Au cinéma
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Re: Au cinéma
Tu n'es pas la 1e à m'en dire du bien, je le note!
Burlybunch- Messages : 425
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Re: Au cinéma
Chic!
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8395
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Re: Au cinéma
Un bel enthousiasme, topocl !
De mon côté, j'ai un très fort souvenir du précédent film de Ciro Guerra, L'étreinte du serpent, un périple atypique, fascinant et d'une immense beauté en Amazonie.
De mon côté, j'ai un très fort souvenir du précédent film de Ciro Guerra, L'étreinte du serpent, un périple atypique, fascinant et d'une immense beauté en Amazonie.
Avadoro- Messages : 1385
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Age : 38
Re: Au cinéma
Du coup, j'ai visionné L'étreinte du serpent. Les incohérences en tous genres m'ont gêné, qui auraient sans doute été moins perceptibles dans un livre _ mais j'aurais manqué les superbes images !
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15559
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Re: Au cinéma
https://www.franceculture.fr/cinema/le-succes-titanesque-davengers-laisse-les-critiques-tetanises#xtor=EPR-2-[LaLettre07052019]
Fantasmatique succès apparemment, oeuvre qui soutiendrait la comparaison avec Le Temps retrouvé de Proust ou Le Crépuscule des Dieux de Wagner, voire avec Bienvenue chez les Ch’tis ou Les Bronzés III, et même Game of Thrones et La Comédie Humaine de Balzac !
A moins que cet article dithyrambique, émis par LE bon et gentil critique parmi tous les abrutis d'autres critiques, n'exagère ?
Curieux d'avoir un retour chosien...
Fantasmatique succès apparemment, oeuvre qui soutiendrait la comparaison avec Le Temps retrouvé de Proust ou Le Crépuscule des Dieux de Wagner, voire avec Bienvenue chez les Ch’tis ou Les Bronzés III, et même Game of Thrones et La Comédie Humaine de Balzac !
A moins que cet article dithyrambique, émis par LE bon et gentil critique parmi tous les abrutis d'autres critiques, n'exagère ?
Curieux d'avoir un retour chosien...
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Tristram- Messages : 15559
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Re: Au cinéma
Dans le genre L'étreinte du serpent, sort aujourd'hui Le Chant de la forêt que les chosiens ayant une ville avec grand écran peuvent aller visionner : ça a l'air intéressant.
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Tristram- Messages : 15559
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Re: Au cinéma
Doris Day s'en est allée dans l'ailleurs !
L'homme qui en savait trop avec James Stewart (le film om elle chante Que sera, sera )
Pique-nique en pyjama
....................
L'homme qui en savait trop avec James Stewart (le film om elle chante Que sera, sera )
Pique-nique en pyjama
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21020
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Re: Au cinéma
Douleur et Gloire
Pedro Amodovar
Pfou.. ben à vrai dire, je comprends qu'il n'ait pas eu la palme!
D'abord un scénario pathético-indigent : un écrivain/cinéaste qui n'arrive plus à écrire, puis qui, à la fin y arrivera à nouveau .
Les scènes mère-fils que ce soit celles où Salvadoro est enfant ou celles où sa mère se meurt sont assez niaises et l'interprétation y est vite apprêtée.
Almodovar nous sort sa sempiternelle Pénélope et son habituelle déco à motif contrastés, et comme il faut bien innover quand même, s'essaye à une petite séance animée genre stagiaire-graphiste à son premier essai.
Tout n'est pas à jeter, il y a même quelques trics rigolos, j'ai finalement mieux aimé Asier Etxeandia que Antonio Banderas, lequel s'avère nettement moins doué que Woody Allen pour jouer l’artiste névrotique narcissique...
Dispensable...
Pedro Amodovar
Pfou.. ben à vrai dire, je comprends qu'il n'ait pas eu la palme!
D'abord un scénario pathético-indigent : un écrivain/cinéaste qui n'arrive plus à écrire, puis qui, à la fin y arrivera à nouveau .
Les scènes mère-fils que ce soit celles où Salvadoro est enfant ou celles où sa mère se meurt sont assez niaises et l'interprétation y est vite apprêtée.
Almodovar nous sort sa sempiternelle Pénélope et son habituelle déco à motif contrastés, et comme il faut bien innover quand même, s'essaye à une petite séance animée genre stagiaire-graphiste à son premier essai.
Tout n'est pas à jeter, il y a même quelques trics rigolos, j'ai finalement mieux aimé Asier Etxeandia que Antonio Banderas, lequel s'avère nettement moins doué que Woody Allen pour jouer l’artiste névrotique narcissique...
Dispensable...
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8395
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Localisation : Roanne
Re: Au cinéma
Il ne mérite rien du tout à mon avis. Surévalué comme Woody Allen.
Encore heureux qu'ils aient -parfois- de bons acteurs.
Ils doivent tout à la critique française.
Encore heureux qu'ils aient -parfois- de bons acteurs.
Ils doivent tout à la critique française.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Au cinéma
Quand même, je trouve qu'ils ont fait des excellents films, tous les deux; juste, ils se reposent un peu sur leur image de marque.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8395
Date d'inscription : 02/12/2016
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Localisation : Roanne
Re: Au cinéma
j'avais échappé à cette capitale information qui fait peur :
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Re: Au cinéma
Rambo 5
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Bédoulène- Messages : 21020
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: Au cinéma
Une part d'ombre
Thriller malin autour des thèmes du soupçon, de la culpabilité et du mensonge. Au centre d'un groupe d'amis "ouverts et détendus" un homme et père de famille se retrouve accusé de meurtre... Forcément ça met le bazar dans les différents équilibres de cette communauté et puis, au fond, coupable ou pas ? Sympa ou pas le bonhomme ? Et quel résultat sur l'entourage ?
Ambiance automnale et vosgienne, le film est belge mais le lieu du crime en France, jeu de flashbacks parcellaires mais pas trop agaçants, en fin de compte un sens mesuré de la banalité. Pas mal du tout.
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Keep on keeping on...
Re: Au cinéma
Bong Joon Ho : Parasite
Dernière palme d’or, largement encensée par une critique quasiment unanime.
Il est difficile de parler du scénario sans trop dévoiler le plaisir de voir le film. Disons que c’est l’histoire d’une famille pauvre de Corée du sud, unie mais un peu roublarde, qui va vivre un certain temps aux crochets d’une autre famille très aisée, habitant une superbe villa d’architecte.
Les critiques l’ont assez souligné, la virtuosité du réalisateur est d’avoir pu entremêler différents genres cinématographiques dans une œuvre cohérente. Je trouve que de ce point de vue c’est très réussi, malgré quelques raccords artificiels. On passe de la comédie de genre italienne, dans le style de « Affreux, sales et méchants » à une critique sociale matinée d’humour noir qui m’a fait penser à Altman ; on va plus loin dans ce genre en frisant le « Grand guignol », mais au sens noble du terme. Il y a également des moments plus intimes ou de réflexion.
J’ai pour ma part beaucoup apprécié ce film, c’est sans conteste du très bon cinéma, qui ne vous laisse pas un moment de répit. Pourtant, je ne le considère pas comme un chef d’œuvre, probablement parce que je sois plus sensible à un cinéma plus intimiste.
Il y a une chose qui m’a assez agacé dans les critiques, c’est l’insistance à déclarer qu’il s’agissait d’un film « populaire », ce dont déjà je doute ; mais ci c’était le cas, tant mieux ! En ce qui me concerne, il y a de bons films et de moins bons, c’est tout.
Dernière palme d’or, largement encensée par une critique quasiment unanime.
Il est difficile de parler du scénario sans trop dévoiler le plaisir de voir le film. Disons que c’est l’histoire d’une famille pauvre de Corée du sud, unie mais un peu roublarde, qui va vivre un certain temps aux crochets d’une autre famille très aisée, habitant une superbe villa d’architecte.
Les critiques l’ont assez souligné, la virtuosité du réalisateur est d’avoir pu entremêler différents genres cinématographiques dans une œuvre cohérente. Je trouve que de ce point de vue c’est très réussi, malgré quelques raccords artificiels. On passe de la comédie de genre italienne, dans le style de « Affreux, sales et méchants » à une critique sociale matinée d’humour noir qui m’a fait penser à Altman ; on va plus loin dans ce genre en frisant le « Grand guignol », mais au sens noble du terme. Il y a également des moments plus intimes ou de réflexion.
J’ai pour ma part beaucoup apprécié ce film, c’est sans conteste du très bon cinéma, qui ne vous laisse pas un moment de répit. Pourtant, je ne le considère pas comme un chef d’œuvre, probablement parce que je sois plus sensible à un cinéma plus intimiste.
Il y a une chose qui m’a assez agacé dans les critiques, c’est l’insistance à déclarer qu’il s’agissait d’un film « populaire », ce dont déjà je doute ; mais ci c’était le cas, tant mieux ! En ce qui me concerne, il y a de bons films et de moins bons, c’est tout.
ArenSor- Messages : 3366
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Rue du Nadir-aux-Pommes
topocl- Messages : 8395
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Au cinéma
Factory/Zavod
Film russe donc, prise d'otage et un peu "film de traque" sur fond de crise économique et de magouille. Des ouvriers regroupés autour d'un vétéran bien amoché kidnappent l'homme d'affaire "louche" qui les met à la porte. Rançon, journalistes ? Surtout hommes de mains très professionnels et un zeste de police.
Pas un film qui cherche l'humour. Plutôt dans l'efficacité... c'est peut-être le reproche qu'on pourra lui adresser (le réalisateur c'est aussi le gars qui a fait Le Major... ) à part des airs, un désespoir, une corruption et une violence russe c'est dans la forme "mondial" (monoforme dont parle Peter Watkins ?).
En tout cas c'est efficace, un peu long dans les rebondissements mais ça se tient avec une atmosphère contenue et quelques développements orientés "condition humaine" qui peuvent faire l'affaire.
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Re: Au cinéma
Ca parait pas léger-léger...
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8395
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Au cinéma
Thalasso, de Guillaume Nicloux.
Mieux vaut savoir où on met les pieds avant de voir ce film. Et avoir vu le précédent opus : L'enlèvement de Michel Houellebecq.
On retrouve ledit Houellebecq, notre Droopy national en Thalasso, et il y croise entre autres Gégé. Deux alcoolos au régime, qui essaient de fumer et boire en cachette. ça cause aussi de tout et de rien. Moi je me suis pas mal bidonné, faut dire rien qu'à voir Houellebecq ça me suffit.
Sans doute pas le film du siècle non plus, mais un bon moment pour ma part.
Mieux vaut savoir où on met les pieds avant de voir ce film. Et avoir vu le précédent opus : L'enlèvement de Michel Houellebecq.
On retrouve ledit Houellebecq, notre Droopy national en Thalasso, et il y croise entre autres Gégé. Deux alcoolos au régime, qui essaient de fumer et boire en cachette. ça cause aussi de tout et de rien. Moi je me suis pas mal bidonné, faut dire rien qu'à voir Houellebecq ça me suffit.
Sans doute pas le film du siècle non plus, mais un bon moment pour ma part.
Invité- Invité
Re: Au cinéma
J'ai vu la bande annonce, et trouvé ça marrant aussi _ rien que la petite phrase sur Macron, à plusieurs niveaux...
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Tristram- Messages : 15559
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