LC Ducharme Réjean

Bix j'ai relevé dans mon commentaire, le fait "qu'elle croit haïr sa mère" et aussi ce passage

"Mon idylle avec la panthère blanche aux yeux d'azur ne dure plus, n' a plus cours. Elle a vécu ce que vit toute douceur : l'espace d'un malentendu. C'est sa faute ! C'est une imbécile. Elle est bête à pierre fendre. Elle n'a rien compris. Je l'aimais comme un garçon aime une fille.  Quand j'étais seule avec elle je ne pouvais la regarder sans avoir l'impression de faire du mal. Elle n'a rien compris."

j'avais bien saisi ce que tu dis ; toutefois tu ne peux éluder la rébellion

Bien entendu, elle est rebelle, mais comme sa rebellion est sans cesse niée, elle se retourne contre elle en une forme de nihilisme.
Ses sentiments, quand elle est sur le point de s' abandonner à eux, elle les nie
presque aussitot.
Tout ce qu' il pourrait y avoir de "positif" dans sa démarche est aussitot contré
par sa méfiance viscérale.

Elle aime une forme de lutte avec un adversaire digne d' elle, -sa mère-
Contre son père, en revanche, elle obéit par force.
Mais il ne compte pas. Enfin pas plus qu' un obstacle obtus.
Ce qui lui vaut de beaux règlements de compte avec la religion juive de son père
puis catholique de sa mère.
Je crois qu' il ne faut pas plus attendre de la vraisemblance dans certains épisodes,
comme la rencontre du père et de la mère en Pologne.
Que dans les raisonnements très matures de Bérénice enfant.

Je n' ai pas terminé...