Yves Navarre
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Yves Navarre
Yves Navarre
(1940-1994)
(1940-1994)
Né le 24 septembre 1940 à Condom et décédé le 24 janvier 1994 à Paris, est un écrivain français, cofondateur en 1975 avec Marie Cardinal du Syndicat des Ecrivains de Langue Française. Il a obtenu le prix Goncourt pour Le Jardin d'acclimatation en 1980.
Après des études d'espagnol, d'anglais et de lettres modernes à l'Université de Lille, Yves Navarre est diplômé de l'École des hautes études commerciales du Nord (EDHEC), promotion 1964. Yves Navarre travaille dans la publicité comme concepteur-rédacteur.
Il commence à publier en 1971, initiant une carrière prolifique avec Lady Black, qui a pour personnages des travestis. Les Loukoums, histoire d'une maladie frappant les personnages à New York, le fait connaître en 1973. Navarre enchaîne alors les parutions, souvent autour du thème de l'amour entre deux hommes (Le Petit Galopin de nos corps, 1977 ; Portrait de Julien devant la fenêtre, 1979). Il écrit également des pièces de théâtre comme Il pleut, si on tuait papa-maman, Dialogue de sourdes, La Guerre des piscines, Lucienne de Carpentras (où l’on retrouve l’un des personnages principaux des Loukoums, Lucy Balfour) ou encore Les Dernières Clientes.
Le Jardin d'acclimatation, histoire d'un jeune homme de bonne famille envoyé à l'internement et à la lobotomie parce qu'homosexuel, reçoit le prix Goncourt en 1980. Navarre devient le porte-parole de François Mitterrand pour les homosexuels en 1981 et 1989, mais se sent incompris en tant que romancier.
Entre 1990 et 1993, il part vivre au Québec, à Montréal. Son roman de 1991, Ce sont amis que vent emporte, se situe dans cette ville où un sculpteur, Roch, vit en couple avec un danseur, David. Le roman raconte leur lutte contre le sida. De retour en France, frappé de dépression, il se suicide aux barbituriques le 24 janvier 1994.
Bibliographie
Romans
Lady Black 1971.
Evolène, 1972.
Les Loukoums, 1973.
Le Cœur qui cogne, 1974.
Killer : roman, 1975.
Plum Parade : vingt-quatre heures de la vie d'un mini-cirque, 1975.
Niagarak, 1976.
Le Petit Galopin de nos corps, 1977
Kurwenal ou la Part des êtres, 1977.
Je vis où je m'attache, 1978.
Le Temps voulu, 1979 : Page 1
Portrait de Julien devant sa fenêtre, 1979
Le Jardin d'acclimatation, 1980.
Romances sans paroles, 1982.
Premières Pages, 1983.
L'Espérance de beaux voyages, 1984.
Phénix, le paysage regarde, illustré par Jean Dieuzaide et Lucien Clergue, 1984.
Louise, 1985.
Fête des mères, 1987.
Romans, un roman, 1988
Hôtel Styx, 1989.
Douce France, 1990.
La Terrasse des audiences au moment de l'adieu, 1990.
Ce sont amis que vent emporte, 1991 : Page 1
La Vie dans l'âme, carnets, 1992.
Poudre d'or, 1993.
Dernier dimanche avant la fin du siècle, 1994.
La Ville Atlantique, 1996.
Dialogue de sourdes, 1999.
La Dame du fond de la cour, 2000.
Avant que tout me devienne insupportable, 2006.
Théâtre
Théâtre, 3 tomes, 1974, 1976, 1982.
1978 : Les Dernières Clientes d'Yves Navarre, mise en scène Louis Thierry
Autres
Biographie, 1981.
Une vie de chat, 1986.
Un condamné à vivre s'est échappé, textes, entretiens et poèmes, avec Pierre Salducci, 1997.
Source wikipedia
màj le 29/11/2017
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Flore Vasseur
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Re: Yves Navarre
Yves Navarre et moi.
Yves Navarre fait partie de ces auteurs qui ont ancré mon adolescence, dont j'ai essayé de suivre tous les livres pendant des années.
D'abord il m’a fait découvrir l'homosexualité pour ce qu'elle était vraiment, ( on n’en parlait évidemment pas chez moi), cette façon différente d’être au monde, me l’a faite moins étrangère, il m'a ainsi ouverte à d'autres horizons.
Ensuite il parle au fil de ses livres d'une famille, la bourgeoisie affirmée, le conventionnel assumé, qui n'est certes pas le reflet de la famille où j'ai grandi, mais où j'ai croisé des attitudes que je ressentais dans mon quotidien, en premier lieu ce sentiment de ne pas appartenir au « clan », générateur d'une grande solitude, cette exigence de réussite, avec le travail pour moyen, cette idée d’une trace à suivre, l'impression de passer à côté de l'essentiel. Je n'ai pas du tout eu une adolescence malheureuse, mais elle a eu comme chez tant d'autres, ses difficultés et Yves Navarre, que j'avais en outre vu à la télévision tout de blanc vêtu, la mèche fort séduisante, parlant sans concessions, a été un de ces multiples petits phares qui m'ont aidée à m'orienter. J'ai lu et relu ses romans.
Je l'ai peu à peu abandonné en grandissant, trouvant mes marques, créant mon propre foyer que j'ai voulu différent. J'ai eu cependant quelques années plus tard, un certain pincement au cœur en apprenant sa mort par suicide : je ressentais la perte de quelqu'un que je n'avais pas connu, qui ne m'avait pas connue, mais qui comptait pour moi.
Voilà ce qu'il représente pour moi aujourd'hui. Et des années après, j'ai eu envie de reprendre certains de ses livres. J'en ai eu envie et peur en même temps.
(message récupéré)
Yves Navarre fait partie de ces auteurs qui ont ancré mon adolescence, dont j'ai essayé de suivre tous les livres pendant des années.
D'abord il m’a fait découvrir l'homosexualité pour ce qu'elle était vraiment, ( on n’en parlait évidemment pas chez moi), cette façon différente d’être au monde, me l’a faite moins étrangère, il m'a ainsi ouverte à d'autres horizons.
Ensuite il parle au fil de ses livres d'une famille, la bourgeoisie affirmée, le conventionnel assumé, qui n'est certes pas le reflet de la famille où j'ai grandi, mais où j'ai croisé des attitudes que je ressentais dans mon quotidien, en premier lieu ce sentiment de ne pas appartenir au « clan », générateur d'une grande solitude, cette exigence de réussite, avec le travail pour moyen, cette idée d’une trace à suivre, l'impression de passer à côté de l'essentiel. Je n'ai pas du tout eu une adolescence malheureuse, mais elle a eu comme chez tant d'autres, ses difficultés et Yves Navarre, que j'avais en outre vu à la télévision tout de blanc vêtu, la mèche fort séduisante, parlant sans concessions, a été un de ces multiples petits phares qui m'ont aidée à m'orienter. J'ai lu et relu ses romans.
Je l'ai peu à peu abandonné en grandissant, trouvant mes marques, créant mon propre foyer que j'ai voulu différent. J'ai eu cependant quelques années plus tard, un certain pincement au cœur en apprenant sa mort par suicide : je ressentais la perte de quelqu'un que je n'avais pas connu, qui ne m'avait pas connue, mais qui comptait pour moi.
Voilà ce qu'il représente pour moi aujourd'hui. Et des années après, j'ai eu envie de reprendre certains de ses livres. J'en ai eu envie et peur en même temps.
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Re: Yves Navarre
Le temps voulu
La première page:
Difficile d ‘être totalement objective avec un livre, qui me marqua il y a plus de trente ans, et que je reprends aujourd’hui, nostalgie, nostalgie !
C’est quoi ?
Une histoire d’amour !
C’est tout ?
Non , de solitude et d’attente, aussi.
C’est tout.
Mais c’est beaucoup.
Pierre la quarantaine qui a connu plein de garçons, est à ce passage difficile où il devient « le plus vieux » dans le couple » C’est un homme exigeant, secret, qui vit dans l’urgence du sentiment, patient, à l’écart de toute futilité, fuyant le caractère conventionnel d’une famille « correcte » qu’il dérange, mais sa famille quand même.
Et du jour au lendemain, il passe sous l’empire de Duck, la moitié de son âge, sourire au lèvre, incertain, provoquant, voyageur, un égoïste ensorcelant qui prend et ne donne pas toujours. L’amour fait un bien fou, l’amour fait souffrir. Quand son souffle a passé, Pierre revient par l’écriture sur cette histoire d’un été qu’il nous donne à voir dans une récit intense. Un peu d’humour aurait sans doute allégé le récit, mais ce n’est pas un ingrédient dont Navarre est friand, et il eut été alors moins personnel. On n’en reste pas moins pris dans cette histoire aussi simple que tourmentée, aussi sensuelle que réfléchie : Pierre réfléchit , analyse, parlemente avec lui-même, et dans le bonheur reste un désespéré perpétuel, comme nous le montre la belle première scène à l’hôtel Nikko. Et cela donne de nombreux très beaux passages, de ces passages qu’on a envie de noter pour les relire au calme, en s’ imprégnant de leur force tranquille,( parfois presque trop beaux, mais on passe assez vite sur cette lourdeur qui ne suffit pas à effacer l’intensité des sentiments) au rythme scandé, assez obsédant, comme des poèmes en prose...
En tout cas, tout Yves Navarre est là, jusqu’au chat Boubou !
mots-clés : #identitesexuelle
La première page:
Quand ça arrive, en fait, on ne s'y attend pas. On n’attend plus. Un petit moment d'étourderie, et quelqu'un entre dans votre vie, bouscule, caresse, attaque, prend place. Avant même que tout commence, c'est déjà trop tard. On ne sait pas qui choisit qui, quand, comment, pourquoi. On ne le sait qu'après, quand tout est terminé, l’un rejetant sur l'autre toute la responsabilité, et inversement. Et si je te raconte l'histoire du jeune homme de l'été dernier, ce ne sera pas pour l‘accabler. Ce que nous avons vécu, ensemble, un temps, est accablant, vivant, exaltant, blessant, dérisoire. Je dois aller jusqu'au bout de cette histoire. Non pour m'en défaire mais pour la porter, comme un habit neuf, pour les jours à venir.
Rien ne justifie l'absurdité du malheur. Habitués à tout vouloir comprendre, nous oublions trop vite, par le fait des ruptures, cassures, fractures, quand on se quitte, ce que furent les instants d'abandon et de partage, pour ne pas dire de bonheur. Ces instants-là sont irremplaçables.
Difficile d ‘être totalement objective avec un livre, qui me marqua il y a plus de trente ans, et que je reprends aujourd’hui, nostalgie, nostalgie !
C’est quoi ?
Une histoire d’amour !
C’est tout ?
Non , de solitude et d’attente, aussi.
C’est tout.
Mais c’est beaucoup.
« Qu'est-ce que tu t’es dit, à la gare, juste après son départ ? ». John marche à côté de moi. Betsy et Ruth nous suivent. Je réponds « comment c'était avant. Je me suis demandé comment c'était, avant lui, et j'avais déjà oublié, tout oublié. Avant lui, il n'y avait plus rien, rien d'un coup d'un seul, ardoise magique. Il avait tout effacé. (…) »
Pierre la quarantaine qui a connu plein de garçons, est à ce passage difficile où il devient « le plus vieux » dans le couple » C’est un homme exigeant, secret, qui vit dans l’urgence du sentiment, patient, à l’écart de toute futilité, fuyant le caractère conventionnel d’une famille « correcte » qu’il dérange, mais sa famille quand même.
Et du jour au lendemain, il passe sous l’empire de Duck, la moitié de son âge, sourire au lèvre, incertain, provoquant, voyageur, un égoïste ensorcelant qui prend et ne donne pas toujours. L’amour fait un bien fou, l’amour fait souffrir. Quand son souffle a passé, Pierre revient par l’écriture sur cette histoire d’un été qu’il nous donne à voir dans une récit intense. Un peu d’humour aurait sans doute allégé le récit, mais ce n’est pas un ingrédient dont Navarre est friand, et il eut été alors moins personnel. On n’en reste pas moins pris dans cette histoire aussi simple que tourmentée, aussi sensuelle que réfléchie : Pierre réfléchit , analyse, parlemente avec lui-même, et dans le bonheur reste un désespéré perpétuel, comme nous le montre la belle première scène à l’hôtel Nikko. Et cela donne de nombreux très beaux passages, de ces passages qu’on a envie de noter pour les relire au calme, en s’ imprégnant de leur force tranquille,( parfois presque trop beaux, mais on passe assez vite sur cette lourdeur qui ne suffit pas à effacer l’intensité des sentiments) au rythme scandé, assez obsédant, comme des poèmes en prose...
En tout cas, tout Yves Navarre est là, jusqu’au chat Boubou !
mots-clés : #identitesexuelle
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Re: Yves Navarre
Ce sont amis que vent emporte
David, danseur, et Roch, sculpteur -qui écrit ce livre en même temps qu'il le vit-, ont partagé 20 ans d'un amour passionné et intransigeant. Et il partagent les derniers jours de vie de David, qui, comme son amant, est atteint de « cette peste de fin de siècle ». Ces jours, les plus atrocement douloureux de leur vie, sont aussi les plus doux qu'ils ont été amenés à vivre.
On retrouve Yves Navarre, conduit par une passion amoureuse d'une force hors de l'ordinaire. La maladie, ultime épreuve, scelle une alliance indestructible entre deux amants que la mort ne saurait séparer Son style brûlant, à la poésie tragique, poussé ici à l'extrême, frise souvent l'excès pour décrire cet amour qui ne vécut que dans l'excès, et transmet une beauté à la fois tendre et désespérée.
(commentaire récupéré)
David, danseur, et Roch, sculpteur -qui écrit ce livre en même temps qu'il le vit-, ont partagé 20 ans d'un amour passionné et intransigeant. Et il partagent les derniers jours de vie de David, qui, comme son amant, est atteint de « cette peste de fin de siècle ». Ces jours, les plus atrocement douloureux de leur vie, sont aussi les plus doux qu'ils ont été amenés à vivre.
On retrouve Yves Navarre, conduit par une passion amoureuse d'une force hors de l'ordinaire. La maladie, ultime épreuve, scelle une alliance indestructible entre deux amants que la mort ne saurait séparer Son style brûlant, à la poésie tragique, poussé ici à l'extrême, frise souvent l'excès pour décrire cet amour qui ne vécut que dans l'excès, et transmet une beauté à la fois tendre et désespérée.
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Re: Yves Navarre
J'ai eue adolescente moi aussi beaucoup de joie à lire Yves navarre.
Il m'a appris avec effroi qu'on lobotomisait fut un temps. Quelle horreur. (Le jardin d'acclimatation)
Et il m'a accompagnée vers la découverte de la sensualité, même si elle se partageait entre hommes (le petit galopin de nos corps).
Enfin il m'a préparée à recevoir la nouvelle de l'homosexualité d'un de mes proches avec dignité et respect. Sans cela, je crois que j'aurais un peu archétypé. je lui ai fais découvrir cet auteur et j'en étais ducoup très fière.
j'ai beaucoup relu ces deux romans, pendant plusieurs années. Il a un style très clair et franc, jamais dans la pause.
Je m'en souviens mal mais je suis heureuse de le voir ici.
Il m'a appris avec effroi qu'on lobotomisait fut un temps. Quelle horreur. (Le jardin d'acclimatation)
Et il m'a accompagnée vers la découverte de la sensualité, même si elle se partageait entre hommes (le petit galopin de nos corps).
Enfin il m'a préparée à recevoir la nouvelle de l'homosexualité d'un de mes proches avec dignité et respect. Sans cela, je crois que j'aurais un peu archétypé. je lui ai fais découvrir cet auteur et j'en étais ducoup très fière.
j'ai beaucoup relu ces deux romans, pendant plusieurs années. Il a un style très clair et franc, jamais dans la pause.
Je m'en souviens mal mais je suis heureuse de le voir ici.
Dernière édition par Nadine le Mar 20 Déc - 17:08, édité 1 fois
Nadine- Messages : 4832
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Re: Yves Navarre
Oui, je pense qu'à l'époque, il nous a appris pas mal de choses sur l'homosexualité,en effet. Et que ses livres étaient autrement « dangereux » pour lui que s'ils étaient publiés maintenant.
Même sans y retoucher, j'aime bien voir les quelques centimètres de livres de Navarre que j'ai dans ma bibliothèque.
Même sans y retoucher, j'aime bien voir les quelques centimètres de livres de Navarre que j'ai dans ma bibliothèque.
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topocl- Messages : 8395
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Re: Yves Navarre
Tu sais qui a fait le dessin de la couverture?
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topocl- Messages : 8395
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Re: Yves Navarre
Ce que tu écris sur l' influence de Navarre pendant ton adolescence est interessant, Topocl.
Je pense qu' on devrait ouvrir un fil sur les livres qui nous ont marqué pendant cette période
et ont eu une influence durable sur notre vie.
Je pense qu' on devrait ouvrir un fil sur les livres qui nous ont marqué pendant cette période
et ont eu une influence durable sur notre vie.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Yves Navarre
bix_229 a écrit:Ce que tu écris sur l' influence de Navarre pendant ton adolescence est interessant, Topocl.
Je pense qu' on devrait ouvrir un fil sur les livres qui nous ont marqué pendant cette période
et ont eu une influence durable sur notre vie.
Ca serait un sacré travail, les livres qui ont marqué nos adolescences!
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topocl- Messages : 8395
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Re: Yves Navarre
je note de faire une incursion chez cet auteur !
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21018
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Localisation : En Provence
Re: Yves Navarre
Nadine a écrit:topocl, (...) Il est orné d'un beau dessin de l'auteur par Hockney, en plus... Merci !
topocl a écrit:
Tu sais qui a fait le dessin de la couverture?
Non, qui ?
Nadine- Messages : 4832
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Age : 48
Re: Yves Navarre
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topocl- Messages : 8395
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Re: Yves Navarre
C'est super d'avoir pensé à me le signaler topocl, dérosis, dérosis !
Nadine- Messages : 4832
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 48
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