Nevil Shute

Nevil Shute Norway est né en Grande-Bretagne en 1899, il meurt en Australie en 1960. Après avoir servi dans l’armée britannique pendant la Première guerre mondiale, il étudie à Oxford et devient ingénieur aéronautique, métier qu’il mènera parallèlement à une carrière d’écrivain riche de 25 romans dont le plus célèbre reste aujourd’hui Le dernier rivage.


Source : chemindefer.org

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Bibliographie (VF) :
- Prisonnier du passé, J. H. Jeheber, 1946.
- Décollage interdit, Julliard, 1950.
- Le testament, Delamain et Boutelleau, 1951.
- Le sixième livre, Delamain et Boutelleau, 1952.
- Le lointain pays, Delamain et Boutelleau, 1954.
- L’escadrille de la reine, Delamain et Boutelleau, 1955.
- Le mot de l’énigme, Stock, 1956.
- Les frontières du cœur, Stock, 1957.
- Le dernier rivage, Stock, 1957.
- L’arc-en-ciel et la rose, Stock, 1958.
- Bonnes vacances Mr Howard, Casterman, 1959.
- Une chasse aux diamants, Stock, 1960.
- Printemps pour un pilote, Casterman, 1960.
- Mona et le sous-marin, Casterman, 1961.
- Pour un oui, pour un non, Casterman, 1963.

Le dernier rivage

Aaaaaaah, l'Australie, le post apocalyptique nucléaire et les pénuries d'essence.... ça sent la sauvagerie !

... Ou pas. Dans la vision de Nevil Shute quand l'hémishpère nord virtuellement n'existe plus et que les jours de l'hémisphère sud sont comptés on fait plutôt comme on peut. C'est à dire que l'on soit commandant de sous-marin, jeune couple avec enfant, ingénieur ou jeune célibataire on fait un peu comme tous les jours d'avant mais avec un indicible et un gros point d'interrogation sur la conscience en plus.

La vie de tous les jours en pas pareil avec pourquoi ? en fond et des choses très simples au fond dans ce livre un peu simple mais étrangement parlant. Pas besoin de meurtres à tout va dans la SF, la question de l'identité de notre vie au milieu des grands chamboulements imaginables suffit ?

Ici ça suffit, un rien suranné mais une trame positive ça fait plutôt du bien tant ça peut résonner avec une grande peur réactualisée...


Mots-clés : #sciencefiction

Que je ciompte bien voir.