Terrence Malick
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Terrence Malick
Terrence Malick, né le 30 novembre 1943 à Ottawa (Illinois) , est un réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain.
Sa carrière de réalisateur couvre environ quatre décennies mais sept films à peine portent sa signature. La rareté, l'originalité, la puissance visuelle et la vision très personnelle de son cinéma marquent durablement le public, la critique et la profession. Grâce à The Tree of Life, Malick remporte la Palme d'or à Cannes en 2011. Le cinéaste est entouré d'une aura de mystère car ses apparitions en public et ses interviews sont extrêmement rares.
Ses longs métrages sont souvent considérés comme des œuvres majeures du cinéma américain. Malgré son retrait de la scène publique et son désir de rester dans le circuit indépendant, il est régulièrement sollicité par plusieurs grandes vedettes qui ne lui cachent pas leur admiration.
source wiki
Filmographie :
Court métrage
1969 : Lanton Mills
Longs métrages
1973 : La Balade sauvage (Badlands)
1978 : Les Moissons du ciel (Days of Heaven)
1998 : La Ligne rouge (The Thin Red Line)
2005 : Le Nouveau Monde (The New World)
2011 : The Tree of Life
2012 : À la merveille (To the Wonder)
2015 : Knight of Cups
2016 : Voyage of Time : Au fil de la vie (Voyage of Time)
2017 : Song to Song
2017 : Radegund
Invité- Invité
Re: Terrence Malick
Un réalisateur contemporain, bien vivant et actif, oui-oui ! , qui va encore nous produire quelques pépites je l'espère.
Un cinéma certes pas fait pour tout le monde, mais qui a ses adeptes, dont je suis.
Un cinéma panthéiste (Marko si tu me lis ... ), toujours en étroite relation avec la Nature, la métaphysique, avec des voix-off qui font souvent office de prière, de récit mystique.
Les moissons du ciel (1978) :
Second long métrage de Malick. Salué comme son chef-d'oeuvre par certains.
Pour moi, pas mon préféré, faut dire que je n'aime pas particulièrement Richard Gere et ses yeux de Cocker éploré, ni son jeu qui m'a toujours paru unidimensionnel et stéréotypé.
Bon cela dit, ça reste plaisant. Malick est toujours très fort pour filmer la nature, et instaurer un climat hypnotique.
Mais j'ai parfois eu l'impression d'être au milieu d'un vieux mélo (un peu bizarroïde cela dit avec cette relation frère soeur quasi incestueuse).
Voyage of Time (2017) :
Vu récemment au ciné. Là, je me suis bien laisser porter. Je suis sorti détendu et presque revigoré par toutes ces images.
Nulle histoire, si ce n'est celle de la vie, de l'univers, de la création.
C'est un peu le Tree of Life, en plus poussé. Un trip cosmique.
Avec Cate Blanchett en narratrice, qui nous sert des sortes de mantras. Pour ma part, je m'en serais passé tout de même, les images magnifiques se suffisent à elles-mêmes.
Mes réserves : un peu trop centré sur l'homme dans le message, et d'ailleurs plutôt raté dans la partie "hommes préhistoriques"
En tout cas, définitivement le genre de film à voir sur très grand écran, mais comme la plupart des films de Malick.
J'y reviendrai, mais j'avais bien aimé La Ligne Rouge ; un peu moins Le Nouveau Monde.
Un cinéma certes pas fait pour tout le monde, mais qui a ses adeptes, dont je suis.
Un cinéma panthéiste (Marko si tu me lis ... ), toujours en étroite relation avec la Nature, la métaphysique, avec des voix-off qui font souvent office de prière, de récit mystique.
Les moissons du ciel (1978) :
Second long métrage de Malick. Salué comme son chef-d'oeuvre par certains.
Pour moi, pas mon préféré, faut dire que je n'aime pas particulièrement Richard Gere et ses yeux de Cocker éploré, ni son jeu qui m'a toujours paru unidimensionnel et stéréotypé.
Bon cela dit, ça reste plaisant. Malick est toujours très fort pour filmer la nature, et instaurer un climat hypnotique.
Mais j'ai parfois eu l'impression d'être au milieu d'un vieux mélo (un peu bizarroïde cela dit avec cette relation frère soeur quasi incestueuse).
Voyage of Time (2017) :
Vu récemment au ciné. Là, je me suis bien laisser porter. Je suis sorti détendu et presque revigoré par toutes ces images.
Nulle histoire, si ce n'est celle de la vie, de l'univers, de la création.
C'est un peu le Tree of Life, en plus poussé. Un trip cosmique.
Avec Cate Blanchett en narratrice, qui nous sert des sortes de mantras. Pour ma part, je m'en serais passé tout de même, les images magnifiques se suffisent à elles-mêmes.
Mes réserves : un peu trop centré sur l'homme dans le message, et d'ailleurs plutôt raté dans la partie "hommes préhistoriques"
- Spoiler:
- On aurait dit des Body-buildés sortis de la salle de sport
En tout cas, définitivement le genre de film à voir sur très grand écran, mais comme la plupart des films de Malick.
J'y reviendrai, mais j'avais bien aimé La Ligne Rouge ; un peu moins Le Nouveau Monde.
Invité- Invité
Re: Terrence Malick
Les moissons du ciel est un de mes films préférés. La dimension esthétique de la mise en scène me bouleverse à chaque instant, tout comme la voix-off si particulière de Linda Manz. Les personnages semblent lointains et presque absents face aux tourments dévastateurs de la nature, à la fois éclatante et destructrice.
Voyage of Time n'a eu qu'une sortie très confidentielle, alors que Song of Song pourra être découvert cet été. Cette période de l'oeuvre de Malick, entre doute et créativité, est difficile à appréhender même si je l'ai suivi jusque dans ses films récents souvent controversés (To The Wonder et Knight of Cups).
Voyage of Time n'a eu qu'une sortie très confidentielle, alors que Song of Song pourra être découvert cet été. Cette période de l'oeuvre de Malick, entre doute et créativité, est difficile à appréhender même si je l'ai suivi jusque dans ses films récents souvent controversés (To The Wonder et Knight of Cups).
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