Wim Wenders
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Wim Wenders
Wim Wenders (né le 14 août 1945 à Düsseldorf, Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie) est un réalisateur, producteur, scénariste de cinéma et photographe allemand. Il est l'un des représentants majeurs du nouveau cinéma allemand des années 1960-70. Actuellement, il travaille principalement aux États-Unis.
Filmographie :
Longs métrages
1970 : Summer in the City
1972 : L'Angoisse du gardien de but au moment du penalty (Die Angst des Tormanns beim Elfmeter)
1973 : La Lettre écarlate (Der Scharlachrote Buchstabe)
1974 : Alice dans les villes (Alice in den Städten)
1975 : Faux Mouvement (Falsche Bewegung)
1976 : Au fil du temps (Im Lauf der Zeit)
1977 : L'Ami américain (Der Amerikanische Freund)
1982 : Hammett
1982 : L'État des choses (Der Stand der Dinge)
1984 : Paris, Texas
1987 : Les Ailes du désir (Der Himmel über Berlin)
1991 : Jusqu'au bout du monde (Bis ans Ende der Welt)
1993 : Si loin, si proche ! (In weiter Ferne, so nah !)
1994 : Lisbonne Story (Lisbon story)
1995 : Par-delà les nuages (Al di là delle nuvole)
1995 : Les Lumière de Berlin (Die Gebrüder Skladanowsky)
1997 : The End of Violence
2000 : The Million Dollar Hotel
2004 : Land of Plenty
2005 : Don't Come Knocking
2008 : Rendez-vous à Palerme (The Palermo Shooting)
2015 : Every Thing Will Be Fine
2016 : Les Beaux Jours d'Aranjuez (The Beautiful Days of Aranjuez)
2017 : Submergence
2018 : The Miso Soup
- Documentaires et courts métrages:
Documentaires
1980 : Nick's Movie (ou Lightning Over Water)
1984 : Docu Drama
1985 : Tokyo-Ga
1989 : Carnets de notes sur vêtements et villes (Aufzeichnungen zu Kleidern und Städten)
1998 : Willie Nelson at the Teatro
1999 : Buena Vista Social Club
2002 : Viel passiert - Der BAP-Film
2003 : The Soul of a Man (documentaire produit par Martin Scorsese Presents)
2011 : Pina (en stéréoscopie)
2014 : Le Sel de la Terre (The Salt of the Earth)
Courts métrages
1967 : Schauplätze
1968 : Victor I.
1968 : Klappenfilm
1968 : Same Player Shoots Again
1969 : Drei Amerikanische LP's (TV)
1969 : Silver City
1969 : Polizeifilm (TV)
1969 : Alabama: 2000 Light Years From Home
1982 : Reverse Angle (TV)
1982 : Chambre 666 (documentaire TV)
1990 : Red Hot and Blue - segment « Night and Day »
1992 : Arisha, l'ours et l'anneau (Arisha, der Bär und der steinerne Ring)
1995 : Lumière et Compagnie - segment
2002 : Ten Minutes Older : The Trumpet - segment « Twelve Miles to Trona »
2007 : Invisibles crimes
2007 : Chacun son cinéma - segment War in Peace
2008 : 8 - segment « Person to Person »
2009 : Il Volo
2010 : If Buildings Could Talk - en 3D
2012 : Mundo Invisível (épisode Ver ou Não Ver)
2015 : Vai Paparazzo!
Dernière édition par Arturo le Dim 20 Aoû 2017 - 9:59, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Wim Wenders
Je profite d'un rattrapage pour ouvrir un fil à Wim Wenders.
Il semblerait tout de même que ce cher Wim se soit perdu dans les méandres du ciné bobo/nombriliste parisien avec son dernier long métrage Les beaux jours d'Aranjuez (2016).
Mais je n'avais pas la 3D, ça change tout ?
Faut dire aussi que c'est adapté d'une pièce de Handke et que je suis hermétique à l'auteur.
Du coup, je suis content d'avoir été inspiré de ne pas l'avoir vu au ciné celui-là.
Une purge. A part le bruissement des feuillages, y a pas grand-chose à se mettre sous la dent (et du Lou Reed et Nick Cave ).
Il n'avait plus de budget le Wim ou quoi ? (passez votre chemin, pauvres fous)
On est loin de Paris, Texas ou de L'ami américain (J'ai beaucoup aimé ce film. L'histoire a été exploitée ailleurs (Le roman Un petit boulot de Iain Levison y fait beaucoup penser), ou Le rêve de Cassandre de Woody Allen. A la différence, qu'ici, si la motivation d'un possible meurtre est toujours l'argent, elle est aussi motivée par le fait de la maladie "incurable" du protagoniste. C'est intéressant, et Wenders mène habilement sa barque.)
Il semblerait tout de même que ce cher Wim se soit perdu dans les méandres du ciné bobo/nombriliste parisien avec son dernier long métrage Les beaux jours d'Aranjuez (2016).
Mais je n'avais pas la 3D, ça change tout ?
Faut dire aussi que c'est adapté d'une pièce de Handke et que je suis hermétique à l'auteur.
Du coup, je suis content d'avoir été inspiré de ne pas l'avoir vu au ciné celui-là.
Une purge. A part le bruissement des feuillages, y a pas grand-chose à se mettre sous la dent (et du Lou Reed et Nick Cave ).
Il n'avait plus de budget le Wim ou quoi ? (passez votre chemin, pauvres fous)
On est loin de Paris, Texas ou de L'ami américain (J'ai beaucoup aimé ce film. L'histoire a été exploitée ailleurs (Le roman Un petit boulot de Iain Levison y fait beaucoup penser), ou Le rêve de Cassandre de Woody Allen. A la différence, qu'ici, si la motivation d'un possible meurtre est toujours l'argent, elle est aussi motivée par le fait de la maladie "incurable" du protagoniste. C'est intéressant, et Wenders mène habilement sa barque.)
Invité- Invité
Re: Wim Wenders
Merci pour l'ouverture du fil, Arturo!
Je regrette seulement que les premiers mots sont plutôt dans une critique. Evidemment en soi à prendre, et c'est sûr que Wenders a fait des films de différentes qualités. Néanmoins, dans mon ressenti, je le compte parmi les meilleurs. Je l'estime beaucoup pour un regard très humain et humanisant. Cela s'accroît (en général) plutôt dans le temps. C'est un regisseur, un homme tout fin qui voit l'homme ou la femme, "le monde", parfois dans sa misère, ou ses doutes, etc, mais qui ne le juge pas, mais ouvre à des horizons. Son regard m'inspire.
Bien sûr on y retrouve aussi l'oeil attentif du photographe: combien de cadrages soignés, des images sublimes. Dans ces dernières oeuvres il y a par exemple "Le sel de la terre", témoignage cruel, et aussi biographie d'une certaine espérance du photographe Salgado.
Je constate par ailleurs que la filmographie listée est assez incomplète. Il y a dans son oeuvre tout un travail de documentaires que je trouve partiellement génial. Souvent il a alterné un tel documentaire (biographie, musical...) avec une fiction.
Je regrette seulement que les premiers mots sont plutôt dans une critique. Evidemment en soi à prendre, et c'est sûr que Wenders a fait des films de différentes qualités. Néanmoins, dans mon ressenti, je le compte parmi les meilleurs. Je l'estime beaucoup pour un regard très humain et humanisant. Cela s'accroît (en général) plutôt dans le temps. C'est un regisseur, un homme tout fin qui voit l'homme ou la femme, "le monde", parfois dans sa misère, ou ses doutes, etc, mais qui ne le juge pas, mais ouvre à des horizons. Son regard m'inspire.
Bien sûr on y retrouve aussi l'oeil attentif du photographe: combien de cadrages soignés, des images sublimes. Dans ces dernières oeuvres il y a par exemple "Le sel de la terre", témoignage cruel, et aussi biographie d'une certaine espérance du photographe Salgado.
Je constate par ailleurs que la filmographie listée est assez incomplète. Il y a dans son oeuvre tout un travail de documentaires que je trouve partiellement génial. Souvent il a alterné un tel documentaire (biographie, musical...) avec une fiction.
tom léo- Messages : 1353
Date d'inscription : 04/12/2016
Localisation : Bourgogne
Re: Wim Wenders
Tu as bien raison de me reprendre Tom Léo !
Seulement, j'épure désormais les fils de présentation, de peur qu'une grève générale des modérateurs ne vienne bloquer le forum !
(j'ai ajouté le reste de la filmographie en spoiler)
As-tu vu Les beaux jours d'Aranjuez ?
C'est vrai que j'attaque avec une critique au vitriol, mais si j'ai créé le fil c'est parce que j'ai aimé Paris, Texas, et L'ami américain.
Je ne suis pas (encore) un spécialiste de Wenders, donc je ne pourrais dire où je le place.
J'attends de voir d'autres productions.
Mais c'est bien que tu puisses contrebalancer mon avis !
Seulement, j'épure désormais les fils de présentation, de peur qu'une grève générale des modérateurs ne vienne bloquer le forum !
(j'ai ajouté le reste de la filmographie en spoiler)
As-tu vu Les beaux jours d'Aranjuez ?
C'est vrai que j'attaque avec une critique au vitriol, mais si j'ai créé le fil c'est parce que j'ai aimé Paris, Texas, et L'ami américain.
Je ne suis pas (encore) un spécialiste de Wenders, donc je ne pourrais dire où je le place.
J'attends de voir d'autres productions.
Mais c'est bien que tu puisses contrebalancer mon avis !
Invité- Invité
Re: Wim Wenders
Merci, Arturo! Je suis vraiment loin d'être spécialiste de Wenders, et il y a encore tant de films à découvrir (ce qui est plutôt réjouissant comme idée)! Mais jusqu'à maintenant j'ai pratiquement toujours trouvé des aspects inspirants dans ses oeuvres. Il a des choses à dire. Et oui: je trouve le "Paris-Texas" aussi sublime! Mais aussi "Les ailes du désir, Lisbonne Story, Land of Plenty, Le sel de la terre, Buena Vista Social Club..."
tom léo- Messages : 1353
Date d'inscription : 04/12/2016
Localisation : Bourgogne
Re: Wim Wenders
Je n'accroche pas et n'accrocherai pas à tout mais je ne regrette pas d'avoir fini par me laisser faire (c'est bête comme des images et des a priori peuvent tenir à distance, affiche de Paris Texas).
Et puis il y a la fantastique scène de promenade de Faux mouvement... En avant la récup' (vous me pardonnerez la flemme de ne pas refaire des phrases qui veulent dire quelque chose ?) :
Faux mouvement
Sorte de road-movie d'apprentissage mais pas vraiment. Parce que si la mère le pousse au départ ce n'est pas avec rancœur, au contraire, à la fois pour lui et pour elle, se retrouver dans une image projetée d'elle même, en mère, seule. Donc le lien est toujours là. Et ce sont les thèmes du film : nostalgie (même sens que dans Nostalghia de Tarkovsky, ce n'est pas le passé qui est en jeu, plus un double de présent et d'avenir), solitude, et le complément : le lien à l'autre, d'attention, d'amour ou autre...
C'est sur ce chemin que par Wilhelm, qui cherche ce qu'il a à dire, tourne autour, comme le film, du besoin de l'expression et des implications et des fausses apparences, tant mensonge à l'autre qu'à soi. Sans romantisme exacerbé (quels beaux passages avec l'industriel veuf qui parle de solitude... quelqu'un a lu le roman de Goethe qui à travers le film s'imagine merveilleux ?), se réservant dans la douceur d'un mouvement très fluvial... la longue continuité du départ/voyage en train et son introduction des possibilités et des changements, la longue promenade au dessus du fleuve et ses associations mouvantes... tout le jeu des attractions avec en association la perte (le poète raté ou étrangement dans l'impasse à la fois satisfait et frustré) et de retour (le vieux, charismatique et ambigu qui dans une injustice apparente vit ses erreurs... jusqu'où ?) . Et les deux femmes très différentes mais ne représentant pourtant pas des attractions opposées. l'une parle et l'autre non mais ce ne sont pas des opposés. rien n'est définitif, tranché... les attentes se transforment, se croisent et se décroisent avec fluidité.
Tout dans un sublime mouvement cinématographique habité de visages vivants, un rien énigmatiques et solitaires et de paysages. C'est terriblement beau tellement ce mouvement ne s'imprime que lui même et rien d'autre, qui ne laisse pas de marques qui risqueraient de trahir la mobilité qui laisse apparaitre l'étendue du possible sans le donner. Je pourrai en remettre une couche en parlant des couleurs, des contrastes, des images toujours équilibrées... c'est un film absolument sublime aux acteurs parfaits (je change d'avis sur ce que j'ai dit de Rüdiger Vogler dans Alice dans les villes) à la délicatesse constante, qui ose en plus une véritable expression par le texte, sans que ça apparaisse choquant tellement on est dégrisé et en suspension devant cet ensemble.
Ce qui frappe c'est comme le nœud de la solitude est dénoué et l'incertitude qui habite sans qu'aucune gêne ne voit le jour mais diffuse au contraire un certain apaisement.
Pour l'instant mon favori de ce réalisateur. coup de cœur admiratif non négociable.
Et puis il y a la fantastique scène de promenade de Faux mouvement... En avant la récup' (vous me pardonnerez la flemme de ne pas refaire des phrases qui veulent dire quelque chose ?) :
Faux mouvement
Sorte de road-movie d'apprentissage mais pas vraiment. Parce que si la mère le pousse au départ ce n'est pas avec rancœur, au contraire, à la fois pour lui et pour elle, se retrouver dans une image projetée d'elle même, en mère, seule. Donc le lien est toujours là. Et ce sont les thèmes du film : nostalgie (même sens que dans Nostalghia de Tarkovsky, ce n'est pas le passé qui est en jeu, plus un double de présent et d'avenir), solitude, et le complément : le lien à l'autre, d'attention, d'amour ou autre...
C'est sur ce chemin que par Wilhelm, qui cherche ce qu'il a à dire, tourne autour, comme le film, du besoin de l'expression et des implications et des fausses apparences, tant mensonge à l'autre qu'à soi. Sans romantisme exacerbé (quels beaux passages avec l'industriel veuf qui parle de solitude... quelqu'un a lu le roman de Goethe qui à travers le film s'imagine merveilleux ?), se réservant dans la douceur d'un mouvement très fluvial... la longue continuité du départ/voyage en train et son introduction des possibilités et des changements, la longue promenade au dessus du fleuve et ses associations mouvantes... tout le jeu des attractions avec en association la perte (le poète raté ou étrangement dans l'impasse à la fois satisfait et frustré) et de retour (le vieux, charismatique et ambigu qui dans une injustice apparente vit ses erreurs... jusqu'où ?) . Et les deux femmes très différentes mais ne représentant pourtant pas des attractions opposées. l'une parle et l'autre non mais ce ne sont pas des opposés. rien n'est définitif, tranché... les attentes se transforment, se croisent et se décroisent avec fluidité.
Tout dans un sublime mouvement cinématographique habité de visages vivants, un rien énigmatiques et solitaires et de paysages. C'est terriblement beau tellement ce mouvement ne s'imprime que lui même et rien d'autre, qui ne laisse pas de marques qui risqueraient de trahir la mobilité qui laisse apparaitre l'étendue du possible sans le donner. Je pourrai en remettre une couche en parlant des couleurs, des contrastes, des images toujours équilibrées... c'est un film absolument sublime aux acteurs parfaits (je change d'avis sur ce que j'ai dit de Rüdiger Vogler dans Alice dans les villes) à la délicatesse constante, qui ose en plus une véritable expression par le texte, sans que ça apparaisse choquant tellement on est dégrisé et en suspension devant cet ensemble.
Ce qui frappe c'est comme le nœud de la solitude est dénoué et l'incertitude qui habite sans qu'aucune gêne ne voit le jour mais diffuse au contraire un certain apaisement.
Pour l'instant mon favori de ce réalisateur. coup de cœur admiratif non négociable.
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Keep on keeping on...
Re: Wim Wenders
En 1996 la collaboration de Wim Wenders et de Ry Cooder qui avait réalisé la musique de Paris Texas et de The End of Violence fut à l'origine du Buena Vista Social Club. J'ai vu Paris Texas et dans Buena Vista Social Club on retrouve l'approche humaine des êtres comme dans Paris, Texas, ces deux films sont unis par l'amour de la musique et l'histoire de gens simples qui ne demandent qu'à partager. Le film documentaire de Wenders et les albums musicaux consacrèrent le renouveau de la musique cubaine des années 1930 à 1950 notamment de la musique "campesina", du "son" cubain, des bolèros, des "descargas" (jams liées au jazz) le tout constituant ce qu'à Cuba on appelle "la trova'.
Dernière édition par Chamaco le Lun 21 Aoû 2017 - 6:41, édité 1 fois
Chamaco- Messages : 4348
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 77
Localisation : Corse du sud
Re: Wim Wenders
Je suis tombé raide amoureux de ses premiers films, Alice dans les villes, Au fil du
temps.
Histoires d' amitiés, d' errances, de renaissance à la vie sur fond musical.
Electrochoc !
J' ai en partie retrouvé ces ingrédients dans Hammett, L' Ami américain, Paris
Texas, Buena vista, surtout peut etre Les Ailes du désir, pour l' atmospère et
les acteurs et aussi bien entendu Nick Cave.
temps.
Histoires d' amitiés, d' errances, de renaissance à la vie sur fond musical.
Electrochoc !
J' ai en partie retrouvé ces ingrédients dans Hammett, L' Ami américain, Paris
Texas, Buena vista, surtout peut etre Les Ailes du désir, pour l' atmospère et
les acteurs et aussi bien entendu Nick Cave.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Wim Wenders
L'oeuvre de Wenders est extrêmement dense et riche...ses premiers films ont aussi énormément compté pour moi.
Sa période récente n'a pas toujours été créative ou aboutie, mais cela ne doit pas ternir une appréciation.
Sa période récente n'a pas toujours été créative ou aboutie, mais cela ne doit pas ternir une appréciation.
Avadoro- Messages : 1400
Date d'inscription : 07/12/2016
Age : 38
Re: Wim Wenders
Bix, ta photo me donne tellement envie de revoir Alice dans les villes!
_________________
Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8427
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Wim Wenders
Moi aussi ! Ce film m' a complèterment ensorcelé.
La présence de cet acteur, Rudiger Vogler et peut etre plus encore celle de la
gamine lumineuse, tendre, malicieuse, finalement plus mure à cerains moments
que l' homme en désarroi, cette présence a quelque chose de miraculeux...
La présence de cet acteur, Rudiger Vogler et peut etre plus encore celle de la
gamine lumineuse, tendre, malicieuse, finalement plus mure à cerains moments
que l' homme en désarroi, cette présence a quelque chose de miraculeux...
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Wim Wenders
Voilà, je l'ai revu, bix, j'y ai trouvé un charme une tendresse, cette errance à deux, foldingue et pétillante!!
_________________
Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8427
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Wim Wenders
C' est le genre de film qui me fait regretter que le temps ne puisse s' arreter
sur de tels moments...
sur de tels moments...
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Wim Wenders
C'est à mon tour de chanter les louanges de Alice dans les villes. (ainsi il ne faut pas s'arrêter sur les derniers films, le Wenders d'antan a vraiment des belles choses dans sa botte).
C'est une errance lumineuse, un film qui nous envoûte, comme l'a dit Bix.
C'est une errance lumineuse, un film qui nous envoûte, comme l'a dit Bix.
Invité- Invité
Re: Wim Wenders
Y a pas à dire, je préfère tout de même les premiers Wenders !
Ayant vu récemment les deux premiers : Summer in the city (dommage que la qualité de visionnage était médiocre ; toutefois marrant de voir Wenders jeune apparaître dans le film), mais surtout le film sur l'angoisse du gardien de but.
Assez insaisissable comme objet.
Ayant vu récemment les deux premiers : Summer in the city (dommage que la qualité de visionnage était médiocre ; toutefois marrant de voir Wenders jeune apparaître dans le film), mais surtout le film sur l'angoisse du gardien de but.
Assez insaisissable comme objet.
Invité- Invité
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