Jane Smiley
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Jane Smiley
Source : BabelioJane Smiley est femmes de lettres américaine. Elle a été professeur à l'Université de l'Iowa. Elle est lauréate du Prix Pulitzer 1992 pour le roman L' Exploitation inspiré du Roi Lear de Shakespeare. Ce roman est adapté au cinéma en 1998 sous le titre A Thousand Acres (Secrets), réalisé par Jocelyn Moorhouse avec Michelle Pfeiffer et Jessica Lange. Elle vit actuellement à Carmel en Californie.
Oeuvres traduites en français
1981 : Jusqu'au lendemain (At Paradise Gate)
1984 : Un appartement à New York (Duplicate Keys)
1988 : La Nuit des Groenlandais (The Greenlanders)
1991 : L'Exploitation (A Thousand Acres)
1995 : Moo (Moo)
1998 : Les Aventures de Liddie Newton (The All-True Travels and Adventures of Lidie Newton)
2000 : Le Paradis des chevaux (Horse Heaven)
2003 : En toute bonne foi (Good Faith)
2007 : Dix jours dans les collines de Hollywood (Ten Days in the Hills)
2010 : Une vie à part (Private Life)
Nos premiers jours Editions Rivages traduit en 2016.
Voici donc le premier livre d'une trilogie... une saga familiale. J'attends avec impatience les suivants... Je pense avoir déjà lu au moins un ou deux des romans de cette auteure, mais à vrai dire, je n'en ai aucun souvenir, dommage Ceci dit, c'est vraiment pas mal au final même si commençant ma lecture je me suis dit : bof....en fait, on s'immerge peu à peu dans la vie de cette famille d'agriculteurs qui se déroule de 1920 à 1953.
Walter et Rosanna Langdon ont réalisé leur rêve, posséder une ferme bien à eux dans l'Iowa. Ils ont six enfants, font pousser du maïs, traversent des épreuves, un rythme lent, quotidien, la vie pas simple d'un cultivateur, au rythme des saisons, les variations des cours suivant les années, l'avènement de nombreux changements, les tracteurs, etc. Les enfants grandissent, leur évolution au fil du temps, leur personnalité particulière, tout ceci est très bien décrit.
Oui, j'ai bien aimé, on s'attache aux personnages, quelques touches de politique, l'engagement des Etats-Unis pendant la dernière guerre
à travers la vision du fils aîné de Walter et Rosanna, Frank, qui s'engage, assez intéressant. J'espère ne pas devoir attendre trop longtemps pour la suite
mots-clés : #famille #ruralité #viequotidienne
simla- Messages : 252
Date d'inscription : 23/12/2016
Re: Jane Smiley
Nos premiers jours
Comme l 'a dit Simla, c'est le premier tome d'une saga famialle, trilogie qui va s’étendre de 1920 à nos jours, dans une grade habileté narrative, chaque année comptant pour ce qu’elle est , avec son lot d'événements intimes, communs ou planétaires.
Cela ressemble au simple récit paisible de cette famille de six enfants, sans oublier les aïeux, née d'un couple d'agriculteur aux valeurs de travail et d'honnêteté, chez qui le plaisir est loin d'être le premier objectif, mais qui savent cependant jouir des bonheurs petits et grands, acquis ou à venir. Insensiblement au fil des années, des enfants qui naissent et grandissent, des deuils des aléas de la vie , des sécheresses ou des guerres, la vie passe, parfois bienveillante, parfois implacable. Il y a une réelle empathie pour chaque personnage, Jane Smiley nous attache à chacun. Et le grand art c’est qu'ils évoluent, les parents s’interrogent , ébranlent leurs certitudes, s'ouvrent à un monde nouveau , des idées nouvelles, les enfants mûrissent, partent ou restent, ouvrent des voies.
Le livre retrace à travers la vie familiale les événements marquants du siècle, krach de 29, guerre , maccarthysme, guerre froide, comme c’est al règle dans ec genre d'ouvrage, mais aussi des faits qui se glissent subrepticement sans encore dire la place cruciale qu'ils vont avoir, comme le premier tracteur, le premier engrais chimique qui va permettre une récolte de maïs devant laquelle la communauté est ébahie et enthousiaste.
Interrogeant, outre les relations familiales et l'épanouissement intime, l'histoire, le sens du progrès, l'évolution du monde d'une génération à l'autre, ce récit en apparence simple et anodin nous montre avec finesse, et délicatesse, un monde en devenir, qui , bientôt va être le nôtre, avec ses racines terrifiantes.
Pas une minute d'ennui dans ce récit qui s'attache au quotidien, aux émotions, aux petits faits et aux pensées intimes, qui suit le fil des saisons et des années, puis des générations.
Et qui rend impatiente de lire la suite.
Comme l 'a dit Simla, c'est le premier tome d'une saga famialle, trilogie qui va s’étendre de 1920 à nos jours, dans une grade habileté narrative, chaque année comptant pour ce qu’elle est , avec son lot d'événements intimes, communs ou planétaires.
Cela ressemble au simple récit paisible de cette famille de six enfants, sans oublier les aïeux, née d'un couple d'agriculteur aux valeurs de travail et d'honnêteté, chez qui le plaisir est loin d'être le premier objectif, mais qui savent cependant jouir des bonheurs petits et grands, acquis ou à venir. Insensiblement au fil des années, des enfants qui naissent et grandissent, des deuils des aléas de la vie , des sécheresses ou des guerres, la vie passe, parfois bienveillante, parfois implacable. Il y a une réelle empathie pour chaque personnage, Jane Smiley nous attache à chacun. Et le grand art c’est qu'ils évoluent, les parents s’interrogent , ébranlent leurs certitudes, s'ouvrent à un monde nouveau , des idées nouvelles, les enfants mûrissent, partent ou restent, ouvrent des voies.
Le livre retrace à travers la vie familiale les événements marquants du siècle, krach de 29, guerre , maccarthysme, guerre froide, comme c’est al règle dans ec genre d'ouvrage, mais aussi des faits qui se glissent subrepticement sans encore dire la place cruciale qu'ils vont avoir, comme le premier tracteur, le premier engrais chimique qui va permettre une récolte de maïs devant laquelle la communauté est ébahie et enthousiaste.
Interrogeant, outre les relations familiales et l'épanouissement intime, l'histoire, le sens du progrès, l'évolution du monde d'une génération à l'autre, ce récit en apparence simple et anodin nous montre avec finesse, et délicatesse, un monde en devenir, qui , bientôt va être le nôtre, avec ses racines terrifiantes.
Pas une minute d'ennui dans ce récit qui s'attache au quotidien, aux émotions, aux petits faits et aux pensées intimes, qui suit le fil des saisons et des années, puis des générations.
Et qui rend impatiente de lire la suite.
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8407
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Localisation : Roanne
Re: Jane Smiley
C'est un livre bien tentant, et l'est encore plus, ton commentaire, Topocl !
Un vrai roman pour les longues soirées au coin du feu, non ?
Un vrai roman pour les longues soirées au coin du feu, non ?
Invité- Invité
Re: Jane Smiley
Oui, ça se lit dans une grande fluidité, c’est l’histoire de nos amis, de nos cousins, de nos voisins, c’est rude et doux à la fois, lumineux, clairvoyant. Sans avoir l'air de rien.
(et bien si je ne te convaincs pas avec ça )
(et bien si je ne te convaincs pas avec ça )
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8407
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Re: Jane Smiley
et ça marcherai aussi pour moi topocl ?
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21081
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Re: Jane Smiley
Oui, tout à fait
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topocl- Messages : 8407
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Re: Jane Smiley
topocl a écrit:Oui, ça se lit dans une grande fluidité, c’est l’histoire de nos amis, de nos cousins, de nos voisins, c’est rude et doux à la fois, lumineux, clairvoyant. Sans avoir l'air de rien.
(et bien si je ne te convaincs pas avec ça )
Si, si, je suis convaincue, Topocl !!
Invité- Invité
Re: Jane Smiley
Nos premières années
Nos révolutions
Notre âge d’or
2000 pages, ça vous fait peur ?
Plus de soixante personnages, ça vous effraie ?
100 chapitres pour 100 années, ça vous épouvante ?
Il suffit de savoir que la peur est mauvaise conseillère, se lancer, puis se réjouir d’une découverte plutôt jubilatoire : Jane Smiley réussit son pari de Grand Roman Américain, à travers l’histoire d’une famille.
Walter et Rosanna se marient en 1919, achètent une ferme dans l’Iowa, à deux pas de leurs parents venus d’Europe, élèvent 6 enfants que leurs destins variés vont mener dans toutes les tranches de la société et aux quatre coins du pays.
On va suivre ainsi 4 générations jusqu’en 2019 (pour un roman paru en 2015) où l’on verra comment se paye, bien ou mal, selon chacun·e, le Grand Rêve Américain.
Quel extra-ordinaire dans ce roman ? La façon de raconter ces multiples personnages sans en laisser un seul sur le côté, de nous les rendre si familiers qu’on peut presque se passer de l’arbre généalogique (astucieusement repoussé en fin de volume pour éviter tout divulgâchage), chacun·e parfaitement typé mais non exempt de contradictions et de surprises. De proposer pour chaque année quelques faits centrés sur l‘un des personnages, parfois même un enfant qui essaye de comprendre le monde qui s’offre à elle ou lui ; et tant pis si des faits capitaux ne sont pas rapportés. D’établir ainsi entre eux ce lien si curieux qui unit les membres de toute grande famille, ceux qui réussissent et ceux qui échouent, ceux qu’on aime et ceux qu’on déteste, les heureux et les malheureux, ceux qui sont aimés et ceux qui sont incompris, ceux qui restent et ceux qui partent ou trahissent, et qui tous finissent un jour par se retrouver, au moins dans les enterrements. De raconter un siècle à travers une famille.
Et cet extraordinaire séduit par la capacité à parler aussi bien du temps qui passe, pour les individus comme pour une société, que de l’humaine intimité, du caractère aussi unique qu’universel des émotions, et de l’importance du fragile instant quotidien.
Si un début marque fermement l’implantation des personnages dans leur histoire (leurs histoires), il n’y a pas vraiment d’intrigue ou de fin, c’est simple comme la vie : chacun·e va continuer son chemin, portant en elle ou lui le souvenir – ou à défaut l’empreinte, tout à la fois fardeaux et terreau - des générations précédentes.
Nos révolutions
Notre âge d’or
2000 pages, ça vous fait peur ?
Plus de soixante personnages, ça vous effraie ?
100 chapitres pour 100 années, ça vous épouvante ?
Il suffit de savoir que la peur est mauvaise conseillère, se lancer, puis se réjouir d’une découverte plutôt jubilatoire : Jane Smiley réussit son pari de Grand Roman Américain, à travers l’histoire d’une famille.
Walter et Rosanna se marient en 1919, achètent une ferme dans l’Iowa, à deux pas de leurs parents venus d’Europe, élèvent 6 enfants que leurs destins variés vont mener dans toutes les tranches de la société et aux quatre coins du pays.
On va suivre ainsi 4 générations jusqu’en 2019 (pour un roman paru en 2015) où l’on verra comment se paye, bien ou mal, selon chacun·e, le Grand Rêve Américain.
Quel extra-ordinaire dans ce roman ? La façon de raconter ces multiples personnages sans en laisser un seul sur le côté, de nous les rendre si familiers qu’on peut presque se passer de l’arbre généalogique (astucieusement repoussé en fin de volume pour éviter tout divulgâchage), chacun·e parfaitement typé mais non exempt de contradictions et de surprises. De proposer pour chaque année quelques faits centrés sur l‘un des personnages, parfois même un enfant qui essaye de comprendre le monde qui s’offre à elle ou lui ; et tant pis si des faits capitaux ne sont pas rapportés. D’établir ainsi entre eux ce lien si curieux qui unit les membres de toute grande famille, ceux qui réussissent et ceux qui échouent, ceux qu’on aime et ceux qu’on déteste, les heureux et les malheureux, ceux qui sont aimés et ceux qui sont incompris, ceux qui restent et ceux qui partent ou trahissent, et qui tous finissent un jour par se retrouver, au moins dans les enterrements. De raconter un siècle à travers une famille.
Et cet extraordinaire séduit par la capacité à parler aussi bien du temps qui passe, pour les individus comme pour une société, que de l’humaine intimité, du caractère aussi unique qu’universel des émotions, et de l’importance du fragile instant quotidien.
Si un début marque fermement l’implantation des personnages dans leur histoire (leurs histoires), il n’y a pas vraiment d’intrigue ou de fin, c’est simple comme la vie : chacun·e va continuer son chemin, portant en elle ou lui le souvenir – ou à défaut l’empreinte, tout à la fois fardeaux et terreau - des générations précédentes.
Dernière édition par topocl le Dim 1 Aoû - 17:20, édité 3 fois
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8407
Date d'inscription : 02/12/2016
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Localisation : Roanne
Re: Jane Smiley
OK, je le note pour une prochaine réincarnation, lorsque l'espérance de vie aura triplé.
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15597
Date d'inscription : 09/12/2016
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Localisation : Guyane
Re: Jane Smiley
Couard !
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topocl- Messages : 8407
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Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Jane Smiley
Désolé, mais je ne me vois pas succomber en plein milieu de Smiley.
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Tristram- Messages : 15597
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Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Jane Smiley
Elle m'a lassé rapido, Jane Smiley.
C'était notre rubrique, si vous n'aimez pas ça, n'en dégoutez pas les autres !
C'était notre rubrique, si vous n'aimez pas ça, n'en dégoutez pas les autres !
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Jane Smiley
Maintenant, le genre de Smiley, c'est très Carré.
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Tristram- Messages : 15597
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Jane Smiley
C'était quel livre ? (comme je veux en essayer un autre, je tâte le terrain )bix_229 a écrit:Elle m'a lassé rapido, Jane Smiley.
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topocl- Messages : 8407
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Jane Smiley
Alors, je l'ai lue, cette trilogie! Oui, oui. Je ne résiste pas aux histoires de famille qui durent!
Il me semble que c'est la premier tome que j'ai préféré.
De Jane Smiley, j'avais lu "L'exploitation", mais qu'en dire??
C'était pour participer
Il me semble que c'est la premier tome que j'ai préféré.
De Jane Smiley, j'avais lu "L'exploitation", mais qu'en dire??
C'était pour participer
Marie- Messages : 641
Date d'inscription : 02/12/2016
Re: Jane Smiley
C'était Moo et L'Exploitation, si je me souviens -et encore...- mais mon témoignage ne signifie rien. Subjectif et voilà tout.topocl a écrit:C'était quel livre ? (comme je veux en essayer un autre, je tâte le terrain )bix_229 a écrit:Elle m'a lassé rapido, Jane Smiley.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Jane Smiley
2000:3 = 666.66
j'ai lu pis, sur ma longue liste de LAL
j'ai lu pis, sur ma longue liste de LAL
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Bédoulène- Messages : 21081
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: Jane Smiley
Rien ça me parait excessif. Si nous refusons les témoignages subjectifs, autant fermer le forum...bix_229 a écrit:C'était Moo et L'Exploitation, si je me souviens -et encore...- mais mon témoignage ne signifie rien. Subjectif et voilà tout.topocl a écrit:C'était quel livre ? (comme je veux en essayer un autre, je tâte le terrain )bix_229 a écrit:Elle m'a lassé rapido, Jane Smiley.
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topocl- Messages : 8407
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Jane Smiley
Ca dure moins mais c'est une chouette histoire de famille (et de maison) : tente la maison des Hollandais d'Ann Patchett, Marie !Marie a écrit:Alors, je l'ai lue, cette trilogie! Oui, oui. Je ne résiste pas aux histoires de famille qui durent!
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8407
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Jane Smiley
@topocl Rien ça me parait excessif. Si nous refusons les témoignages subjectifs, autant fermer le forum...
On est tous subjectifs, c'est évident, mais c'est pour ça que les témoignages personnels sont
juste momentanés et fragiles.
On est tous subjectifs, c'est évident, mais c'est pour ça que les témoignages personnels sont
juste momentanés et fragiles.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
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