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Fulco di Verdura

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Message par Bédoulène Dim 4 Déc - 23:26

Fulco di Verdura (1898-1978)

Fulco di Verdura Fulco-10

Né à Villa Niscemi, Palerme , le 20/03/1898
Mort à Londres en 1978

Fulco Santostefano della Cerda, duc et marquis Murata la Cerda Di Verdura, est un joaillier et designer de bijoux italien. Il est le fils du marquis Giulio et de Carolina Valguarnera, fille du prince de Niscemi. Quand, en 1926, son père meurt, la famille est ruinée. Après avoir donné, en manière de rupture, « le plus grand bal costumé que Palerme ait jamais connu » , il s'enfuit vers Paris. Il rencontre la jeune Gabrielle Chanel qui l'engage comme dessinateur de tissus. L'univers qu'il déroule sur ses coupons l'enchante si définitivement qu'elle lui demande de dessiner dorénavant ses bijoux.

Peu de temps avant la Seconde Guerre mondiale, il quitte Paris pour s'installer à New York. Son premier acte américain consiste à dessiner les bijoux que l'actrice Katharine Hepburn portera dans Indiscrétions (The Philadelphia Story, 1940). Fort du soutien de Harper's Bazaar et de Vogue, qui publient quasiment dans tous leurs reportages de mode les formes animales et végétales dont Verdura s'amuse désormais à tirer des bijoux, il ouvre sa boutique sur la Cinquième Avenue. La clientèle la plus huppée de New York s'y presse. Il se spécialise dans les clips à chapeau et les bijoux minuscules.

Après avoir brièvement ouvert une boutique à Paris, au moment du retour sur le devant de la scène de Coco Chanel vers le milieu des années 1950, et vendu à un associé son affaire de New York, c'est à Londres qu'il choisira de s'établir. Il se plonge dans la rédaction d'un ouvrage autobiographique dont la plus grande partie concerne l'enfance.
site:http://www.verdura.com/


_________________________________________________________________________________________________________

Fulco di Verdura Captur63

Une enfance sicilienne

Un délice ce livre qui exhale tous les parfums de la Sicile ; parfums de fleurs, de mer et de montagne, de glaces à dévorer, parfum des saisons.

Descriptions imagées des palais, des rues, des animaux et des gens à travers les souvenirs tenaces de Fulco de Verdura.

Facéties , rêves et peurs d'enfance que nous raconte Fulco si elles sont extraordinaires n'en sont que plus crédibles à la lecture de la postface.

L'amour que Fulco enfant porte à la Villa Niscemi la rend humaine, c'est la "nourrice de l'enfant", en son sein il se sent aimé ; au-delà de cette habitation est l'étranger.

L'Histoire de la Sicile à travers l'histoire des Palais, des Aristocrates, l'évocation du Roi et de Garibaldi ajoute à la compréhension de la Société à laquelle Fulco et sa Famille appartiennent.

Beaucoup de sincérité, d'amour, d'humour dans l'écriture de ces souvenirs, notamment les rapports entre les membres de la Famille mais également le regard porté sur "les autres".

Fulco qui se dit atteint de  "maladie d'opéra" !


Je pense qu'Edmonde-Charles-Roux a fait une traduction très intéressante du texte de Fulco di Verdura


Extraits

Fulco di Verdura F_110

Fulco di Verdura F210

Fulco di Verdura F310

"message rapatrié"


mots-clés : #initiatique


Dernière édition par Bédoulène le Sam 19 Aoû - 11:48, édité 3 fois

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Message par animal Mar 6 Déc - 21:56

ça plairait bien à une Troll ça non ? (et a plein de monde car c'est une superbe lecture).

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Message par Bédoulène Ven 9 Déc - 16:51

oui une lecture qui a un goût et un parfum inoubliables, mais pas que !

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Message par bix_229 Ven 9 Déc - 17:02

Des souvenirs magnifiés par les souvenirs. Souvenirs d 'un pays et d' un lieu vus à travers les yeux d'un privilégié de naissance. Tant mieux pour nous !
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Message par animal Dim 26 Fév - 18:32

Fulco di Verdura Captur63

Une enfance sicilienne

par Edmonde Charles-Roux d'après Fulco di Verdura.

Des souvenirs d'enfance d'un sicilien de bonne famille dont on comprend à demi mots (quand on ne connait pas son histoire avant de lire le livre) que sa vie a beaucoup changé. Le livre est un catalogue mi géographique mi chronologique de la vie de Fulco di Verdura entre l'âge de quatre ans et la douzaine environ.

Je passe rapidement sur l'aspect historique surprenant... un mélange "vrai" d'ambiance XVII et XVIIIème qui déborde sur ce début de XXème siècle, un monde à part dans une culture à part sur une île aux influences diverses mais... un peu à part,  à la fois perméable et traditionnelle. On découvre une foule de choses à peine croyable et diablement intéressantes. Un livre à lire avec des yeux tout ronds ! (et les descriptions de Palerme... )

On pourrait craindre un côté vieillot ou convenu, poussiéreux, nostalgique tirant sur le larmoyant, bref la lecture intéressante mais poussive avec laquelle on se sent fatalement et à regrets en décalage. Mais pas une seconde. C'est une histoire, DES histoires, qui recherchent l'état d'esprit du bonheur qu'elles racontent. Mené par une grande franchise on découvre un monde incroyable avec décrit dans une désarmante simplicité, l'attention à l'atmosphère, aux détails, beaux et moins beaux, l'attachement... la curiosité, le jeu, l'attente. Le lecteur a ce monde servi sur un plateau, on lit avec plaisir les anecdotes, les descriptions et on sent le soleil et les ombres. Il y a une grande générosité dans l'état d'esprit et la manière de raconter, de faire découvrir. C'est le même genre de plaisir qu'avec les mille et une nuits, des histoires à la frontière du merveilleux, ce sont des souvenirs mais c'est écrit pour partager des instants de bonheur, de plaisir.

La condition sociale de ce jeune garçon (et ce qu'il est devenu sans doute) font que si le décors est privilégié, c'est son regard et son ouverture (et ses doutes) qui donnent toute sa saveur au livre.

Un très très agréable moment, merveilleux de curiosité, et une porte ouverte sur la Sicile qu'on referme l'eau à la bouche (ça cause manger là-dedans avec des arguments variés et imparables !).

Et un livre que j'aurais aimé partager avec ma grand-mère...

quatrième de couverture a écrit:La Sicile du début du siècle, ses palais, ses jardins, ses fêtes, ses mœurs qui semblent plonger dans un passé fabuleusement éloigné, sa splendeur et sa folie, voilà qui nous est restitué dans ce livre unique, écrit par le duc Fulco di Verdura en son âge avancé, moins pour faire oeuvre littéraire que pour conserver dans le souvenir une époque à jamais révolue.

Edmonde Charles-Roux a mis toute sa connaissance de la Sicile et tout son talent de romancière à traduire et adapter, quand il le fallait, ce texte d'un délicieux anachronisme qui emportera le lecteur dans un monde drôle, savoureux, exotique. Il y apprendra comment on élevait un jeune aristocrate à Palerme avant la Première Guerre mondiale, quelle impression mémorable causa l'arrivée d'un chameau dans la maison paternelle ; pourquoi et comment sainte Rosalie est devenue la patronne et protectrice de la capitale sicilienne, quelle fonction symbolique était assignée aux cinq rangées de loges de l'Opéra ; et mille autres détails qui le plongeront dans ce même univers merveilleux où le prince de Lampedusa avait déjà puisé la matière de son Guépard.

Ce témoignage écrit avec fraîcheur et malice sur une des provinces les plus curieuses de l'Europe est fait pour émouvoir, divertir, enchanter quiconque aime se dépayser par les livres. Quel plus beau voyage rêver que cette remontée capiteuse jusqu'aux temps où Palerme vivait les dernières heures d'une civilisation à nulle autre pareille et d'autant plus éclatante que les rayons du déclin la touchaient.

(récup. et retouche).

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Message par bix_229 Dim 26 Fév - 18:50

Quel rôle a joué Edmonde Charles-Roux dans l'adaptation du livre ?
Malheureusement Silou n'est pas là pour nous éclairer...
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Message par animal Dim 26 Fév - 21:34

traduction et arrangement et la bonne idée de nous permettre d'en profiter ?

extraits :

Au terme de ces rêveries, il me fallait saluer la chère Toré et lui promettre qu'à notre prochain voyage sur le continent,nous ne manquerions pas, ainsi que nous le faisions chaque année, de soustraire à son intention une pincée de terre, prélevée dans le jardin des Tuileries.
Aucun cadeau ne pouvait la toucher d'avantage.
Enfermé dans une bonbonnière, il lui était remis à notre retour avec cérémonie. Et nous attendions, pour nous retirer, qu'elle ait versé quelques larmes.
Le lien de la noble dame avec la Révolution française n'était pas banal. Son propre père, comme cela était encore la coutume, avait été marié à l'âge de quatorze ou quinze ans. Ce mariage à l'ancienne lui avait donné pour épouse une petite fille de son âge. Ils avaient l'un et l'autre environ dix-huit ans en 1794. La jeune épouse avait péri sur l’échafaud, tandis que le comte de La Trémoille fut sauvé, in extremis, par les journées de Thermidor et la chute de l'Incorruptible.
Le veuf ne se remaria qu'à soixante ans passés. Il eut deux filles, dont l'ainée était notre "chère Toré". C'est ainsi qu'à dix ou douze ans, je posais un regard interrogateur sur la vieille dame aux joues striées de blanc, installée dans son fauteuil comme un personnage de roman. A l'instant de prendre congé d'elle, je me disais que j'allais baiser la main d'une femme dont la belle-mère, morte guillotinée en l'an II avait été contemporaine de Saint-Just et de Robespierre.
Quand bien des années plus tard, j'évoquais son souvenir, elle m'apparaissait sous les traits d'une sorte de dame de pique sicilienne.


Dans la plupart des pays civilisés ce sont des personnages attrayants qui, le jour de Noël, apportent leurs cadeaux aux enfants : Santa Claus, le Père Noël etc. En Italie, c'est déjà autre chose : la distribution des cadeaux a lieu le jour de la fête des Rois, et ce n'est pas un aimable vieillard vêtu de rouge qui joue les donateurs, mais la Befana, une sorcière voyageant à cheval sur son balai. Elle vient récompenser les bons enfants, tandis que les méchants n'ont droit qu'à cendres et poussière.
Quant à la Sicile, où rien ne se passe comme ailleurs, elle ne connaissait de mon temps ni le Santa Claus des pays du Nord, ni le Père Noël des Français, ni la Befana des Italiens. C'étaient I Morti (les défunts) qui déposaient les cadeaux au pied du lit des enfants, et leur visite avait lieu dans la nuit du 1er au 2 Novembre.
L'Eglise chercha, en vain, à mettre un terme à l'antique usage en quoi elle voyait une survivance des temps païens. Mais l'île ne se laissa pas troubler par les voix qui, depuis le continent, la menaçaient dans ses coutumes, et les Morts de Sicile, aujourd'hui encore, tiennent lieu de Père Noël aux petits enfants. Pourquoi en eût il été autrement ? Pour ma part, peut-être parce que je suis aussi Sicilien qu'il est possible et d'ascendance espagnole de surcroît, je n'ai jamais été choqué par cette intrusion des Morts dans la vie quotidienne des enfants et ne l'ai jamais jugée macabre. Il me semblait que les attentions dont j'étais l'objet témoignaient du désir de mes grands-parents de m'être agréables et m'apportaient la preuve que le bébé dont ma mère avait si cruellement ressenti la perte, mon frère aîné tôt disparu, veillait sur moi depuis l'au-delà. En fait, je trouvais à cette activité des Morts une qualité mélancolique, certes, mais naturelle. La Sicile était terre de contrastes. Elle ignorait les demi-teintes. En cet univers de montagnes dénudées, de roches escarpées, de ravins sans fond, de paysages lunaires, plus secs que de vieux os abandonnés au soleil, mais aussi de vallées fraîches, d'orangeraies embaumées, de blondes plages et d'oliveraies argentées, il me semblait normal qu'entre ces deux extrêmes, entre les ténèbres et l'écrasante lumière, la Mort eût sa place. Il fallait bien, n'est-ce pas, qu'elle fût quelque part? Aussi n'y avait-il pas lieu de s'étonner que, bien que nous rangeant parmi "les gens évolués" qui célébraient Noël selon la mode étrangère, autour d'un sapin planté en plein salon, nous n'en renoncions pas, pour autant, à fêter aussi I Morti à la mode sicilienne.

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Message par Bédoulène Lun 27 Fév - 9:38

sur le site de Grasset :

"Edmonde Charles-Roux a mis toute sa connaissance de la Sicile et tout son talent de romancière à traduire et adapter quand il le fallait ce texte d'un délicieux anachronisme qui emportera le lecteur dans un monde drôle, savoureux, exotique. Il y apprendra comment on élevait un jeune aristocrate à Palerme avant la Première Guerre mondiale ; quelle impression mémorable causa l'arrivée d'un chameau dans la maison paternelle ; pourquoi et comment sainte Rosalie est devenue la patronne et protectrice de la capitale sicilienne ; quelle fonction symbolique était assignée aux cinq rangées de loges de l'Opéra ; et mille autres détails qui le plongeront dans ce même univers merveilleux où le prince de Lampedusa avait déjà puisé la matière de son Guépard. Quel plus beau voyage rêver que cette remontée capiteuse jusqu'aux temps où Palerme vivait les dernières heures d'une civilisation à nulle autre pareille et d'autant plus éclatante que les rayons du déclin la touchaient ?"

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Message par silou Lun 27 Fév - 18:59

bix_229 a écrit:Quel rôle a joué Edmonde Charles-Roux dans l'adaptation du livre ?
Malheureusement Silou n'est pas là pour nous éclairer...

Silou ne va pas hélas pouvoir t'éclaire Bix, je ne sais rien du travail d'adaptation d'Edmonde Charles-Roux.
Fulco di Verdura a écrit simplement un seul livre de souvenirs, deux ans avant son décès, il avait alors 77 ans, d'abord en anglais sous le titre “A Sicilian Childhood – The happy summer days”,
puis il l'a réécrit avec quelques modifications semble-t-il l'année suivante en italien "Estati Felici" (Etés heureux) :
Fulco di Verdura 88373010

Fulco di Verdura était un cousin de Giuseppe Tomasi di Lampedusa et il a semble-t-il travaillé avec Visconti à la scénographie du Guépard.
On doit retrouvé dans Un enfance sicilienne une atmosphère semblable à celle évoquée par Lampedusa dans Les Lieux de mon enfance, peut-être certains d'entre vous ont-ils lu les deux textes ?
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Message par Bédoulène Mar 28 Fév - 10:37

non pas lu Silou, mais du coup je note !

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Message par bix_229 Mar 28 Fév - 15:12

Silou, est-ce que Les Lieux de mon enfance figure dans le recueil Le Professeur et la sirène ?
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Message par silou Mer 1 Mar - 21:52

Oui Bix, c'est le premier texte qui figure dans Le professeur et la sirène.
Dans la nouvelle traduction de Jean-Paul Manganaro (qui vient tout juste de sortir en poche), le titre est simplement Souvenirs d'enfance, ce qui est la traduction exacte du titre italien.
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Message par bix_229 Mer 1 Mar - 22:32

Merci, Silou ! J' avais lu l' ancienne édition, mais il y a longtemps...
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