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Hella S. Haasse

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Message par Bédoulène Mar 20 Déc - 9:58

Hella S. Haasse (1918-2011)

Hella S. Haasse Hella-10

Hélène Serafia Haasse, dite Hella S. Haasse (née le 2 février 1918 à Batavia (aujourd'hui Jakarta), Indonésie, et morte le 29 septembre 2011 à Amsterdam), est une écrivaine néerlandaise. Auteure de théâtre, d'essais, de textes de cabaret et de textes autobiographiques, elle a gagné sa grande renommée surtout par ses romans.

Le lycée de Batavia, que fréquentait Hella Haasse dans les années 1930
Hélène Serafia (Hella S.) Haasse est née le 2 février 1918 à Batavia, (anciennes Indes néerlandaises). Sa mère est la pianiste Katherina Diehm-Winzenhöhler et son père Willem Hendrik Haasse, inspecteur des finances au Gouvernement. Hella Haasse a grandi aux Indes néerlandaises, sauf de 1924 à 1928, années où sa mère suivait une cure au Sanatorium néerlandais à Davos, Suisse. Passionnée de lecture et de théâtre, elle écrit à 11 ans son premier roman historique. Pendant ses années de lycée, elle découvre la poésie. En 1938 elle part aux Pays-Bas pour des études de littérature et d'art dramatique à Amsterdam. Elle termine l'école de théâtre en 1943, mais déjà en 1944, année où elle se marie avec Jan van Lelyveld, rédacteur de Propria Cures, elle abandonne cette voie pour se vouer à plein temps à l'écriture, d'abord de la poésie (Stroomversnelling, 1945), des petites pièces de théâtre et des textes de cabaret, mais très vite elle se tourne vers la prose.

Sa nouvelle Oeroeg (1948, titre français : Le Lac noir), écrite pour un concours, lui vaut le premier prix et une renommée nationale. Cette nouvelle se situe en Indonésie. Le thème qui s'en dégage est l'influence réciproque entre colons et colonisés. Oeroeg a été adapté à l'écran en 1993 par Hans Hylkema. Sa jeunesse dans les Indes est une riche source d'inspiration aussi pour d'autres livres. Le roman Heren van de Thee (1992, titre français : Les Seigneurs du thé) a reçu des lecteurs le prix du Meilleur Livre de 1992 et a été en nomination pour le prix européen de littérature.

Au cours de sa longue carrière, Hella Haasse a reçu toute une série de prix littéraires néerlandais. En 1992, la reine Beatrix la décore de la Médaille d'Or des Arts et Sciences de l'Ordre de la Maison d'Orange. Elle reçoit pour l'ensemble de son œuvre les prix les plus prestigieux : en 1981 le prix Constantijn Huygens, en 1984 le prix P.C. Hooft, en 1985 le prix Dr. J. van Praag, et en 2004 le prix des Lettres Néerlandaises.
Elle occupe des postes universitaires prestigieux en obtenant en 1986/1987 une chaire de professeur invitée de littérature à l'université catholique de Brabant à Tilburg ; puis elle est nommée membre d'honneur de l'Académie royale belge de linguistique et de lettres néerlandaises à Gand. Elle devient docteur honoris causa à l'université d'Utrecht en 1988, et en 1991, membre honoraire de la Société des lettres néerlandaises à Leyde.
En 1993, le musée de la Littérature de La Haye consacre une exposition à Hella Haasse à l'occasion de son 75e anniversaire. De son dernier roman, Sleuteloog (2002) 200 000 exemplaires ont été vendus en quelques mois seulement et ce livre a reçu le prix NS des lecteurs 2003. En 2008 est ouvert le Musée virtuel Hella Haasse, offert à l'occasion de son 90e anniversaire.

En 1949, Hella Haasse écrit Het Woud der verwachting (titre français : En la forêt de longue attente) sur le prince, poète et prisonnier Charles d'Orléans. Dans ce livre se rencontrent trois de ses intérêts principaux : la poésie, le roman historique et la France. Après le succès de la traduction de ce livre en français, les poèmes de Charles d'Orléans ont été réédités. De 1981 à 1990, Hella et son mari habitent en France, à Saint-Witz au nord de Paris. Elle écrit alors plusieurs romans et récits qui se situent en France, mais c'est surtout la période des grands romans-documentaires historiques. Elle est déjà de retour à Amsterdam quand le ministère de la Culture de France lui remet les décorations d'abord d'officier, puis de commandeur dans l’Ordre des Arts et des Lettres, et ensuite celle d'officier de la Légion d'honneur. Elle a été comparée à Marguerite Yourcenar.

La traduction en 1989 de Het woud der verwachting en anglais: In a Dark Wood Wandering a apporté à Hella Haasse d'un coup une renommée internationale. Depuis, elle est traduite dans nombre de langues et elle est lue à travers le monde.
(wikipedia)

Liste des œuvres parues en français

1948 Le Lac noir
1949 En la forêt de longue attente
1950 La source cachée
1952 La ville écarlate
1957 Les Initiés
1963 Un fil dans le noir
1966 Un goût d'amandes amères
1968 Les jardins de Bomarzo
1971 Locataires et sous-locataires
1973 Le Maître de «la descente»
1976 Une liaison dangereuse. Lettres de La Haye
1978 La Récalcitrante
1983 Les routes de l'imaginaire
1986 Des nouvelles de la maison bleue
1991 Le Temps est un songe ou Henri-René Lenormand et les Pays-Bas
1992 Les Seigneurs du thé, Page 1 ,
1993 Le Génie du lieu, suivi de La Gloriette (1980), Page 1 ,
1994 En transit
1997 Viser les cygnes
2000 Un long week-end dans les Ardennes
2002 L'Anneau de la clé, Page 1 ,
2007 La chasse aux étoiles

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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia



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Message par Bédoulène Mar 20 Déc - 10:02

Hella S. Haasse 51fchf11

"Les seigneurs du thé"

Une lecture agréable pour cette histoire qui se déroule de 1873 à 1918, sur l'Ile de Java. A la sortie de ses études d'ingénieur en Hollande Rudolph Kerkhoven, n'a qu'une hâte rejoindre ses parents et d'autres membres de sa famille aux Indes pour y vivre, travailler et gagner l'approbation des siens.Il s'investit activement, défrichant des terres vierges pour y planter du thé ; il se marie avec Jenny Roosegarde et ils auront 5 enfants. Au fil des années, les sacrifices, les privations, la difficulté de vivre dans une maison manquant de confort vont miner la santé physique et morale de Jenny. Alors que la réussite est assurée que Gamboeng devient un domaine magnifique, que les enfants sont adultes Jenny se suicide.
Le caractère autoritaire de Rudolph, le fait qu'il se soit senti toute sa vie incompris, non reconnu à sa juste valeur par sa famille, que le monde pour lui se limitait justement à sa famille, ses terres Rudolph n'a pas pris conscience des désirs de sa femme, de ses regrets et de son état. Il était persuadé, lui qui l'aimait tant qu'il contentait Jenny et ne lui trouvait pas de raisons de se plaindre.
C'est au soir de sa vie et en partie après avoir lu des lettres que Jenny avait envoyées à sa soeur Marie qu'il mesura ses torts.

Les descriptions de cette région sont superbes, le lecteur imagine facilement les vastes terres plantées de théiers ; le climat qui nourrit ces plantes, l'isolement des habitations.
la situation des femmes affligées de nombreuses naissances qui les épuisent physiquement et moralement m'a particulièrement touchée dans cette histoire.
Rudolph préfère vivre à Gamboeng jus'à la fin de sa vie, l'auteure a bien traduit l'amour qu'il porte à sa terre et le bonheur qu'il y puise.
A travers quelques bribes de conversations l'on devine l'attitude des colons vis à vis des indigènes. Rudolph lui a souhaité communiquer avec eux et apprends le sondonais, il respecte leurs coutumes et religion et est respecté. Jenny est plus dure avec eux.
La vie de Jenny s'est délitée jour après jour dans l'ignorance de son mari jusqu'à ce que les signes deviennent impossibles à réfuter.
L'échec n'a été ressenti essentiellement que par Jenny, qui dès le premier instant a été déçue par la vision offerte par Gamboeng alors domaine en devenir.
Elle aurait préféré une vie plus ouverte sur le monde, mais le monde de Rudolph se restreignait à sa famille et sa terre.

(message rapatrié)

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Message par tom léo Mar 20 Déc - 15:46

J'ajoute encore mes notes sur le même livre...:

Hella S. Haasse 51fchf10

Les Seigneurs du thé

J’ai lu ce roman comme un véritable „page-turner“, un bon roman historique qui est ancré dans la réalité pour deux bonnes raisons: d’abord Hella Haasse a de par son histoire personnelle des racines sur Java et on le sent spécialement dans les descriptions de la nature, mais aussi les antinomies entre la vie aux Pays-Bas et celle dans la colonie, entre la vie de la couche blanche des colonisateurs en relation avec les autochtones. Puis pour un autre part, elle fait référence, dans son introduction, à des documents utilisés : il ne s’agirait donc pas purement d’une fiction.

Ainsi on reçoit une bonne idée de la vie sur une plantation de thé sur Java dans le dernier quart du 19ième siècle. Ce n’était pas la tarte, mais du labeur difficile pour les héros du roman. C’était aussi une époque de transition où on commençait à demander certains droits (salaire) pour les ouvriers. Mais malgré ces descriptions sous-jacentes, la couche des propriétaires restera dans le centre d’intérêt et seulement la lecture attentive révélera des conditions d’autres couches sociales. Dans la même perspective on découvrira les duretés de la vie pour les/des femmes : la femme de Rodolphe se trouvera dans un isolement, loin des siens, avec des accouchements. Pas de possibilités de vivre autre chose, mais même la peur de la vie sauvage à la lisière du jungle. On y sent une critique de ce rôle attribué à la femme chez Haasse.

Entre les lignes on découvrira surtout dans le protagoniste un amour, un attachement pour la terre, la nature !

Il est bien possible que certains auteurs auraient encore élaboré tels ou tels événements clés, y auraient mis encore plus de pathos, de couleurs. Là, Haasse reste dans une certaine objectivité, une certaine distance. Elle ne s’impose pas par des artifices de la langue.

Une bonne lecture pour les amateurs de romans historiques…
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Message par Bédoulène Mar 20 Déc - 16:01

merci pour ton commentaire qui conforte le mien et certainement comme tu le dis il y a des accents de vérité dans ce récit.

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Message par Armor Jeu 9 Fév - 3:00

Hella S. Haasse 51rohz10

L'anneau de la clé

Alors qu'elle mène une vie recluse au fin fond de sa campagne, Herma reçoit une lettre d'un journaliste enquêtant sur son amie d'enfance, Dée. Dans la correspondance qui s'établit entre eux, Herma tente d'en dire le minimum. Mais dans sa tête, il en va tout autrement, et les notes qu'elle couche sur le papier n'ont pas grand chose à voir avec le récit purement factuel dévolu au journaliste…

Sous nos yeux renaît le monde aujourd'hui révolu des grands propriétaires terriens et des riches colons de l'Empire des Indes. Un âge d'or pour la narratrice, qui évoque avec nostalgie sa jeunesse indonésienne, son amitié avec Dée et la fascination qu'exerçait sur elle la famille de celle-ci.
Pourtant, au fur et à mesure que les souvenirs affluents, les zones d'ombre se font de plus en plus grandes, les douleurs refoulées apparaissent au grand jour. Plus Herma se remémore des épisodes de sa vie qu'elle avait préféré oublier, plus le mystère autour de la personnalité de Dée et de ses relations avec Herma s'épaissit. Le tableau idyllique laisse place à une vérité bien plus tourmentée, au récit du lent délitement d'une époque…

Le texte d'Herma est parcellaire ; l'occupation japonaise, aux conséquences désastreuses pour les deux familles, est quasiment passée sous silence. Et de multiples questions resteront à jamais sans réponse... Mais c'est justement là que Hella S.Haasse excelle, dans les silences, dans les non-dits, dans les mensonges que l'on se fait à soi-même pour continuer à vivre. Avec subtilité, elle parsème son récit de petits cailloux qui, au-delà des apparences, trahissent le désarroi d'Herma, confrontée à un passé bien lourd et à l'effondrement de toutes ses certitudes… Au lecteur de déceler les plus cachés d'entre eux…

Spoiler:

Ce roman m'a paru beaucoup plus personnel que Les seigneurs du thé, que j'avais lu précédemment. Je ne sais ce que l'auteur a mis d'elle-même dans le personnage d'Herma, voire dans celui de Dée, mais elle fait revivre à merveille l'époque de l'Empire des Indes dans lequel elle a grandi. Une société de privilégiés, avec ses oeuvres de charité, ses thés dansants et ses vacances luxueuses. Et pourtant… Malgré une évidente nostalgie, l'auteur n'en reste pas moins lucide sur la fin annoncée d'un système. Par petites touches, elle nous montre combien l'atmosphère était déjà gangrenée…

J'ai été emportée par l'atmosphère envoûtante de ce roman. Parfois frustrée par les multiples zones d'ombre non résolues, je l'avoue, mais séduite de bout en bout. Quelle richesse, et quelle complexité dans ces quelques 180 pages !

(Ancien commentaire remanié)


mots-clés : #colonisation


Dernière édition par Armor le Mar 24 Oct - 22:05, édité 2 fois
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Message par tom léo Jeu 9 Fév - 7:48

Hella S. Haasse 517kna10

Le génie du lieu suivi de : La gloriette


CONTENU:
Deux courts récits sur la mémoire des lieux et celle des femmes, étroitement liées, qui peuvent ensemble remédier aux traumatismes du passé et changer l'avenir.

4ème page de couverture a écrit:Au centre de ces deux récits, deux femmes qui ont en commun d'apercevoir, comme dans le froissement d'un feuillage sous le vent, une troublante présence qui se dérobe et pourtant leur fait signe.
Est-ce une menace, l'annonce d'un changement, la promesse d'une révélation, ou le furtif passage d'un souvenir ? Elles s'avancent avec crainte vers ce qui doit être découvert... Les arbres, le vieux puits, la gloriette du jardin ont capturé les ombres d'une époque lointaine, ils libèrent peu à peu ce qui restait inavoué. Tout en clairs-obscurs, ces miniatures condensent les qualités maîtresses de la romancière néerlandaise : le goût de l'histoire, l'art d'effleurer les mystères, l'empathie avec les personnages.
On y savoure aussi le parfume de ces contes qui disent avec douceur des choses graves, et vous conduisent subrepticement au plus profond des forêts intérieures.
                                                       
REMARQUES:
Dans le premier récit le lieu visité par une femme en vacances est « habité » par une histoire qui s’y est déroulée il y a longtemps : un fils de chevalier, tombé lépreux, a du se retirer dans les forêts et vivre reclus. C’est en trouvant un puits dans une partie inhabitée de la forêt que notre héroïne va chercher des traces de cette histoire. Et c’est avec des touches délicates, entre conte, irréalité et promenades et découvertes, que deux époques se parlent. Question pour nous, à quel point un lieu reste habité par ceux qui nous ont précédés et reste détenteur d’une histoire. Est-ce qu’il y a, sans parler du paranormal, des interférences, des renvois mutuels possibles ?

Le deuxième récit paraît, dans ce sens-là, plus terre à terre : c’est plutôt l’histoire d’une relation mère-fille, ici lié à un lieu qui réveille d’anciens souvenirs…

Dans ce troisième livre lu par moi de cet auteur, je reste surpris par encore un autre style, un autre genre, par rapport aux « Seigneurs du thé » ou « En transit ».

C’est vite lu, et surtout le premier récit, plaisant. Peut-être un peu beaucoup d’argent pour à peine une soixantaine de pages ?
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