Félicité de Genlis
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Félicité de Genlis
Bibliographie :Stéphanie Félicité du Crest, par son mariage comtesse de Genlis, marquise de Sillery, née le 21 janvier 1746 à Issy-l'Évêquenote et morte le 31 décembre 1830 à Paris, est une romancière, dramaturge, mémorialiste et pédagogue française.
Naissance et enfance :
Stéphanie-Félicité du Crest, naquit dans une famille de noblesse d’épée originaire de Bourgogne ; elle était la fille d’un ancien capitaine qui portait le titre de marquis de Saint-Aubin. Dans son enfance, conformément à un usage alors fréquent dans la noblesse de province, son père, après avoir fourni la preuve de huit quartiers de noblesse pour Félicité, la fit recevoir chanoinesse dans un des chapitres du Lyonnais. Lorsqu’il mourut en juillet 1763, sa veuve, marquise de Saint-Aubin, et ses deux enfants — Félicité et son frère — se trouvèrent soudain jetés, sinon dans la pauvreté comme on l’a dit, du moins dans une certaine gêne. Comme chanoinesse, elle fut appelée la « comtesse Félicité de Lancy », parce que son père était seigneur et patron de cette petite ville. Pendant cette période, elle acquit un savoir encyclopédique qui devait lui être utile par la suite.
Début de la vie mondaine :
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La marquise de Saint-Aubin — mère de Félicité — eut l’habileté de s’introduire dans les salons des grands financiers du temps, où sa jeune fille se fit remarquer par son talent de harpiste. Ce furent ses concerts qui remirent à la mode cet instrument, qu’on avait cru oublié depuis la Renaissance. Quatre fois par semaine, la mère et la fille se rendaient à des dîners à l’issue desquels Félicité donnait son récital dont on prétendit que c’était moyennant une rétribution convenue à l’avance. Toutefois, on trouve dans les mémoires de la marquise de Créquy un démenti formel, et fort argumenté : « On a dit et publié (par animosité contre Mme de Sillery) que sa mère avait eu l’indignité de lui faire jouer de la harpe à des concerts publics, et qu’on les faisait venir à nos soirées moyennant rétribution, ce qui n’est pas vrai le moins du monde. D’abord aucune personne comme il faut n’aurait voulu participer à cet avilissement d’une famille noble et d’une fille de condition ; ensuite Mme du Crest avait deux fortes pensions sur les états et le clergé de Bourgogne, sans compter l’argent qu’on allait solliciter pour elle et qu’on obtenait toujours de M. le Prince de Condé, gouverneur de Bourgogne. À ma connaissance, et jusqu’au mariage de sa fille, au moins, elle n’a jamais dépensé dans une année moins de quinze à dix-huit mille francs honorablement perçus. Enfin, son caractère était justement l’opposé d’une pareille conduite ; et quand nous avions donné quelque bagatelle à sa fille, elle ne manquait jamais de faire apporter chez nous un panier du cru de montrachet, que nous appelions, à cause de cela, le vin des États de Bourgogne. — Vous me ruinez, nous disait-elle, avec vos cadeaux ; et si vous avez compassion de moi, ayez la bonté de ne jamais nous en faire »
Auprès de la famille d'Orléans :
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Par l’entremise de sa tante, la marquise de Montesson, Félicité rencontra Charles-Alexis Brûlart, marquis de Sillery, comte de Genlis, filleul et héritier d’un ancien ministre d’État, Louis Philogène Brûlart de Sillery, marquis de Puisieulx, colonel des Grenadiers, âgé de 30 ans, qui devint par la suite marquis de Sillery. Félicité, 16 ans, cherchait un mari aisé et bien portant ; Les jeunes gens se marièrent en novembre 1763 et monsieur de Genlis n’interférera jamais dans les projets ou ambitions sociales de sa femme. Grâce à sa position dans la société, la comtesse de Genlis fut présentée à la cour, deux ans après son mariage. En 1770, elle espérait entrer dans la maison de la future comtesse de Provence. Les Brûlart, refusant de s’abaisser à en faire la demande à la comtesse du Barry, ainsi qu’il en était de rigueur à l’époque, Félicité dut se rabattre sur la Maison d'Orléans, branche cadette de la Maison royale.
Madame de Montesson la fit admettre au début de 1772 comme « dame pour accompagner » la duchesse de Chartres, belle-fille du duc d’Orléans, tandis que le comte de Genlis était nommé capitaine des gardes du duc de Chartres, futur Philippe Égalité. Ces deux postes comportaient le logement au Palais-Royal ainsi que des gages de 6 000 livres pour le mari et 4 000 pour la femme de celui-ci.
À peine arrivée, la comtesse de Genlis entame une liaison avec le duc de Chartres, son cadet de quelques mois. Pendant l’été 1772, alors que la duchesse était partie en cure à Forges-les-Eaux, cette liaison tourna à la passion.
La comtesse de Genlis se chargea également de l'éducation des enfants d'Orléans et notamment de celle du futur roi des Français, qu'elle éleva avec l'idée d'en faire un nouveau Saint Louis. Dès la naissance de Louis-Philippe en 1773, elle proposa au duc de Chartres divers gouverneurs possibles, mais, celui-ci les ayant tous rejetés, elle proposa d'éduquer les enfants elle-même. Cette proposition fut acceptée. La charge était délicate étant donné que vers l’âge de sept ans, l’usage était que les princes « passent aux hommes » pour être confiés aux soins d’un gouverneur assisté d’un sous-gouverneur. Félicité de Genlis ne fut pas nommée gouverneur. De cette manière, elle put diriger l’éducation de Louis-Philippe jusqu’au moment où elle pouvait en être officiellement chargée. En attendant, il fut convenu avec la duchesse de Chartres qu’elle prendrait en main l’éducation des deux jumelles nées en 1777 et que, pour ce faire, elle s’installerait avec elles dans un couvent. En fait, elle alla s’établir dans un petit bâtiment appelé pavillon de Chartres ou pavillon de Bellechasse, spécialement construit sur un terrain dépendant du couvent des dames chanoinesses du Saint-Sépulcre au Faubourg Saint-Germain. À cette époque, elle se lie avec la baronne de Montolieu qui devient une amie intime.
Le duc de Chartres la nomma gouvernante de ses enfants, au nombre desquels le futur Louis-Philippe, futur roi des Français (de 1830 à 1848), qui lui voua toute sa vie une véritable adoration. Ainsi dans ses Mémoires, le roi Louis-Philippe raconte l’éducation spartiate que ses frères et sœurs ainsi que lui-même avaient reçue de Mme de Genlis. Il qualifie cette éducation de « très démocratique », et assure qu'adolescent, il a été quasiment amoureux d’elle, en dépit de sa sévérité. L’ensemble de ces princes et princesses la préférèrent d’ailleurs toujours à leur propre mère.
Félicité de Genlis se fit connaître par ses principes sur l’éducation des jeunes gens et par de nombreux ouvrages littéraires. Elle rencontra Rousseau et Voltaire, fut l'amie de Charles Pierre Claret de Fleurieu, de Bernardin de Saint-Pierre, de Talleyrand, de Juliette Récamier, et composa une œuvre riche de quelque 140 volumes. Son premier essai, Théâtre à l'usage des jeunes personnes, reçut les éloges de Marmontel, d'Alembert et Fréron.
Sous la Révolution, l'Empire et la Restauration :
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De 1789 à 1791, elle tient un salon, que fréquente le duc d’Orléans, et où se retrouvent Talleyrand, David et de jeunes députés de la Constituante comme Lameth, Barère et Barnave.
Madame de Genlis s'enfuit en Angleterre pendant la Terreur. Son mari ainsi que Philippe Égalité furent guillotinés, tandis que deux de ses pupilles, les frères de Louis-Philippe, croupirent si longtemps en prison qu’ils contractèrent une maladie de poitrine qui les emporta en 1807 et 1808. Sa fille, Pulchérie, mariée au général de Thiembronne, passa, elle aussi, très près de l’échafaud. En Angleterre, Félicité de Genlis maria une autre de ses filles, Pamela Brûlart de Sillery qu’elle avait eue en secret du duc de Chartres, à Lord Fitzgerald, qui fut massacré lors de la rébellion irlandaise de 1798. Sa dernière fille, Fortunée Élisabeth Herminie Compton, est la grand-mère de Marie Lafarge. Lors de son émigration, Félicité de Genlis est accompagnée également par sa nièce, Rose Henriette Péronne de Sercey, élevée par ses soins dès 1781.
En 1799, vivant alors à Berlin, âgée de 53 ans, frappée par « le joli visage et la noblesse de sa tournure », elle prend un enfant à la famille de sa logeuse, lui fait changer de religion et de prénom, afin qu'il porte celui de son fils mort, et l'élève à sa façon à Paris, ainsi qu'elle l'écrit elle-même : « Je demandai cet enfant à sa mère, en lui déclarant que je l'élèverais dans la religion catholique ; elle y consentit sans résistance, elle parut même charmée de me le donner, je le pris avec moi, et je l'appelai Casimir, du nom de mon fils que j'avais perdu. »
En 1801, Bonaparte l’autorisa à rentrer en France, l’utilisa comme espionne et la pensionna. Elle fut, avec Antoinette Legroing de La Maisonneuve, que Mme de Genlis connaissait, une des femmes de lettres qu’il admira, et qu'il tâcha de récompenser. En revanche, Bonaparte n'admira jamais Germaine de Staël, qui fut considérée, sa vie durant, comme la rivale de Mme de Genlis ; en fait, il la détestait.
En 1815, sa vie devint difficile avec le retour des Bourbons. Elle ne vécut financièrement que grâce aux droits d’auteur qu’elle tirait de ses romans et nouvelles. Mais, toute sa vie durant, et malgré ses moyens limités, elle adopta de nombreux enfants de toutes les classes sociales et se chargea de leur éducation.
Félicité de Genlis vécut juste assez longtemps pour voir celui qu’elle avait élevé devenir roi des Français.
Victor Hugo rapporte les confidences que le roi lui avait faites sur Mme de Genlis : « Elle nous avait élevés avec férocité, ma sœur et moi. Levés à six heures du matin, hiver comme été, nourris de lait, de viandes rôties et de pain ; jamais une friandise, jamais une sucrerie ; force travail, peu de plaisirs. C'est elle qui m'a habitué à coucher sur des planches. Elle m'a fait apprendre une foule de choses manuelles ; je sais, grâce à elle, un peu faire tous les métiers, y compris le métier de frater. Je saigne mon homme comme Figaro. Je suis menuisier, palefrenier, maçon, forgeron. Elle était systématique et sévère […] Elle fit de moi un homme assez hardi et qui a du cœur… » Madame Genlis qui mourut pauvre, raconte également Victor Hugo, se plaignait de « la ladrerie du roi » et confia : « Il était prince, j’en ai fait un homme ; il était lourd, j’en ai fait un homme habile ; il était ennuyeux, j’en ai fait un homme amusant ; il était poltron, j’en ai fait un homme brave ; il était ladre, je n’ai pu en faire un homme généreux. Libéral, tant qu’on voudra ; généreux, non. »
Elle laissait non seulement des mémoires appelés à devenir célèbres mais aussi de nombreux ouvrages édifiants à l’usage de la jeunesse.
Elle meurt le 31 décembre 1830 à Paris, faubourg du Roule, dans une pension de famille où elle s'était retirée depuis 1827, tenue par Madame Afforty, belle-mère du jurisconsulte et abolitionniste François-André Isambert. Jusqu'à ses derniers jours, Louis-Philippe vint lui rendre visite dans la pension de Madame Afforty.
Elle fut inhumée au cimetière du Mont-Valérien (Suresnes)8, le 4 janvier 1831. Lors de son enterrement, le doyen de la faculté des lettres de Paris déclara : « Pour honorer et célébrer dignement la mémoire de Mme de Genlis, ce seul mot doit suffire : son plus bel éloge est sur le trône de France ! ». Ses restes ont été transférés, le 21 décembre 1842, dans la 24e division du cimetière du Père-Lachaise.
Théatre à l'usage des jeunes personnes, 4 tomes, 1785.
Théatre d'éducation :
L'aveugle de Spa, comédie en un acte ;
Cécile, ou le sacrifice de l'amitié, comédie en un acte ;
Les ennemies généreuses, comédie en deux actes ;
La bonne mère, comédie en trois actes ;
L'intrigante, comédie en deux actes.
Théatre de société :
La mère rivale, comédie en cinq actes ;
L'amant anonyme, comédie en cinq actes ;
Les fausses délicatesses, comédie en trois actes ;
La tendresse maternelle, comédie en un acte ;
La cloison, comédie en un acte ;
La curieuse, comédie en cinq actes ;
Zélie, ou l'ingénue, comédie en cinq actes ;
Le méchant par air, comédie en cinq actes.
Les annales de la vertu, ou histoire universelle, iconographique et littéraire, 1781.
Adèle et Théodore, ou lettres sur l'éducation contenant tous les principes relatifs à l’éducation des Princes, des jeunes personnes et des hommes, 1782.
Le club des dames, ou le retour de Descartes, 1784.
La religion considérée comme l'unique base du bonheur et de la véritable philosophie, 1787.
Les chevaliers du cygne, ou la cour de Charlemagne, 1795.
Les petits Émigrés, ou Correspondance de quelques enfans : ouvrage fait pour servir à l'éducation de la jeunesse, 1798.
Manuel du voyageur, 1798.
Les vœux téméraires, ou l'enthousiasme, 1799.
Les mères rivales, ou la calomnie, 1800.
Le petit La Bruyère, ou caractères et mœurs des enfans de ce siècle, 1801.
Herbier moral, ou recueil de fables nouvelles, et autres poésies fugitives ; suivies d'un recueil de romances d'éducation, 1801 (en ligne sur Gallica [archive]).
Nouveaux contes moraux, et nouvelles historiques, 1802.
dont La Femme auteur, nouvelle.
Mademoiselle de Clermont, roman, 180234,35.
Souvenirs de Félicie L***, 1804.
La duchesse de La Vallière, 1804.
Vie pénitente de madame de La Vallière.
Le comte de Corke, 1805.
Alphonsine, ou la tendresse maternelle, 1806.
Bélisaire, 1808.
Alphonse, ou le fils naturel, 1808.
Le siège de La Rochelle, ou le malheur et la conscience, 1808.
Nouvelle maison rustique pour servir à l’éducation de la jeunesse, 1810.
De l'influence des femmes sur la littérature française, comme protectrices des lettres et comme auteurs, ou Précis de l'histoire des femmes françaises les plus célèbres, 1811 (en ligne sur Gallica [archive]).
Les bergères de Madian, ou la jeunesse de Moïse, poème en prose en six chants, 1812.
Histoire de Henri le Grand, 1815.
Les Battuécas, 1816.
Jeanne de France, nouvelle historique, 1816.
Zuma, ou la découverte du quinquina, 1817.
Inès de Castro suivi de Mort de Pline l'Ancien, 1817.
Dictionnaire critique et raisonné des étiquettes de la cour ou l’esprit des étiquettes et des usages anciens, 1818.
Voyages poétiques d'Eugène et d'Antonine, 1818.
Les Parvenus, ou les aventures de Julien Delmours, écrites par lui-même, 1819.
Palmyre et Flaminie, ou le secret, 1821.
Mémoires de la marquise de Bonchamps, Paris, Baudouin Frères, 1823.
Les veillées de la chaumière, 1823.
Mémoires inédits sur le dix-huitième siècle et la révolution française, depuis 1756 jusqu’à nos jours, 1825.
Dreep- Messages : 1539
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Age : 32
Re: Félicité de Genlis
Mademoiselle de Clermont
Seul le sujet de cette nouvelle est historique : il y eût vraiment une Mademoiselle de Clermont (1697 – 1741) et un Louis II de Melun avec qui cette dernière s’est mariée secrètement. Tout cela est secondaire, tout ce qui intéresse Madame de Genlis dans cette histoire, c’est de quoi était fait le cœur de cette femme entichée mais exaspérée par le fait que l’on contrecarre la moindre de ses aspirations, par les devoirs qu’on lui impose à tout bout de champ. Il y a du chaud et du froid dans cette brève passion. Si les pensées du personnage s’expriment parfois de manière directe, ici la prose de Madame de Genlis n’en est pas moins qu’un étang douceâtre et un peu fade dans lequel un style déjà un peu désuet pour l’époque (et modernisé dans cette édition) devient emphatique aux premiers remous douloureux de la passion. Madame de Genlis délaisse un peu trop tôt les vues de cette première narratrice (un peu elle-même, sautant à pieds joints sur l’exemple historique pour son étude du sentiment amoureux) délaissée également cette gouaille légère, avec laquelle la conteuse avait su analyser l’orgueil de la princesse, élément initial d’une foucade destinée au tragique.
\Mots-clés : #amour #nouvelle
Seul le sujet de cette nouvelle est historique : il y eût vraiment une Mademoiselle de Clermont (1697 – 1741) et un Louis II de Melun avec qui cette dernière s’est mariée secrètement. Tout cela est secondaire, tout ce qui intéresse Madame de Genlis dans cette histoire, c’est de quoi était fait le cœur de cette femme entichée mais exaspérée par le fait que l’on contrecarre la moindre de ses aspirations, par les devoirs qu’on lui impose à tout bout de champ. Il y a du chaud et du froid dans cette brève passion. Si les pensées du personnage s’expriment parfois de manière directe, ici la prose de Madame de Genlis n’en est pas moins qu’un étang douceâtre et un peu fade dans lequel un style déjà un peu désuet pour l’époque (et modernisé dans cette édition) devient emphatique aux premiers remous douloureux de la passion. Madame de Genlis délaisse un peu trop tôt les vues de cette première narratrice (un peu elle-même, sautant à pieds joints sur l’exemple historique pour son étude du sentiment amoureux) délaissée également cette gouaille légère, avec laquelle la conteuse avait su analyser l’orgueil de la princesse, élément initial d’une foucade destinée au tragique.
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Dernière édition par Dreep le Lun 9 Aoû - 0:11, édité 1 fois
Dreep- Messages : 1539
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 32
Re: Félicité de Genlis
l'autrice a du se servir de sa propre liaison pour montrer " de quoi était fait le cœur de cette femme entichée mais exaspérée par le fait que l’on contrecarre la moindre de ses aspirations, par les devoirs qu’on lui impose à tout bout de champ." ? (chose courante)
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― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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Bédoulène- Messages : 21642
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Localisation : En Provence
Re: Félicité de Genlis
Ah ça, je ne sais pas, je ne sais quasiment rien de sa vie (je ne lis même pas les biographies que je poste moi-même )
Dreep- Messages : 1539
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 32
Re: Félicité de Genlis
En ayant parcouru la bio postée, j'ai appris qu'elle avait éduquée le Victor Hugo à la dure.
Apparemment un peu mitigée cette lecture... Peut-être pas son meilleur, au vu de sa large production ? Je ne crois pas l'avoir croisée jusqu'à présent, en tout cas.
Apparemment un peu mitigée cette lecture... Peut-être pas son meilleur, au vu de sa large production ? Je ne crois pas l'avoir croisée jusqu'à présent, en tout cas.
Invité- Invité
Re: Félicité de Genlis
Une large production, mais assez peu réédité de nos jours. Oui, vu mes impressions très mitigées quand même, je comprends pourquoi. Elle connaissait un certain succès à son époque. Je réessaierai peut-être avec La femme auteur.
Dreep- Messages : 1539
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 32
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