Au cinéma
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Re: Au cinéma
Intéressante ton analyse Nadine sur "Roubaix" qui va à l'encontre de la mienne. Oui, il y a ce commissaire un peu comme figure titulaire, mais qui est à la limite "too much", en dehors du fait d'être incarné par un acteur formidable.
Je n'ai pas trouvé larmoyant ces scènes entre les deux filles, mais très intéressant le rapport qui s'établissait entre elles et la façon dont elles réagissaient lorsque l'étau se refermait. C'est la partie du film qui m'a le plus intéressé. Et c'est pour cette raison que j'aimerais voir le documentaire pour juger de l'originalité d'Arnaud Deplechin.
Je pense que ce film n'est pas un polar, allez le voir dans cette optique c'est s'exposer à être déçu. C'est autre chose : les liens, de domination, de soumission, entre deux jeunes femmes, plus ou moins paumées, qui vont les amener à commettre un crime sordide et crapuleux. On n'est pas dans le polar (aucun jugement de valeur de ma part) mais plutôt dans Dostoïevski.
Je n'ai pas trouvé larmoyant ces scènes entre les deux filles, mais très intéressant le rapport qui s'établissait entre elles et la façon dont elles réagissaient lorsque l'étau se refermait. C'est la partie du film qui m'a le plus intéressé. Et c'est pour cette raison que j'aimerais voir le documentaire pour juger de l'originalité d'Arnaud Deplechin.
Je pense que ce film n'est pas un polar, allez le voir dans cette optique c'est s'exposer à être déçu. C'est autre chose : les liens, de domination, de soumission, entre deux jeunes femmes, plus ou moins paumées, qui vont les amener à commettre un crime sordide et crapuleux. On n'est pas dans le polar (aucun jugement de valeur de ma part) mais plutôt dans Dostoïevski.
ArenSor- Messages : 3366
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Rue du Nadir-aux-Pommes
Re: Au cinéma
Vous me donnez envie .
J'ai des films de Desplechin qui m'attendent depuis longtemps alors ...
J'ai des films de Desplechin qui m'attendent depuis longtemps alors ...
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
Re: Au cinéma
EXCELLENT . Passionnant de bout en bout !ArenSor a écrit:r Mosco Boucault, également auteur de l’excellent film « Corleone, le parrain des parrains », diffusé ces jours derniers à la télévision.
D
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
Re: Au cinéma
ArenSor a écrit:Intéressante ton analyse Nadine sur "Roubaix" qui va à l'encontre de la mienne. Oui, il y a ce commissaire un peu comme figure titulaire, mais qui est à la limite "too much", en dehors du fait d'être incarné par un acteur formidable.
Je n'ai pas trouvé larmoyant ces scènes entre les deux filles, mais très intéressant le rapport qui s'établissait entre elles et la façon dont elles réagissaient lorsque l'étau se refermait. C'est la partie du film qui m'a le plus intéressé. Et c'est pour cette raison que j'aimerais voir le documentaire pour juger de l'originalité d'Arnaud Deplechin.
Je pense que ce film n'est pas un polar, allez le voir dans cette optique c'est s'exposer à être déçu. C'est autre chose : les liens, de domination, de soumission, entre deux jeunes femmes, plus ou moins paumées, qui vont les amener à commettre un crime sordide et crapuleux. On n'est pas dans le polar (aucun jugement de valeur de ma part) mais plutôt dans Dostoïevski.
Oui je vois bien pourtant ce que tu veux dire Arensor, mon avis est partial puisqu'en effet j'avais une attente précise , de polar.
C'est un polar tout de même , d'ailleurs. Et j'ai apprécié quand même toutes ces séquences d'interrogatoires croisés. Mais la derniere partie, la reconstitution, m'a semblé étirée de manière outrée et m'a semblé tourner en boucles ce que le déroulé précédent avait justement placé. Il y a un manque de tenue et de force dans l'ensemble, des voies morcellées qui s'annihilent mutuellement dans leurs mises en scènes. Je trouve. J'ai conclu "râté", mais en réalité j'ai trouvé très fertile ce film. Il m'a par contre clairement frustrée. Et puis cette histoire de reconstitution au lendemain de la garde à vue, sous couvert d'empathie totale du flic( en tous cas sur-suggérée) vraiment je ne comprends pas, ça a heurté mon sens logique. Faudrait que je me renseigne aussi sur l'affaire.
Nadine- Messages : 4832
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 48
Re: Au cinéma
PARASITE, de Joon-ho Bong .
D’un côté une famille pauvre , vivant dans un entresol,qui cherche à joindre les 2 bouts par des petits boulots fatigants et mal payés.
D’autre part, une famille très riche qui ne se refuse rien.
Voilà le fils de la famille pauvre qui a l’occasion de donner des cours particuliers d’anglais à la jeune ado riche. De là, lui vient l’idée de caser sa sœur et ses parents au service de la famille riche en lieu et place des personnes déjà embauchées.
Un plan est mis en place. Alors que tout se mettait bien en place, ce plan finit par échapper à leur contrôle, ne plus du tout se réaliser comme prévu. Les parasites sont-ils seuls parasites? La situation va dégénérer et se renverser : un positif - négatif comme les scènes qui se déroulent au-dessus du rez-de-chaussée et celles qui se déroulent en-dessous. Les deux faces d’une médaille. Dans une situation extrême, l’une prend le dessus sur l’autre, pas toujours celle qu’on croit.
A voir.
D’un côté une famille pauvre , vivant dans un entresol,qui cherche à joindre les 2 bouts par des petits boulots fatigants et mal payés.
D’autre part, une famille très riche qui ne se refuse rien.
Voilà le fils de la famille pauvre qui a l’occasion de donner des cours particuliers d’anglais à la jeune ado riche. De là, lui vient l’idée de caser sa sœur et ses parents au service de la famille riche en lieu et place des personnes déjà embauchées.
Un plan est mis en place. Alors que tout se mettait bien en place, ce plan finit par échapper à leur contrôle, ne plus du tout se réaliser comme prévu. Les parasites sont-ils seuls parasites? La situation va dégénérer et se renverser : un positif - négatif comme les scènes qui se déroulent au-dessus du rez-de-chaussée et celles qui se déroulent en-dessous. Les deux faces d’une médaille. Dans une situation extrême, l’une prend le dessus sur l’autre, pas toujours celle qu’on croit.
A voir.
Cliniou- Messages : 916
Date d'inscription : 06/12/2016
Age : 53
Re: Au cinéma
Oui, c'est une belle palme !
L'ingéniosité du scénario est doublée d'un élan si tendu, qu'il se concilie ceux qui, comme moi, auraient pu être agacé par elle. La réalisation est également virtuose, mais elle est bien loin de tourner à vide; on nous tire sans cesse le tapis de sous les pieds, on ne sort jamais du régime de la surprise : toute émotion, quelle qu'elle soit, nous est vigoureusement imprimée par un jeu d'escamotage et de dévoilement brutal. Rarement j'ai autant ri devant un film, qu'il serait pourtant abusif d'appeler une comédie, tout en étant à ce point sensible à la beauté d'un style. D'autres scènes m'ont laissé proprement abasourdi dans mon fauteuil, à douter quelques secondes, sous le choc, du réel tout autour de moi - et peut-être, un instant à peine, me suis-je identifié à Sigismond de La vie est un songe.
Quant aux acteurs, je les trouve exceptionnels (en particulier le père, qui l'était déjà dans Memories of murder).
L'ingéniosité du scénario est doublée d'un élan si tendu, qu'il se concilie ceux qui, comme moi, auraient pu être agacé par elle. La réalisation est également virtuose, mais elle est bien loin de tourner à vide; on nous tire sans cesse le tapis de sous les pieds, on ne sort jamais du régime de la surprise : toute émotion, quelle qu'elle soit, nous est vigoureusement imprimée par un jeu d'escamotage et de dévoilement brutal. Rarement j'ai autant ri devant un film, qu'il serait pourtant abusif d'appeler une comédie, tout en étant à ce point sensible à la beauté d'un style. D'autres scènes m'ont laissé proprement abasourdi dans mon fauteuil, à douter quelques secondes, sous le choc, du réel tout autour de moi - et peut-être, un instant à peine, me suis-je identifié à Sigismond de La vie est un songe.
Quant aux acteurs, je les trouve exceptionnels (en particulier le père, qui l'était déjà dans Memories of murder).
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 28
Re: Au cinéma
J'accuse
J'ai été le voir hier, j'ai beaucoup aimé.
Sauf la derniere séquence un peu ampoulée, mais elle dure 1 mn sur 2h12.
(Ce que je n ai pas aimé c'est l'utilisation de "cartons", de commentaires écrits. On pouvait s'en passer, et ça fait mélo, et gâche le rythme sobre et tenu du reste du film.)
Le personnage de Dreyfus est joué par Garrel : je ne le savais pas et ne l'ai pas reconnu. Ceci posé c'est le seul jeu que je n'ai pas apprécié. Mais en effet, je n'aime pas trop le jeu de Garrel, même quand je le reconnais. ah ah.Donc tout s'explique . (Je me demandais pourquoi le réa avait choisi un comédien tel que celui-ci. je trouve qu'il apporte une note couarde voire veule au personnage et je trouvais ça dommage.)
Sur le sujet du talent cinématographique, Polanski est remarquable.
J'ai notamment beaucoup apprécié le rythme qu'il choisit pour ce film, certaines séquences semblent non découpées , se dérouler en temps réel, c'est très impressionnant et intéressant, cinématographiquement.
Le montage est fabuleux, il saisit chaque nuance psychologique d'une manière très éloignée des prototypes habituels. la surprise, le doute, l'angoisse, toutes ces émotions sont transmises via un geste de main, un arrêt, un mouvement, des champs et contre champs extrèmement peu attendus. c'est un grand observateur et je suis très impressionnée.
La reconstitution historique était très dépaysante, j'ai retrouvé beaucoup de référents qui me parlaient de ma grand mère, personne passeuse pour moi d'un monde révolu, les intérieurs, les objets..mais aussi, de manière plus inédite, et servie par ce rythme sus évoqué, le sentiment de vraiment se rendre compte de l'air du temps, sans qu'une distanciation exotique soit produite .
Je m'explique sur la base d'un exemple : le colonel Picquart se rend quelque part, il arrive, il descend du fiacre, il paye sa course. Il regarde où celui-ci l'a laissé : j'ai eue la sensation d'une contemporanéité de ces humains, tout en réalisant que rien des outils et contextes ne subsistaient aujourd'hui. Un effet de réel, donc, et de proximité existentielle très forts, qui servent à mon avis le sujet.
La distribution est magnifique, Le commandant Henry, notamment, joué par Gregory Gadebois.
Une scène est impressionnante, aussi, le noter, sans divulgâcher trop, une scène de duel : pareil, elle a le pouvoir de nous faire nous rendre compte intimement de ce que cette société était. ce que ses codes impliquaient. A cet égard, les scènes qui cochent l'antisémitisme, bien connu pour avoir été extrèmement appuyé et banalisé à l'époque, sont très violentes, justement parce qu'elles sont traitées dans un déroulé du reste, fortuit, non appuyé spécifiquement par l'artillerie émotionnelle des codes cinematographiques.
Plus de deux heures et un sentiment de plongée dense dans le secret des temps.
J'ai été le voir hier, j'ai beaucoup aimé.
Sauf la derniere séquence un peu ampoulée, mais elle dure 1 mn sur 2h12.
(Ce que je n ai pas aimé c'est l'utilisation de "cartons", de commentaires écrits. On pouvait s'en passer, et ça fait mélo, et gâche le rythme sobre et tenu du reste du film.)
Le personnage de Dreyfus est joué par Garrel : je ne le savais pas et ne l'ai pas reconnu. Ceci posé c'est le seul jeu que je n'ai pas apprécié. Mais en effet, je n'aime pas trop le jeu de Garrel, même quand je le reconnais. ah ah.Donc tout s'explique . (Je me demandais pourquoi le réa avait choisi un comédien tel que celui-ci. je trouve qu'il apporte une note couarde voire veule au personnage et je trouvais ça dommage.)
Sur le sujet du talent cinématographique, Polanski est remarquable.
J'ai notamment beaucoup apprécié le rythme qu'il choisit pour ce film, certaines séquences semblent non découpées , se dérouler en temps réel, c'est très impressionnant et intéressant, cinématographiquement.
Le montage est fabuleux, il saisit chaque nuance psychologique d'une manière très éloignée des prototypes habituels. la surprise, le doute, l'angoisse, toutes ces émotions sont transmises via un geste de main, un arrêt, un mouvement, des champs et contre champs extrèmement peu attendus. c'est un grand observateur et je suis très impressionnée.
La reconstitution historique était très dépaysante, j'ai retrouvé beaucoup de référents qui me parlaient de ma grand mère, personne passeuse pour moi d'un monde révolu, les intérieurs, les objets..mais aussi, de manière plus inédite, et servie par ce rythme sus évoqué, le sentiment de vraiment se rendre compte de l'air du temps, sans qu'une distanciation exotique soit produite .
Je m'explique sur la base d'un exemple : le colonel Picquart se rend quelque part, il arrive, il descend du fiacre, il paye sa course. Il regarde où celui-ci l'a laissé : j'ai eue la sensation d'une contemporanéité de ces humains, tout en réalisant que rien des outils et contextes ne subsistaient aujourd'hui. Un effet de réel, donc, et de proximité existentielle très forts, qui servent à mon avis le sujet.
La distribution est magnifique, Le commandant Henry, notamment, joué par Gregory Gadebois.
Une scène est impressionnante, aussi, le noter, sans divulgâcher trop, une scène de duel : pareil, elle a le pouvoir de nous faire nous rendre compte intimement de ce que cette société était. ce que ses codes impliquaient. A cet égard, les scènes qui cochent l'antisémitisme, bien connu pour avoir été extrèmement appuyé et banalisé à l'époque, sont très violentes, justement parce qu'elles sont traitées dans un déroulé du reste, fortuit, non appuyé spécifiquement par l'artillerie émotionnelle des codes cinematographiques.
Plus de deux heures et un sentiment de plongée dense dans le secret des temps.
Nadine- Messages : 4832
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 48
Re: Au cinéma
J'ai lu depuis qu'il y a quelques procédés du scénario qui révisent la réalité historique. Notamment quant au Colonel Picquart. Il semble qu'il ait été davantage énervé, de manière plus constitutivement sanguine et antisémite, par Dreyfus. le film place le fait qu'il soit antisémite mais n'offre pas de scène qui rende compte d'une quelconque "hystérie" caractérielle de Picquart , on aurait des lettres de lui qui expriment pourtant un profonde antipathie envers Dreyfus, confiée à son destinataire. Le film ne l'appuie pas spécifiquement. Il pose juste que Picquart ne fait pas ce qu'il fait pour combattre l'antisémitisme de l'accusation.
Je connais mal l'affaire, ce n'est pas faute de l'avoir rencontrée énormément dans mes lectures et dans le champ d'analyse littéraire ou sociétal. Je suis donc heureuse d'avoir des repères "fictifs" pour me repérer davantage dorénavant dans ce que je lirai sur le sujet. Notamment je sors de là avec une grande soif de lire sur la politique et l'état à ce moment là, dix ans avant et dix ans après. J ai beaucoup à apprendre, encore, sur l'histoire politique du XIXeme en fait.
Et enfin, il parait que le livre sur lequel s'appuie le script du film est bien. C'est de Robert Harris. Qui connait ?
Je connais mal l'affaire, ce n'est pas faute de l'avoir rencontrée énormément dans mes lectures et dans le champ d'analyse littéraire ou sociétal. Je suis donc heureuse d'avoir des repères "fictifs" pour me repérer davantage dorénavant dans ce que je lirai sur le sujet. Notamment je sors de là avec une grande soif de lire sur la politique et l'état à ce moment là, dix ans avant et dix ans après. J ai beaucoup à apprendre, encore, sur l'histoire politique du XIXeme en fait.
Et enfin, il parait que le livre sur lequel s'appuie le script du film est bien. C'est de Robert Harris. Qui connait ?
Nadine- Messages : 4832
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 48
Re: Au cinéma
Tiens Nadine , ce matin sur Fr cult :
52 MIN L'histoire sur grand écran (1/4) "J'accuse !" de Roman Polanski, qu’en pensent les historiennes et les historiens ?
52 MIN L'histoire sur grand écran (1/4) "J'accuse !" de Roman Polanski, qu’en pensent les historiennes et les historiens ?
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
Re: Au cinéma
Eglantine, merci, ça fait precisement 3h que je creuse la question : pertinence maximale. merci
Nadine- Messages : 4832
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 48
Re: Au cinéma
Quelqu'un a vu "Les Misérables" de Ladj Ly ?
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Au cinéma
https://greenpeacefilmfestival.org/film/chemins-de-travers/
81', en libre accès jusqu’au 31 mars.
Expériences rurales (semences, désobéissance civique, agriculture biologique dont permaculture, circuits courts et biocoops, etc.)
Permet de voir un éleveur qui pleure à l'idée des veaux ne rencontrant jamais leur mère, et qui tue son cochon.
81', en libre accès jusqu’au 31 mars.
Expériences rurales (semences, désobéissance civique, agriculture biologique dont permaculture, circuits courts et biocoops, etc.)
Permet de voir un éleveur qui pleure à l'idée des veaux ne rencontrant jamais leur mère, et qui tue son cochon.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15559
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Au cinéma
pas vu la video mais ce que tu dis Tristram réveille en moi une colère : il y a bien sur des pétitions en ligne contre les actes de cruauté qui se déroulent dans les abattoirs mais ces éleveurs qui "aiment" leur bétail pourquoi ne protestent-ils pas contre ces abattoirs qui maltraitent "leur bétail bien-aimé" ??
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21018
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: Au cinéma
Je suppose qu'ils protestent, mais qu'ils ne font pas péter l'audimat, un peu comme les musulmans évidemment opposés aux extrémistes... Tout le monde n'a pas un charisme de militant ou d'activiste, et tout le monde ne peut pas être audible.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15559
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
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