De la librairie je suis revenu avec...

tiens, je n'avais pas vu que ArenSor avait acheté Carus de Quignard, un roman que je compte relire cette année (ça me changera de mes éternels et inamovibles escaliers de Chambord)...

et Le Parfum reste pour moi une expérience de lecture inoubliable (j'étais jeune mais je ne désespère pas de trouver le temps de le relire aussi celui-là)...

J'ai adoré Le parfum, moi aussi ... et je le relirai sûrement un jour. Je ne sais pas si le film est bien, par contre ?

Deux livres de Nuala O'Faolain :

On s'est déjà vus quelque part ?
J'y suis presque !

bonne lecture

Silveradow a écrit:

ben j'ai vu le film avant d'avoir lu le livre, et je trouve que dans ce sens (film --> livre )c'est comme un approfondissement du film, alors que dans le sens inverse (livre --> film ) c'est plutôt un appauvrissement du livre. Je n'ai pas été déçue, au contraire c'est un très beau film mais peut être que toi dans le sens inverse ...

Merci Silveradow, je pense que je vais quand même essayer. (tant que je n'en attend pas trop, il y a de bonnes chances pour que j'en sorte content)


Hier : Notre-Dame des Fleurs, de Jean Genet. En le feuilletant, j'ai été fasciné par son écriture.

Petit tour à la librairie :

Paul Féval, Le bossu
Stefan Zweig, Montaigne

Quasimodo a écrit:

Silveradow a écrit:

ben j'ai vu le film avant d'avoir lu le livre, et je trouve que dans ce sens (film --> livre )c'est comme un approfondissement du film, alors que dans le sens inverse (livre --> film ) c'est plutôt un appauvrissement du livre. Je n'ai pas été déçue, au contraire c'est un très beau film mais peut être que toi dans le sens inverse ...

Merci Silveradow, je pense que je vais quand même essayer. (tant que je n'en attend pas trop, il y a de bonnes chances pour que j'en sorte content)


Hier : Notre-Dame des Fleurs, de Jean Genet. En le feuilletant, j'ai été fasciné par son écriture.

tu me fais signe quand tu comptes lire le Genet ??

Ce jour je vais continuer la lecture de Manchette que j'ai acheté dimanche en bouquinerie avec un livre de Roger Vailland, 325000 francs. Ce dernier va attendre un peu, mais me promet d'affiner la decouverte de cet auteur. Sur Wiki, et à propos de ce livre je lis :

Henri Bourbon, son ami député communiste, rappelait ainsi la naissance de 325.000 francs : « J'allais à Oyonnax avec ma femme voir les gosses. Dans la semaine précédente, on nous avait signalé que les accidents dus aux cadences de travail devenaient de plus en plus nombreux et qu'il fallait qu'on fasse quelque chose pour en finir [...] Alors j'ai dit aux camarades : Je vois bien Roger descendre à Oyonnax une huitaine de jours, faire un reportage là-dessus. » Ce roman naquit ainsi de la même façon que Beau masque.

Ca marche, Shanidar !!

Ah ! 325.000 francs ! (merci pour la citation, je ne savais pas)
C'est très fort comme bouquin. J'espère que tu aimeras. (je m'en relirais volontiers des passages ...)
Je suis tes commentaires de Manchette, qui m'intéresse beaucoup.

Pour revenir, je reviens.

On me connaît à travers mes pérégrinations en librairie.

Cette fois-ci, j'y suis allé du côté impressionniste. J'ai picoré des lectures en poésie. J'ai quand même pigé par ailleurs. J'y trouve une douce ironie car mes lectures de poésie sont aujourd'hui masculines et plusieurs des essais que j'ai dégoté ont été écrits par des femmes.

Voici la récolte :

Versant essais

- Kundera ou la mémoire du désir, Eva Le Grand
- Façons de lire, manières d'être, Marielle Macé
- La beauté du monde. La littérature et les arts, Jean Starobinski

Biographie

- Lincoln. L'homme qui sauva les États-Unis, Bernard Vincent

Écrits divers

- Façons d'endormi, façons d'éveillé, Henri Michaux
- Le puits / Les adieux, Juan Carlos Onetti

Recueils de poésie

- L'aube aux balles vertes, Robbert Fortin
- Fragments de nuit, Jean-Pierre Gaudreau
- Le laboratoire des anges, Philippe More
- Où que vous soyez, Martin-Pierre Tremblay

Anthologies de poésie thématiques

- Les soirées du château de Ramezay de l'École littéraire de Montréal, Micheline Cambron et François Hébert [dir.]
- Humour et poésie. 30 poètes québécois, Anne Peyrouse

Mes préoccupations restent surtout poétiques. J'ai quand même toujours cette perspective à élargir mes horizons, d'où ma volonté de lire Onetti par exemple. Je reste quand même collé à cette préoccupation concernant les essais et la poésie.

Impressionnant JHB, toi comme d'autres vous explorez ! j'ai espoir d'élargir de plus en plus mes horizons, ce site m'y pousse, quel bonheur. Je retrouve la curiosité active de ma jeunesse, merci à tous.

Ce matin j'ai été à Emmaüs, au moins deux ans que je n'avais pas programmé ce grand plaisir. Il fait toujours aussi glacial dans ce hangar,  j'ai donc tortillé une heure et demi dans les rayons, avec toutefois le même ravissement que toujours.
la récolte :
(à noter que j'esperais bien trouver des R.M.Du Gard , topocl, mais il n'y avait que les Thibault tome 2, pas pris ducoup, une prochaine fois j'espere. Roger Vailland était , lui, sur-représenté, marrant quand je pense que je le "tilte" uniquement pour avoir trouvé un livre de lui dans la rue)


le rouge illisible est de Miller, Un diable au paradis.
Je n'explore pas trop hors des sentiers connus, sur cette moisson. mais tout de même sur trois quatre. C'est bien. Good girl
( Le frison Roche  est pour mon pôpa)

dernières couches de PAL :
- Une vie de facteur de Jean-Jacques Kissling
- Brand's Haide d'Arno Schmidt

Eh ben !! Belle moisson (ou vendange ?), Nadine ! (c'est mon premier Roger Vailland, j'y suis très attaché du coup)
Il y a plein de choses là-dedans qu'il faudrait que je lise ...

Oui Quasimodo, je suis contente d'avoir trouvé ce titre ! Bon pied bon oeil est je crois la "seconde partie", l'heure donc de rebrousser chemin en commençant par le commencement.

shanidar a écrit:tiens, je n'avais pas vu que ArenSor avait acheté Carus de Quignard, un roman que je compte relire cette année

Evidemment, je me suis précipité dessus puis...j'ai abandonné après quelques pages. Peut-être pas le bon moment pour le lire ? Amusant, je me dis que si j'avais commencé à lire Quignard avec ce premier roman, je ne serais peut-être pas allé au-delà

Nadine a écrit:Ce matin j'ai été à Emmaüs, au moins deux ans que je n'avais pas programmé ce grand plaisir. Il fait toujours aussi glacial dans ce hangar, j'ai donc tortillé une heure et demi dans les rayons, avec toutefois le même ravissement que toujours.

Tiens donc, j'ai acheté à Emmaüs il y a peu de temps le même livre de Soseki, dans la même édition ! Bonne lecture

Ma pioche du jour :
Don DeLillo : "L'Homme qui tombe"
Tomasi di Lampedusa : "Voyage en Europe"
Ch. Juliet : "Rencontre avec Samuel Beckett" (belle édition Fata Morgana)
A. de Richaud : "Je ne suis pas mort" (superbe édition originale éditée par Robert Morel )

Mais Arensor, permets moi de te rappeler que je te dois ce retour à la joie d'Emmaüs !

Et le Soseki, tu l'as lu ducoup ? (je ne vais pas verifier s'il a un fil excuses-moi)

bonne lecture à tous

ArenSor a écrit:

shanidar a écrit:tiens, je n'avais pas vu que ArenSor avait acheté Carus de Quignard, un roman que je compte relire cette année

Evidemment, je me suis précipité dessus puis...j'ai abandonné après quelques pages. Peut-être pas le bon moment pour le lire ? Amusant, je me dis que si j'avais commencé à lire Quignard avec ce premier roman, je ne serais peut-être pas allé au-delà

Nadine a écrit:Ce matin j'ai été à Emmaüs, au moins deux ans que je n'avais pas programmé ce grand plaisir. Il fait toujours aussi glacial dans ce hangar,  j'ai donc tortillé une heure et demi dans les rayons, avec toutefois le même ravissement que toujours.

Tiens donc, j'ai acheté à Emmaüs il y a peu de temps le même livre de Soseki, dans la même édition ! Bonne lecture

Ma pioche du jour :
Don DeLillo : "L'Homme qui tombe"
Tomasi di Lampedusa : "Voyage en Europe"
Ch. Juliet : "Rencontre avec Samuel Beckett" (belle édition Fata Morgana)
A. de Richaud : "Je ne suis pas mort" (superbe édition originale éditée par Robert Morel )

Ah oui, Carus m'a laissé une impression très mitigée (et je me disais à l'époque que je passais à côté des références par manque de maturité) c'est pour ça que j'ai envie de le relire !

Quelle chance d'avoir trouvé André de Richaud en bouquinerie !