Nos lectures en novembre 2017

J'attaque " Hors d'atteinte ?" d'Emmanuel Carrére

Les désorientés, d'Amin Maalouf

Je grignote quelques noix en lisant Abeilles de verre, de Jünger.

Réflexion sur la guerre, la technologie, le monde moderne... Bonne découverte Arturo !

« Mais ici, je trouvais l’œuvre de l’esprit qui renie l’image d’un homme libre et intangible. Il avait imaginé cet affront à l’homme. Il voulait compter en hommes-vapeur, de même qu’il comptait depuis longtemps en chevaux-vapeur. Il voulait des unités égales entre elles, et qu’il pût subdiviser. Pour y parvenir, il fallait supprimer l’homme, comme le cheval avant lui avait été supprimé. De tels symboles devraient briller aux portails de son domaine. Les approuver, ou même seulement les méconnaître, c’était se prêter à ses fins. »
Ernst Jünger, « Abeilles de verre »

Goethe : Les souffrances du jeune Werther
Maupassant : La maison Tellier

Toujours Dans l'épouvante, Histoires extraordinaires de Hanns Heinz Ewers.

Débuté la lecture de Ha ha!..., pièce de théâtre de Réjean Ducharme.

je lis un livre de Régis Debray "Madame H."

Je suis encore dans "La piste Pasolini" de Pierre Adrian, des poèmes de Michel Houellebecq, des lettres, poèmes et notes de Marilyn Monroe et un livre sur le "Karma-Yoga" de Vivekananda.

Une odyssée
Un fils, un père, une épopée
de Daniel Mendelsohn.

Toujours en plein "Le nouveau nom" d'Elena Ferrante. J'arrive pas à décrocher.

Cela me rappelle les frénésies qui s'étaient emparées  de moi quand j'avais découvert "Le voie royale", "Guerre et Paix", les "Fortune de France" et l’œuvre de J.L. Burke, me poussant même à préférer à mes cours, la lecture de ces romans. Si je pouvais, je crois, que je me passerais d'aller au boulot. Ce WE j'achète "Celle qui fuit et celle qui reste" de peur d'arriver un dimanche soir sans pouvoir passer d'un tome à l'autre.

Par ailleurs je suis toujours dans les "Écrits sur l'Art" d'A. Malraux, dans le livre sur Gesualdo que je ne devrais pas tarder à finir et sur d'autres petits amusement-gueules comme C. Delphy, J. Butler, A. Bourseul ou G. Fraisse...

Suis toujours dans la découverte de W.G. Sebald avec Les Emigrants et j'aime vraiment beaucoup, beaucoup.

Tristram a écrit:Réflexion sur la guerre, la technologie, le monde moderne... Bonne découverte Arturo !

« Mais ici, je trouvais l’œuvre de l’esprit qui renie l’image d’un homme libre et intangible. Il avait imaginé cet affront à l’homme. Il voulait compter en hommes-vapeur, de même qu’il comptait depuis longtemps en chevaux-vapeur. Il voulait des unités égales entre elles, et qu’il pût subdiviser. Pour y parvenir, il fallait supprimer l’homme, comme le cheval avant lui avait été supprimé. De tels symboles devraient briller aux portails de son domaine. Les approuver, ou même seulement les méconnaître, c’était se prêter à ses fins. »
Ernst Jünger, « Abeilles de verre »

Merci ! ça change de Sous les falaises de marbre !
C'est étonnant, cette écriture incisive à la première personne. ça tranche avec mon autre lecture de l'auteur.

kashmir a écrit:Suis toujours dans la découverte de W.G. Sebald avec Les Emigrants et j'aime vraiment beaucoup, beaucoup.

Bienvenue chez les Sebaldiens... , c'est un auteur hypnotisant! Je me réjouis que tu as encore des choses à découvrir devant toi!

Bonne lecture!

La Havane année zéro (Karla Suarez)

Au revoir là haut de Pierre Lemaitre. Je ne pensais pas le lire , mais comme je veux voir le film, je préfère me faire une idée avant.
Et toujours Mendelsohn et son père, et l'autre pauvre père qui cherche son fils en Guyane..

Eh oui, c'est grand la Guyane, et que de la forêt, on se perd vite...

Eh oui, c'est grand la Guyane, et que de la forêt, on se perd vite...

Tu les as lus, ces livres, Tristram?

Le premier seulement ; celui du père est dans ma LAL (de même que Aventures au Mato Grosso)