Joan Fontcuberta
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Joan Fontcuberta
source : slash-paris.comNé en 1955 à Barcelone où il vit et travaille, Joan Fontcuberta développe une activité plurielle : enseignant, critique, historien, artiste, commissaire d’exposition, il est aussi une figure majeure de la photographie plasticienne contemporaine.
Après des études en sciences de l’information à l’Université autonome de Barcelone, il travaille dans le domaine de la publicité et du journalisme. Professeur à la Facultad de Bellas Artes (Barcelone) entre 1978 et 1986, Joan Fontcuberta continue depuis à enseigner comme professeur invité dans différents centres et universités en Europe et aux États-Unis.
Il collabore régulièrement à des publications consacrées à l’art et à l’image. En 1980, il cofonde de la revue Photovision, dont il dirige la rédaction jusqu’en 2004.
Chercheur en histoire de la photographie espagnole du XXe siècle, il collabore avec des institutions comme le Ministerio de Cultura ou le Departement de Cultura de le Generalitat Cataluña en tant que commissaire de nombreuses expositions. Il est conseiller pour la collection FotoGGrafia des éditions Gustavo Gili (Barcelone). Il a publié plusieurs ouvrages consacrés à l’histoire, l’esthétique et la pédagogie de la photographie.
Promoteur et fondateur de nombreuses manifestations photographiques, il organise en 1979 les Jornadas Catalanas de Fotografia et cofonde en 1982 la Primavera Fotografica de Barcelone. En 1996, il est nommé directeur artistique des Rencontres internationales de la photographie d’Arles. Enfin il est nommé commissaire invité pour le Mois de la Photographie de Montréal en 2015.
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8548
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Joan Fontcuberta
Manifeste pour une post-photographie
Intéressant (très) petit bouquin acheté aux Rencontres photographiques d’Arles (même s’il apporte plus d’interrogations que de réponses) et qui interroge sur ce qu’est devenue la phonographie suite à l’apparition de Photoshop (rapport à la vérité), à la massification du numérique et aux nouveaux usages (partage à tout va, selfies etc). Quel sens a encore la photo ? Quel sens a encore la profession de photoreporter et autres questions qui me taraudent actuellement au point que je ne fais pratiquement plus de photos dans un mode qui ne vit que par ça.
L’inflation de la photographie est-elle une émancipation ou un capitalisme de l’apparence ?
Y a t’il intérêt à prendre encore une photo de plus ?
Intéressant (très) petit bouquin acheté aux Rencontres photographiques d’Arles (même s’il apporte plus d’interrogations que de réponses) et qui interroge sur ce qu’est devenue la phonographie suite à l’apparition de Photoshop (rapport à la vérité), à la massification du numérique et aux nouveaux usages (partage à tout va, selfies etc). Quel sens a encore la photo ? Quel sens a encore la profession de photoreporter et autres questions qui me taraudent actuellement au point que je ne fais pratiquement plus de photos dans un mode qui ne vit que par ça.
L’inflation de la photographie est-elle une émancipation ou un capitalisme de l’apparence ?
Y a t’il intérêt à prendre encore une photo de plus ?
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8548
Date d'inscription : 02/12/2016
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Re: Joan Fontcuberta
Question d'image (qu'on se donne ou bien qui nous inspire) ?topocl a écrit:L’inflation de la photographie est-elle une émancipation ou un capitalisme de l’apparence ?
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Keep on keeping on...
Re: Joan Fontcuberta
topocl se serait dommage de ne plus faire de photos, pour ma part, ce sont des souvenirs que j'aime regarder.
et je pense aux photographies des photographes animaliers, des photos de Yann Arthus-Bertrand.
"capitalisme de l'apparence" cela dépend de qui prend photo et la raison
il serait aussi dommage topocl de ne plus voir tes photos étonnantes et de même l'oeil d'Animal, de Tristram
et je pense aux photographies des photographes animaliers, des photos de Yann Arthus-Bertrand.
"capitalisme de l'apparence" cela dépend de qui prend photo et la raison
il serait aussi dommage topocl de ne plus voir tes photos étonnantes et de même l'oeil d'Animal, de Tristram
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
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Bédoulène- Messages : 21645
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