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William J Kennedy
par topocl Lun 23 Sep - 13:53
William J. Kennedy
Né en 1928
Né en 1928
William Joseph Kennedy, né le 16 janvier 1928 à Albany dans l'État de New York, est un écrivain et journaliste américain.
Diplômé du Siena College à Loudonville (NY), Kennedy réside actuellement à Averill Park, un hameau situé à 25 kilomètres à l'est d'Albany. Après avoir effectué son service militaire, Kennedy vit à Porto Rico où il rencontre son mentor, Saul Bellow qui l'encourage à écrire des romans. Kennedy, qui était impatient de quitter Albany dans sa jeunesse, y retourne et travaille pour le journal Times Union comme journaliste d'investigation et écrit sur la machine politique de O'Connell.
Œuvres en français : Le cycle d'Albany
• Jack Legs Diamond (Legs), 1975 ;
• Billy Phelan (Billy Phelan's Greatest Game), 1978 ;
• L'Herbe de fer (Ironweed), 1983 ;
• Le Livre de Quinn (Quinn's Book), 1988 ;
• Vieilles Carcasses (Very Old Bones), 1992 ;
• Le Bouquet embrasé (The Flaming Corsage), 1996 ;
• Roscoe, 2002.
Merci à wikipedia
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Flore Vasseur
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Re: William J Kennedy
par topocl Lun 23 Sep - 13:59
L’herbe de fer
Pulitzer 1984
Depuis des années, de train en train, Francis fuit sa ville, sa famille, son passé. Autrefois, dans une autre vie, il a échappé son fils de 13 jours et celui-ci en est mort. Francis est devenu clochard, vivant de la fraternité des autres cloches comme lui, hanté par les morts qui ont marqué sa vie, et la culpabilité qui y est liée.
De retour dans sa ville natale d'Albany, il va tâcher de recoller quelques morceaux, mais décidément, son destin est dans la fuite.
Très attachant portrait d'un personnage hors du commun, touchant dans sa dérive abandonnique, chez qui la lucidité combat avec la fatalité. Les morts qui passent interlocuteurs aussi prégnants que les vivants sont autant de personnages du roman.
Pulitzer 1984
Depuis des années, de train en train, Francis fuit sa ville, sa famille, son passé. Autrefois, dans une autre vie, il a échappé son fils de 13 jours et celui-ci en est mort. Francis est devenu clochard, vivant de la fraternité des autres cloches comme lui, hanté par les morts qui ont marqué sa vie, et la culpabilité qui y est liée.
De retour dans sa ville natale d'Albany, il va tâcher de recoller quelques morceaux, mais décidément, son destin est dans la fuite.
Très attachant portrait d'un personnage hors du commun, touchant dans sa dérive abandonnique, chez qui la lucidité combat avec la fatalité. Les morts qui passent interlocuteurs aussi prégnants que les vivants sont autant de personnages du roman.
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Flore Vasseur
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Re: William J Kennedy
par Bédoulène Lun 23 Sep - 16:07
merci topocl, bien tentant
cycle d'Albany, simplement parce que en Albany et donc livres indépendants des autres ?
cycle d'Albany, simplement parce que en Albany et donc livres indépendants des autres ?
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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Re: William J Kennedy
par Tristram Lun 23 Sep - 17:44
Reste à savoir comment ce pitch prometteur est rendu !
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
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Re: William J Kennedy
par topocl Mar 24 Sep - 7:47
Plutôt bien ! Une lecture très originale.
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Re: William J Kennedy
par Tristram Mar 24 Sep - 12:15
Vais peut-être me laisser tenter...
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Re: William J Kennedy
par topocl Mer 25 Sep - 7:49
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