Sur votre table de chevet en Octobre 2021

De mon côté le mois commence avec Immunité : Et autres mirages futurs, des nouvelles, de Philip K. Dick. Du bon et du moins bon ?

Je ne pense pas avoir lu celles-là, mais il faut dire que Dick a dû en écrire des centaines...
Chez moi, c'est Butcher's Crossing de John Williams.

d'abord finir le livre commencé

Je finis le premier tome du journal de Jean-Luc Lagarce, j'aurai bientôt fini L'Idiot, et je compte reprendre le livre de Bégaudeau. Rien de très neuf !

Comme je viens d’arrêter trois livres à la file, je m'oblige un peu à continuer Hamnet de Maggie O'Farrell, qui ne m'emballe pas pour le moment.
(le chat lecteur est vraiment mignon, animal!)

Je poursuis la lecture de Elan Noir parle. Et je le conseille à tous ceux qui s'interessent au
génocide des amérindiens d'Amérique du Nord.
Elan Noir/Blck Elk était un Sioux Oglala qui eut la malchance de naitre au moment où les
blancs traquaient et chassaient les natifs de leurs territoires.
On assiste à la baille de Little Big Horn et à la mort de Custer, à l'assassinat de Crazy Horse,
Chef de guerre et chaman  et au massacre de Wounded Knee.
Mais aussi à la façon de vivre des peuples autochtones tant qu'elle fut possible.
Pour le reste, comme Topocl, je cherche le roman qui pourrait m'accompagner avec
interet dans les jours qui suivent...

Friedrich Dürrenmatt, Le soupçon : avis aux amateurs !

Je lis avec beaucoup de plaisir "Dernière oasis" de Charif Majdalani. Très bien écrit et fort intéressant sur le plan géo-politique.

« Une douce flamme » Philip Kerr.

Tristram a écrit:Friedrich Dürrenmatt, Le soupçon : avis aux amateurs !

me semble que c'est court ?

me laisserais-je tentée, mais du coup Eco recule...........................dilemme !

Au vu de mes comptes-rendus de lecture, peut-être sera-ce plus facile de trancher ?

J'ai aussi mesuré ce que nous avons perdu avec elle en relisant ce qu'elle m'a fait découvrir avec Senges...
Là, je suis dans Le Condottière, de Perec.

J'ai finalement lâché aussi Hamnet. En fait le livre s'arrête de lui-même : je le reprends le lendemain et : aucun intérêt ne se manifeste, vraiment aucune raison de continuer.
je tente Les garçons de la cité-jardin , de Dan Nisand, qui, au moins, a un ton. A suivre....

Mémoires de Casanova. Je pioche.

Mais bon sang, quelle patience il faut pour faire céder certaines dames ! Des pages et des pages à attendre avant de savoir ! Suspens intenable souvent !

Finalement, c'était un vrai polardeux ce Casanova !  

Reste l'atmosphère Vénitienne et là, c'est tout en chuchotements masqués et mystérieux, un régal...

Ah, Casanova !
Ce fut un vrai plaisir de lecture, pas tellement pour les aventures "amoureuses" que pour une plongée à vif au coeur de l'Europe du 18e siècle. Il faut éviter les éditions anciennes qui sont expurgées, passe encore, mais qui surtout ont été retraduites en français d'après l'allemand, alors que Casanova a écrit ses mémoires en français (une histoire de fou celle du manuscrit !). Donc privilégier la version en collection "bouquins" ou si vous avez les moyens, celle en Pléiade en 3 vol (attention pas l'ancienne, la nouvelle, celle établie par Gérard Lahouati et Marie-Françoise Luna !)

J'ai bouquins, et des anciens Poche.
Mais la Pléiade, non. J'aimerais bien.

Je ne savais pas qu'il avait écrit directement dans notre belle langue ! C'est quoi l'histoire du manuscrit ?

Oui, tout un univers. Magie d'un siècle qui continue à nous faire rêver...

Tatie a écrit:
Je ne savais pas qu'il avait écrit directement dans notre belle langue ! C'est quoi l'histoire du manuscrit ?

Rapatrié du fil sur l'auteur :
"L’histoire du manuscrit est à l’image de l’auteur. Vendu à l éditeur Brockhaus en 1820, il fut traduit dans une version expurgée en allemand, reprise en français ! Ensuite, le manuscrit fut tenu pratiquement secret. Déménagé en catastrophe en 1943, de Leipzig en flammes, il fut enfin publié correctement en 1960. Récemment, la bibliothèque nationale a pu en faire l’acquisition. C’est un vrai miracle que nous puissions lire aujourd’hui les aventures de ce diable d’homme !"

« Cabale à la cour » Jean-Michel Delacomptée.