Lectures de Janvier 2023

Aucune idée pour l'instant, en tous les cas avec le Chattam "la constance du prédateur" ca démarre mal, j'ai du mal à accrocher, à la page 63 on en est encore à faire l'apologie de la flic, le personnage principal...

Hier, j'ai commencé et quasiment terminé Les Aventures du brave soldat Švejk, premier tome d'une trilogie si j'ai bien compris. Je l'avais déjà donc je m'y suis plongé en attendant de recevoir Mendelssohn est sur le toit ; autant dire que je suis très déçu : il faut dire que le roman exploite une veine pour le moins truculente d'un comique de farce et que... je ne suis absolument pas réceptif à ce ton-là. Me farcir, pour ainsi dire, des dizaines de page à suivre le galimatias sans queue ni tête d'un homme parfaitement ivre, c'est trop pour moi. Et l'intelligence de la critique m'échappe, globalement ; sur la religion, par exemple, je trouve ça très convenu.
Dommage...

Je continue La pensée blanche de Lilian Thuram.

LC en duo avec un livre incroyable : "Entre ciel et terre", de Jon Kalman Stefansson.

J'ai presque fini La Fontaine d'Héghnar de Mkrtitch Armen (ne me demandez pas comment on prononce son prénom) et je suis agréablement surpris ! Belle découverte, je vous en reparle.
Je continue sur ma lancée avec John Cowper Powys et commence à embarquer (vers la page 200) je n'étais pas tellement convaincu avant.

Je pense commencer un roman d'Elsa Morante d'ici peu.
Ou peut-être Jules Vallès.

Fancioulle a écrit:Hier, j'ai commencé et quasiment terminé Les Aventures du brave soldat Švejk, premier tome d'une trilogie si j'ai bien compris. Je l'avais déjà donc je m'y suis plongé en attendant de recevoir Mendelssohn est sur le toit ; autant dire que je suis très déçu : il faut dire que le roman exploite une veine pour le moins truculente d'un comique de farce et que... je ne suis absolument pas réceptif à ce ton-là. Me farcir, pour ainsi dire, des dizaines de page à suivre le galimatias sans queue ni tête d'un homme parfaitement ivre, c'est trop pour moi. Et l'intelligence de la critique m'échappe, globalement ; sur la religion, par exemple, je trouve ça très convenu.
Dommage...

Je peux comprendre, moi j'avoue que Hasek est l'un des rares auteurs à me faire hurler de rire. Je ne peux même pas le lire en public.

Les noces dans la maison de Hrabal.
De mon côté, j'avais Le soldat Svejk et mon commentaire dort dans mon ordinateur.

Hanta a écrit:

Fancioulle a écrit:Hier, j'ai commencé et quasiment terminé Les Aventures du brave soldat Švejk, premier tome d'une trilogie si j'ai bien compris. Je l'avais déjà donc je m'y suis plongé en attendant de recevoir Mendelssohn est sur le toit ; autant dire que je suis très déçu : il faut dire que le roman exploite une veine pour le moins truculente d'un comique de farce et que... je ne suis absolument pas réceptif à ce ton-là. Me farcir, pour ainsi dire, des dizaines de page à suivre le galimatias sans queue ni tête d'un homme parfaitement ivre, c'est trop pour moi. Et l'intelligence de la critique m'échappe, globalement ; sur la religion, par exemple, je trouve ça très convenu.
Dommage...

Je peux comprendre, moi j'avoue que Hasek est l'un des rares auteurs à me faire hurler de rire. Je ne peux même pas le lire en public.

Vos commentaires sont incitatifs (malgré ta déception, Fancioulle) : j'y viendrai un jour ou l'autre.

Je commence un court texte autobiographique d'une écrivaine chère à Bix : Là où le temps est un autre, d'Anna Maria Ortese. J'ai prévu de lire son roman L'Iguane cette année.

Hanta a écrit:

Fancioulle a écrit:Hier, j'ai commencé et quasiment terminé Les Aventures du brave soldat Švejk, premier tome d'une trilogie si j'ai bien compris. Je l'avais déjà donc je m'y suis plongé en attendant de recevoir Mendelssohn est sur le toit ; autant dire que je suis très déçu : il faut dire que le roman exploite une veine pour le moins truculente d'un comique de farce et que... je ne suis absolument pas réceptif à ce ton-là. Me farcir, pour ainsi dire, des dizaines de page à suivre le galimatias sans queue ni tête d'un homme parfaitement ivre, c'est trop pour moi. Et l'intelligence de la critique m'échappe, globalement ; sur la religion, par exemple, je trouve ça très convenu.
Dommage...

Je peux comprendre, moi j'avoue que Hasek est l'un des rares auteurs à me faire hurler de rire. Je ne peux même pas le lire en public.

Cela dit, passées le dialogue ennivré, les soixante dernières pages m'ont réconcilié avec le roman. Je me dis que la caricature de l'arrière m'a moyennement convaincu mais que celle du front pourrait me plaire.
J'ai lu Le Requiem de Terezin, qui m'incite à écouter attentivement celui de Verdi. Et depuis, ben, ralenti par la grippe... Bonne nouvelle, malgré tout, j'ai reçu le Jiri Weil !

Bédoulène a écrit:j'ai lu et apprécié AMO Quasi !

Je ne doute pas que ça me plaise aussi

Fini le "Journal" de Jules Renard, j'attaque " Histoire intime de la Ve République: la belle époque" de Franz-Olivier Giesbert.

" Les souris ont la peau tendre" de Frédéric Dard.

Naguib Mahfouz, Dérives sur le Nil.

J'ai commencé L'homme surnuméraire hier soir.

Je commence " Le secret de Joe Gould" de Joseph Mitchell.