Iouri Bouïda
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Re: Iouri Bouïda
Fascinant, oui, le mot est juste.
Maintenant, perso, tout ce qui me dépasse, et ne m'empêche pas de dormir, y en a des tonnes...
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Dernière édition par Tristram le Jeu 18 Avr - 13:49, édité 1 fois
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15964
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Re: Iouri Bouïda
Peut-être que ça me plairait ?
Selon la lune peut-être .
Selon la lune peut-être .
églantine- Messages : 4431
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Re: Iouri Bouïda
églantine a écrit:Peut-être que ça me plairait ?
Selon la lune peut-être .
animal a écrit:(travaux pratiques en vue ?)
Haha!!
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8560
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Re: Iouri Bouïda
Shanidar et moi-meme avions eu la meme impression de lecture. concernant Le Train zéro.
J'ai lu aussi les nouvelles de Yermo et La Fiancée Prussienne, mais je n'en ai pas souvenir.
Mais je vais perséverer. Peut etre que Tom est mieux armé pour apprécier...
J'ai lu aussi les nouvelles de Yermo et La Fiancée Prussienne, mais je n'en ai pas souvenir.
Mais je vais perséverer. Peut etre que Tom est mieux armé pour apprécier...
Dernière édition par bix_229 le Ven 15 Mai - 17:08, édité 1 fois (Raison : ant)
bix_229- Messages : 15439
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Re: Iouri Bouïda
Je pense que Shanidar parlait de "Potemkine ou le troisième coeur". Je suis allé revoir sur Parfum et effectivement son commentaire était assez rosse :
Et en conclusion :
Sacrée Shani !
Le grotesque des situations et des personnages l'emportent finalement et tout est tellement ENORME que cela tombe dans le ridicule le plus inoffensif. Une bouffonnerie, en somme.
Et en conclusion :
Décidément la littérature russe reste pour moi un continent obscur...
Sacrée Shani !
ArenSor- Messages : 3436
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Re: Iouri Bouïda
Cela me ramentoit Boulgakov, et bien sûr Gogol.
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Tristram- Messages : 15964
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Re: Iouri Bouïda
Le train zéro
Embarrassé je suis. Les changements de tonalité, le fondu entre réel et métaphore vécue, comme vous l'avez déjà souligné, c'est du bel ouvrage. Cette noirceur, cette dureté, ce désespoir qui sonne très russe est violemment dépaysant c'est certain. Et plus que Tarkovski ce ton très particulier plus brutal que lyrique tout en étant fluide, coulant,... comme un courant qui vous submerge, vous étouffe, m'a rappelé d'autres films russes (Zhit notamment, pour ce qu'on peut en voir). L'esthétique oui mais sans avoir l'air au premier plan.
Tout ça oui, mais lu trop vite ou pas le moment c'était un peu trop. ça m'a mis mal à l'aise. C'est violent et pas rigolo et c'est normal "mais". En tout cas un livre auquel je n'adhère pas les yeux fermés. Puissant mais ça ne fait pas tout. Je ne sais comment dire. Un peu trop sur des rails aussi ? (Jeu de mot de m... )
Embarrassé je suis. Les changements de tonalité, le fondu entre réel et métaphore vécue, comme vous l'avez déjà souligné, c'est du bel ouvrage. Cette noirceur, cette dureté, ce désespoir qui sonne très russe est violemment dépaysant c'est certain. Et plus que Tarkovski ce ton très particulier plus brutal que lyrique tout en étant fluide, coulant,... comme un courant qui vous submerge, vous étouffe, m'a rappelé d'autres films russes (Zhit notamment, pour ce qu'on peut en voir). L'esthétique oui mais sans avoir l'air au premier plan.
Tout ça oui, mais lu trop vite ou pas le moment c'était un peu trop. ça m'a mis mal à l'aise. C'est violent et pas rigolo et c'est normal "mais". En tout cas un livre auquel je n'adhère pas les yeux fermés. Puissant mais ça ne fait pas tout. Je ne sais comment dire. Un peu trop sur des rails aussi ? (Jeu de mot de m... )
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Re: Iouri Bouïda
j'avais dans l'idée de le lire et je persiste !
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21745
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Re: Iouri Bouïda
Intrigant ! D'ailleurs, je m'aperçois que je ne sais rien de la littérature russe actuelle, ce serait l'occasion de m'y mettre.
Quasimodo- Messages : 5461
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Re: Iouri Bouïda
Souvenirs de La Fiancée prussienne. Evocation d'un pays misérable matériellement et affectivement. Une belle écriture.
"Les canons grondaient, tirant des boulets taillés dans les moraines des glaciers préhistoriques. Des caravanes hanséatiques se traînaient dans le brouillard. Le diable en personne, sous l’apparence d’un Poisson monstrueux, exhibait son épine dorsale au-dessus de la plaine de Frisches Haff. L’aubépine était en fleur. L’églantine. Cela sentait la pomme. A toutes les saisons de cette éternité tombait une pluie qui ondoyait sous le vent soufflant de la mer. L’époque prussienne... Je vivais dans une éternité que je voyais dans un miroir. C’était une vie qui était en même temps un rêve. Les rêves sont de l’étoffe dont sont faits les mots. "
"Les canons grondaient, tirant des boulets taillés dans les moraines des glaciers préhistoriques. Des caravanes hanséatiques se traînaient dans le brouillard. Le diable en personne, sous l’apparence d’un Poisson monstrueux, exhibait son épine dorsale au-dessus de la plaine de Frisches Haff. L’aubépine était en fleur. L’églantine. Cela sentait la pomme. A toutes les saisons de cette éternité tombait une pluie qui ondoyait sous le vent soufflant de la mer. L’époque prussienne... Je vivais dans une éternité que je voyais dans un miroir. C’était une vie qui était en même temps un rêve. Les rêves sont de l’étoffe dont sont faits les mots. "
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Iouri Bouïda
Le train zéro
Après avoir lu vos commentaires sur Le train zéro que j’ai lu récemment, je voulais d’abord dire que je ne me prononcerai pas sur la question du « chef d’œuvre », j’en suis incapable. En revanche, je dirais que c’est un livre qu’on n’oublie pas.
Je me suis demandée ce que cela avait changé de ne pas garder le titre russe Don Domino qui focalisait sur le personnage d’Iv an….au lieu de focaliser sur le train zéro.
Je suis donc repartie d’Ivan, de sa qualité d’enfant de la Patrie dont les parents ont été éliminés car non conformes, une sorte d’enfant vierge de toute influence familiale pour en faire l’Homme nouveau, sans racines : est-ce cela l’homo sovieticus ? Le rêve d’un départ à zéro comme le train du même nom.
On souligne souvent sa dévotion sans faille au train mais est-il aussi insensible que cela ? Je regarderais donc du côté des femmes et je partirais d’une citation qui témoigne de sa vision :
Est-ce si vrai pour lui ? Une manière de faire le malin ?
Des femmes qui comptent dans sa vie, on peut en énumérer trois :
Fira, la femme rêvée, la transparente, la pure qui deviendra opaque quand elle aura été violée.
Aliona, la petite boiteuse, qui croira entendre sa mère dans le train et sera la seule à donner un enfant, et même une enfant vivante à Ivan. Alionka. Celle qui fait dérailler le train par son suicide qu’Ivan avait essayé d’éviter en l’enfermant.
Goussia, la grosse femme, celle que Vassia le frère de lait d’Ivan avait épousé recueillera deux enfants : celui de Fira et celui d’Aliona. Goussia, c’est la nourrissière, la mère. Celle qui veille sur les hommes :
Le train est central mais ce sont aussi des personnages qui tournent autour de Don Domino, celui qui reste jusqu’au bout et disparaît avec la Ligne.
Un récit où passé et présent s’entrecroisent, se condensent parfois dans une même phrase. Une tragédie dense, politique et sensible mais pourquoi avoir changé le titre ??
Après avoir lu vos commentaires sur Le train zéro que j’ai lu récemment, je voulais d’abord dire que je ne me prononcerai pas sur la question du « chef d’œuvre », j’en suis incapable. En revanche, je dirais que c’est un livre qu’on n’oublie pas.
Je me suis demandée ce que cela avait changé de ne pas garder le titre russe Don Domino qui focalisait sur le personnage d’Iv an….au lieu de focaliser sur le train zéro.
Je suis donc repartie d’Ivan, de sa qualité d’enfant de la Patrie dont les parents ont été éliminés car non conformes, une sorte d’enfant vierge de toute influence familiale pour en faire l’Homme nouveau, sans racines : est-ce cela l’homo sovieticus ? Le rêve d’un départ à zéro comme le train du même nom.
On souligne souvent sa dévotion sans faille au train mais est-il aussi insensible que cela ? Je regarderais donc du côté des femmes et je partirais d’une citation qui témoigne de sa vision :
"Une femme, c’est juste des muqueuses. Celle-là ou une autre quelle différence. La seule différence, c’était que l’une s’endormait en sanglotant, en balbutiant et en collant sa hanche brûlante contre l’homme, alors que l’autre s’assoupissait un demi-sourire aux lèvres, avec un caramel au creux de la joue et une goutte de jus sucré au coin de la bouche…"
Est-ce si vrai pour lui ? Une manière de faire le malin ?
Des femmes qui comptent dans sa vie, on peut en énumérer trois :
Fira, la femme rêvée, la transparente, la pure qui deviendra opaque quand elle aura été violée.
Aliona, la petite boiteuse, qui croira entendre sa mère dans le train et sera la seule à donner un enfant, et même une enfant vivante à Ivan. Alionka. Celle qui fait dérailler le train par son suicide qu’Ivan avait essayé d’éviter en l’enfermant.
Goussia, la grosse femme, celle que Vassia le frère de lait d’Ivan avait épousé recueillera deux enfants : celui de Fira et celui d’Aliona. Goussia, c’est la nourrissière, la mère. Celle qui veille sur les hommes :
« elle a l’habitude de vivre avec des cinglés. Vassia était cinglé. Don Domino est cinglé »
Bien sûr, il y a aussi les femmes-trouffions avec des noms pas possibles : Rosa-du-Froid, Pied-de-Grue qui sont là pour vanter les prouesses sexuelles d’Ivan.« Goussia nourrissait la petite fille ; son lait n’était pas encore tari depuis la mort de son troisième enfant. Elle donnait le sein et elle riait….Elle avait un enfant vivant.. Une petite boule violette que la chaleur et le lait rosissaient peu à peu. C’était presque que comme s’il était à elle. Personne ne le lui prendrait….Elle [Aliona] était passée en coup de vent, et elle avait disparu. Comme si elle n’avait pas existé. Une petite bonne femme qui avait le vagabondage dans le sang. Durant toute sa courte vie, elle avait cherché quelqu’un. Elle disait que c’était sa mère.. Sans doute. Peut-être. Mais peut-être que c’était juste une histoire de vagabonder. Ivan avait ralenti sa course, mais il ne l’avait pas guérie. Maintenant elle vagabondait parmi d’autres ombres dans les prairies du paradis. Ou peut-être que ce n'était pas le paradis. Quelle différence. L’autre monde, c’est juste un autre monde. Soudain Ivan se mit à pleurer. Pour la première fois peut-être, il avait de la peine, non pour lui-même mais pour cette vagabonde, cette Aliona. Cette Gouliéna. Comme si, bizarrement, elle lui était entrée dans le sang et maintenant, ça le brûlait, ça lui faisait mal, enfin, ça lui faisait de la peine. Elle était arrivée de nulle part, ne s’était attachée à rien, était repartie vers nulle part, une toute petite femme étrange qui boitillait…. »
Le train est central mais ce sont aussi des personnages qui tournent autour de Don Domino, celui qui reste jusqu’au bout et disparaît avec la Ligne.
Un récit où passé et présent s’entrecroisent, se condensent parfois dans une même phrase. Une tragédie dense, politique et sensible mais pourquoi avoir changé le titre ??
Pinky- Messages : 543
Date d'inscription : 28/11/2021
Re: Iouri Bouïda
Merci Pinky pour tes impressions détaillées.
@Pinky mais pourquoi avoir changé le titre ??
Tu lis le russe ?
@Pinky mais pourquoi avoir changé le titre ??
Tu lis le russe ?
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Iouri Bouïda
Merci pour les points que tu soulignes : homo sovieticus et vision allégorique des femmes qui gravitent autour de Don Domino.
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Re: Iouri Bouïda
Non, je ne lis pas le russe mais je me suis demandé ce que cela faisait de changer le titre. Quand c'est possible, j'aime bien regarder quel est le titre original d'un livre étranger.
Pinky- Messages : 543
Date d'inscription : 28/11/2021
Re: Iouri Bouïda
Une trentaine de nouvelles, plus ou moins courtes mais des plus intéressantes. La première (en guise de préface) donne son nom au livre.
Toutes ces histoires sont tristes, sombres, car le bonheur y est éphémère. Mais combien d’humanité dans ces nouvelles ; même les handicapés, les démunis, les abîmés de la vie y sont aimés. Une ambiance fantastique, le passé et le présent entrelacés.
La folie, la mort rôdent.
On retrouve dans ces nouvelles, la rivière, le pont, la rue Semerka, la fabrique, la cantine tantôt blanche tantôt rouge, l’asile de fous, l’Orphelinat dans cette ville de Welhau, le sergent Liocha, la Pétardière qui sait et voit tout et d’autres.
Cette région, ancienne Prusse Orientale a été soit Allemande, soit Russe au gré des guerres, c’est le pays de l’auteur. Une région où circulent légendes et mythes. Et « Il » Dieu souvent présent quel que soit son « emploi ».
Juste quelques extraits pour la compréhension : dans la première nouvelle donc deux adolescents violent les tombent pour voler des objets, bijoux, ils ouvrent donc la tombe de la « fiancée Prussienne »
«On dirait qu’elle est vivante ! articula Matras d’une telle voix qu’on aurait cru que sa langue était en coton. Elle fait tic-tac. »
« La jeune fille poussa un soupir et au même instant, la robe vaporeuse et la peau lisse se transformèrent en un nuage de poussière qui se déposa lentement le long de la colonne vertébrale noueuse. » (mythe de la poussière, fait de terre nous retombons en poussière)
« D’une orbite noire s’envola soudain un minuscule papillon » (mythe du papillon qui est âme)
Eva-Eva : La magnifique Eva est arrivée dans la ville avec les premiers colons russes. Tous les hommes étaient amoureux d’elle.
« Quelles ne furent pas notre surprise et notre indignation quand nous apprîmes qu’elle s’était mise en ménage avec le muet. Seigneur Hans ! Cet empoté aux longs bras dont même les Allemands se payaient la tête. » Dieu qui a créé les muets et les jolies femmes, est le seul à savoir.
Eva meurt par amour quand les allemands sont déportés, donc Hans.
Douriaguine peintre et professeur au collège ; sa fille se meurt, il ne l’a jamais aimé cette personne insipide, mais quand elle lui demande de venir la voir à l’hôpital il s’y rend 2 fois par jour. Ne sachant que dire il peint ; comme elle dit aimé le lilas il peindra des aquarelles de branches de lilas, tout un mur.
« C’est comme qui dirait l’arbre de la mort ! a fait Douriaguine d’une voix neutre. Tu comprends comme c’est affreux ? Je ne l’aimais pas. »
Le narrateur à qui Douriaguine a offert l’une des aquarelles dit qu’elle est accrochée au-dessus de son bureau depuis plus de trente ans.
La dernière nouvelle "Bouïda" (en guise de postface)
Bouïda parle de lui, de son nom ; de la signification d'un nom de son utilité ou pas, de l'intérêt ou pas de la connaissance de la personne en donnant des exemples :
"Ces connaissances ont parfois une certaine influence sur notre compréhension des sources ou des singularités de l'oeuvre d'un écrivain, mais au fond, elles ne servent à rien. Le véritable nom d'Homère, c'est 'l'Illiade".
Shakespeare s'appelle "le roi Lear", et Dostoïevski "Crime et Châtiment"...."
""J'espère qu'on ne m'accusera pas de prétention et d'orgueil, je n'ai choisi mon nom, uniquement mon destin. Mais il ne restera qu'un nom, bien que seul le destin signifie quelque chose."
*****
Quelle belle écriture, poétique, légère, avec une touche d'humour malgré la sombreur des thèmes.
Lisez ses nouvelles !
\Mots-clés : #amour #fantastique #mort #nouvelle #pathologie
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Bédoulène- Messages : 21745
Date d'inscription : 02/12/2016
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Re: Iouri Bouïda
Ça me tente bien, à te lire !
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Tristram- Messages : 15964
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 68
Localisation : Guyane
Re: Iouri Bouïda
toutes les nouvelles sont excellentes. oui lis ce livre !
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Bédoulène- Messages : 21745
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