et ses orifices (avec Colette Méchin et Isabelle Bianquis, 2004
  Jeunesse à risque. Rite et passage. (Dir.) avec D. Jeffrey et J. J. Lévy, 2005
  Anthropologie du corps et modernité, 2005
  Anthropologie de la douleur, 2006
  La Saveur du monde. Une anthropologie des sens, 2006
  En souffrance. Adolescence et entrée dans la vie, 2007
  Mort sur la route, 2007
  Cultures adolescentes, Collectif, Paris, 2008
  La peau. Enjeu de société (avec B. Andrieu, G. Boëtsch, N. Pomarède, G. Vigarello), 2008
  Le silence et la parole contre les excès de communication, avec Philippe Breton, 2009
  Expériences de la douleur, 2010
  Dictionnaire de l'adolescence et de la jeunesse, Direction avec Daniel Marcelli, 2010
  Éclats de Voix. Une Anthropologie des voix, 2011
  La belle apparence (avec G. Boëtsch, N. Pomarède, G. Vigarello, B. Andrieu), 2011
  Marcher. Éloge des chemins et de la lenteur, 2012
  Sociologie du risque, 2012
  Corps abimés, (avec Denisa Butnaru), Québec, 2013
  L’Adieu au corps, 2013
  Adolescence et conduites à risque, 2014
  Disparaître de soi. Une tentation contemporaine, 2015
  Rites de virilité à l'adolescence, 2015
  Les défis de la douleur chronique (avec Anne Berquin et Jacques Grisart), 2016
  Corps et adolescence, 2016

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Message par topocl Dim 18 Déc - 16:36

Disparaître de soi
Une tentation contemporaine


David Le Breton Dispar10

Face à la demande de flexibilité extrême et d'efficacité à outrance, à la rupture des relations privilégiées liée à la mobilité, l'individu moderne est appelé à s' investir toujours plus et s'ajuster.Pour certains, le relâchement de l'effort , de l'engagement, de la présence à soi est une tentation, délibérée ou subie. David Breton postule sur la « blancheur », qui est une façon de prendre congé de soi, entre le lien social et le néant. Transitoire, elle peut être ludique , permettant une  réappropriation heureuse de l'existence, une façon de faire le mort dans un territoire intermédiaire pour mieux renaitre. Elle peut être au contraire pathologique (Burn out, dépression). Définitive, elle est source d'un désengagement total, d'une disparition, pour qui ne peut plus assumer les contraintes de son identité.

Après l'exposition de ce principe, qui, quand on regarde sa bibliographie, semble en être le point de capiton, David  Le Breton s'attache à décrypter quelques situations de blancheur dans des œuvres littéraires, chez des hommes célèbres, ainsi que chez monsieur tout le monde :
c'est dans l'adolescence et au temps de la vieillesse, ces deux époques de la vie qui demandent plus particulièrement des ressources adaptatives, que David le Breton va chercher ses exemples illustratifs parmi lesquels, les conduites à risque, l'anorexie ou le syndrome de glissement…

J'ai été un peu gênée par la façon, que j’ai trouvée un peu trop systématique, dont il  plaque son idée de blancheur sur de nombreuses situations psychologiques ou psychopathologiques, et une façon de laisser un peu de côté  les éléments organiques attachés aux différentes pathologies étudiées. Mais j'ai été cependant très intéressée par ce concept, j'y ai trouvé des clés face à certains comportements personnels, de mes proches ou de mes patients.

Quant à la conclusion, elle ne pouvait que me satisfaire :



  L'écriture, la lecture, la création de manière générale, la marche, le voyage, la méditation, etc. sont autant de refuges aux contours moins acérés (...). Ce sont des lieux où nul n'a plus de comptes à rendre, une suspension heureuse et joyeuse de soi, un détour qui ramène à soi après quelques heures ou quelques jours, ou davantage. Des moyens délibérés de retrouver sa vitalité, son intériorité, le goût de vivre.



 
La blancheur est un engourdissement, un laisser-tomber né de la difficulté à transformer les choses. Dans cet univers de la maîtrise qui s'impose dans l'ambiance de nos sociétés néolibérales, elle est une paradoxale volonté d'impuissance. Cesser de vouloir contrôler son existence et se laisser couler. Elle est une recherche délibérée de la pénurie dans le contexte social de la profusion des objets ; une passion de l'absence dans un univers marqué par une quête effrénée de sensations et d'apparence ; un souci de dépouillement là où l'ambiance sociale est hantée par l'emprise technologique et l'accumulation des biens ; une volonté d'effacement face à l'obligation de s'individualiser. Paradoxale préférence du moins au détriment du plus.

   cette figure de l'effacement (..)n'est pas une excentricité ou une pathologie, mais une expression radicale de liberté, celle du refus de collaborer en se tenant à distance ou en se soustrayant à la part la plus contraignante de l'identité au sein du lien social. [Ces histoires] nous disent ce mélange de force et de fragilité inhérents au sentiment de soi, et le fait que l'on peut aussi se défaire de soi pour s'inventer autre quand la nécessité intérieure domine.


   Le cours d'une vie n'est pas immuable, il n'est pas un long fleuve tranquille, mais un remaniement continuel de soi lié à l'âge, aux changements de conditions d'existence. Le monde en soi et le monde hors de soi n'existent qu'à travers les significations projetées à leur encontre. Le sentiment d'être soi, unique, solide, les pieds sur terre, est une fiction personnelle que les autres doivent en permanence étayer avec plus ou moins de bonne volonté. L'individu ne cesse jamais de naître. Ces conditions d'existence le changent en même temps qu'il influe sur elles. Il reste soi-même au fil du temps tout en se transformant insensiblement ou parfois brutalement sous le feu des circonstances. Il change pour demeurer le même. L'identité n'est pas l'identique mais le passage.

(commentaire récupéré)

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Message par topocl Dim 18 Déc - 16:38

Du silence

David Le Breton Du-sil10


Le livre aborde le silence sous un aspect sociologique, psychologique et anthropologique. Il traite essentiellement le sujet sur le versant absence de parole et dans ce sens est assez exhaustif. Je lui reprocherai (et finalement c'était un peu pareil dans Disparaitre de soi) un côté parfois  un peu scolaire,  énumératif (accumulant par thèmes des faits en rapport avec le silence). Il y a pas mal de portes ouvertes enfoncées, mais c'est sans doute inévitable sur ce sujet, et c'est souvent joliment fait. Beaucoup d'exemples pris dans la littérature, au premier rang desquels James Agee et Camus.

Donc quand même pas mal de choses  intéressantes, mais un peu noyées. Je ne suis pas hyperemballée, car j'en attendais sans doute trop.

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Message par bix_229 Jeu 23 Fév - 19:06

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Expériences de la douleur

"La relation douleur-souffrance est au cour de cet ouvrage. Il porte sur l'expérience de la douleur, sur la manière dont elle est vécue et ressentie par les individus, sur les comportements et les métamorphoses qu'elle induit. Il s'agit d'être au plus proche de la personne en s'efforçant de comprendre ce qu'elle vit à travers les outils de l'anthropologie. Le propos consiste justement à dégager les liens entre douleur et souffrance, et parallèlement à comprendre pourquoi certaines douleurs sont dénuées de souffrance, voire même associées à la réalisation de soi ou au plaisir. La douleur recherchée ou vécue à travers les conduites à risque ou les scarifications est d'une autre nature que celle qui affecte le malade, par exemple. Le sportif de l'extrême ou simplement le sportif en compétition ou à l'entraînement est un homme ou une femme qui accepte la douleur comme matière première de ses performances, il cherche à l'apprivoiser, à la contenir, il sait que s'il ne se " rentre pas dedans " il fera piètre figure.

L'auteur traite d'une douleur qui implique la souffrance dans la maladie ou les séquelles de l'accident ou de la torture, puis analyse une douleur souvent proche du plaisir ou de l'épanouissement personnel, il s'efforce de comprendre l'ambivalence du rapport à la douleur. La douleur est une donnée de la condition humaine, nul n'y échappe à un moment ou à un autre, une vie sans douleur est impensable. Elle frappe provisoirement ou durablement selon les circonstances. Mais, la plupart du temps, elle est sans autre incidence qu'un malaise de quelques heures aussitôt oublié dès lors qu'elle s'est retirée. Elle renvoie toujours à un contexte personnel et social qui en module le ressenti. La souffrance est la résonance intime d'une douleur, sa mesure subjective. Elle est ce que l'homme fait de sa douleur, elle englobe ses attitudes, c'est-à-dire sa résignation ou sa résistance à être emporté dans un flux douloureux, ses ressources physiques ou morales pour tenir devant l'épreuve. Elle n'est jamais le simple prolongement d'une altération organique, mais une activité de sens pour l'homme qui en souffre. Si elle est un séisme sensoriel, elle ne frappe qu'en proportion de la souffrance qu'elle implique, c'est-à-dire du sens qu'elle revêt. Entre douleur et souffrance les liens sont à la fois étroits et lâches selon les contextes, mais ils sont profondément significatifs et ouvrent la voie d'une anthropologie des limites."

A.M. Métailié

Un livre que je n'ai pas lu, mais qui me semble intéressant.
Quelqu'un l'a lu ?
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Message par chrysta Mer 8 Mar - 6:19

Celui ci je ne l'ai pas lu. J'ai lu par contre deux de ses œuvres : "Signes d'identité" et "La peau et la trace- sur les blessures de soi".
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Message par shanidar Mer 8 Mar - 9:52

chrysta a écrit:Celui ci je ne l'ai pas lu. J'ai lu par contre deux de ses œuvres : "Signes d'identité" et "La peau et la trace- sur les blessures de soi".

et tu en as pensé quoi, chrysta ?

J'ai lu Signes d'identité que j'ai trouvé extrêmement intéressant et bien fait. Avec d'abord une histoire du tatouage et des marques corporelles à travers les âges puis une étude plus précise de la 'démocratisation' de cette pratique (les enfants de la Reine Victoria après un voyage au Japon se sont tatoués, lançant une mode dans tout l'Empire, par exemple). J'ai beaucoup apprécié que LeBreton dédramatise la trace, la marque, le signe corporel dont les jeunes (et les moins jeunes) font un grand usage aujourd'hui et qu'il cherche à travers des témoignages (de jeunes, de parents, de professionnels) à créer un dialogue générationnel plutôt qu'un jugement irréfléchi et sans appel.

Un bon souvenir. Très documenté et apaisant.
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Message par chrysta Mer 8 Mar - 17:54

En fait je les ai lus il y a quelques années par rapport à mon premier mémoire, donc ce que je peux en dire c'est ce qui reste dans les brumes de ma mémoire. A l'exception de quelques chapitres que j'ai relus récemment pour une étude. Et il faut dire aussi que je les ai lus d'une manière un peu sélective par rapport à ce que je recherchais donc j'ai pu lire des parties mais pas la totalité (notamment pour la peau et la trace).


David Le Breton 31dfnt10

La peau et la trace

Alors "La peau et la trace" est celui qui m'a le moins été utile et je l'ai lu partiellement. Il aborde notamment la question de l'entame / entaille corporelle (scarifications, brûlures, entailles, lacérations, écorchures, excoriations...) volontaire et des fonctions possibles que peut avoir le recours à ce genre d'acte pour la personne qui le pratique.

Entre autre, il aborde ces pratiques comme tentatives de se sentir exister en jouant avec la mort et/ou la douleur, parfois ce sont des blessures comme traces d'une mémoire par lesquelles le sujet ancre dans sa chair quelque chose de son histoire, de son vécu. Parfois c'est une tentative de déplacer la douleur, de transposer une douleur psychique en douleur physique qui est plus "contrôlable" car dépend d'un acte volontaire.
Il aborde aussi leur possible aspect symboligène dans des circonstances particulières, parfois supports d'un prémisse de lien social (appartenance par exemple à un groupe), comme support identitaire, comme punition, expiation, retournement de l'agressivité contre soi...

Il souligne aussi combien penser ces pratiques doit se faire sans occulter le contexte socio-culturel, l'effet de mode, le regard de la société et ses valeurs...
Il parle aussi de l'expérience vécue (douleur notamment ) et de l'après (les restes, marques qui viennent rappeler ce moment)

Si je ne m'y suis pas trop intéressée en détail c'est qu'il reprend en partie les idées développées dans signes d'identité, avant de déplier des situations particulières (carcérales, body art) qui ne faisaient pas trop écho à mes recherches.


David Le Breton Signes10

Signes d'identité

Dans "Signes d'identités", que j'ai bien plus parcouru et utilisé, il traite essentiellement de la question des tatouages et piercings, les autres marques corporelles sont moins représentées. Il développe des pistes pour penser ces pratiques, dans nos sociétés actuelles, comme venant servir de "prothèse narcissique" entre autres.
Après un détour historique pour situer l'évolution de la signification du tatouage, il développe plusieurs idées sur comment se faire tatouer , se piercer, viennent être de possibles supports à l'identité. Cela étudié en traversant des champs aussi divers que la douleur, la relation au tatoueur (ou pierceur) s'il y en a un, la tentative de signularisation, l'érotisation du corps, l'endroit choisi (qui montre ou cache), la relation à ces marques, etc


L'un et l'autre reprennent d'une certaine manière des idées communes et assez intéressantes comme prémisses à penser le rapport du sujet à l'acte de se tatouer /piercier ou, quelque chose de plus "primaire", s'entamer la chair.
Je pense que ces livres sont assez accessibles à la  compréhension et représentent une ouverture pour commencer à penser ces pratiques aujourd'hui devenues courantes.  Personnellement, c'est une base à penser les différents registres de la fonction de se marquer le corps en tenant compte de différents facteurs.
Après je pense aussi que ce sont d'excellentes réflexions sur des phénomènes en progression actuellement qui sont (au moins pour certains) décriés, une manière d'enrichir notre perception des choses et de donner un peu de relief et de recul au regard que l'on peut porter dessus.
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Message par Jack-Hubert Bukowski Mar 15 Aoû - 7:40

Je tiens à mes livres de David Le Breton sur la marche comme à la prunelle de mes yeux. Son texte sur Nicolas Bouvier me semble être digne de découverte. Il est possible de le lire ici :

https://www.cairn.info/revue-etudes-2009-5-page-651.htm

Parmi ce florilège de citations, voici un passage qui me parle :

La route est université, car elle est universalité qui ne se contente pas de diffuser un savoir, mais aussi une philosophie d’existence propre à polir l’esprit et à le ramener toujours à l’humilité et à la souveraineté de son chemin. Elle est le lieu où se défaire des schémas conventionnels d’appropriation du monde pour être à l’affût de l’inattendu, déconstruire ses certitudes plutôt que de s’ancrer en elles.
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Message par bix_229 Jeu 17 Aoû - 17:01

Merci Jack, j' ignorais ce texte sur Bouvier.
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Message par Jack-Hubert Bukowski Ven 18 Aoû - 8:04

Ça fait plaisir, Bix!

Y a-t-il un livre que tu as lu sur Bouvier et que tu conseillerais, pour ta part?
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