Objets Audio-Visuels divers

Nadine a écrit:Un documentaire de 12 mn très beau

https://www.arte.tv/fr/videos/105848-000-A/iye-ka-i-moi-sabelle/

De quoi me rendre compte à quel point je ne réalise pas la Guyane, que j'arpente sur les pas de Valery Adelphe ces jours-ci.

oui très beau ! là aussi condition féminine

Clip avec de la ville et de l'électro !

entendu une cloche, la musique et un bruit qui ressemble à celui d'un grincement sur des vitres, quelqu'un qui a de l 'asthme ? freinage !

j'ai bon ?

hahaha. de la musique quoi

Swissway to Heaven en intégral, disponible depuis début avril sur YouTube.

 Cédric Lachat inénarrable   (heureux qu'il refasse cordée vec Nina Caprez, après leur séparation en tant que couple, pour Wo Gü, qui fait d'ailleurs l'objet d'un film à part que vous trouverez aisément, mais enfin tout ça s'est une autre histoire).

De l'humour, de la très très haute difficulté, des voies préparées méticuleusement, beaucoup de moyens, de cameramen et de temps - donc d'argent investi (ou engagé, comme vous préférez), bref, une prise de risque pas seulement sur les parois...
C'est peut-être la seule mini-critiquette: S'il n'y avait pas eu tout ça à filmer, Cédric Lachat y serait allé franco, tel quel, sans ce barda de cordes fixes, de chèvres, d'appro en eau et en vivres, sans non plus les dégaines en places et les prises poffées...
Mais il n'aurait pas pu partager !

Par rapport à ses autres films, celui-ci est davantage tourné vers le grand public, tout en restant au top sur le plan des performances, et plutôt exceptionnel quant au rendu photo.  

So High, de Romain Desgranges, sorti en 2017, s'adresse sans doute nettement moins au grand public, mais scotche littéralement l'aficionado (vu et revu pour ma part).


Le côté désert mystique (à la Calexico, dont on parlait sur une autre fil), la quête intérieure en sus de la performance extrême - puisqu'il est à-vue, sans reco ni préparation dans son escalade, seul dans le désert avec le cameraman: c'était salement gaufré, ça, Monsieur Romain !

Question:
Ces highballs sont-il encore du domaine de l'escalade de bloc ? Ou est-ce plutôt du free solo ? J'incline pour la seconde hypothèse !


Une BD est venue ensuite, reprenant cette histoire et notre protagoniste, chez l'inévitable éditeur Paulsen - Guérin:
Ne me l'étant pas (encore) procurée je me contente de la mentionner.

Pour Topocl, qui dit ne pas parler anglais :

et moi donc, mais j'ai compris quels mots écris.

héhéhé, pas mal