Texte anonyme : qui l'a écrit ?

Je pense à Clifford Donald Simak.

Non, il n' est pas américain.

Bix a écrit:L' auteur se fit d' abord connaitre dans son pays en tant que journaliste d' un grand quotidien.

Dino Buzzati? Tu ne l'avais pas déjà copié, ce texte, je me souviens avoir déjà été intriguée par cette histoire?

Marie a écrit:

Bix a écrit:L' auteur se fit d' abord connaitre dans son pays en tant que journaliste d' un grand quotidien.

Dino Buzzati? Tu ne l'avais pas déjà copié, ce texte, je me souviens avoir déjà été intriguée par cette histoire?

Oui ! Quelle mémoire fabuleuse !

Oui, je me souviens de la soucoupe volante qui tombait comme un cheveu sur la soupe, si je peux dire..
Le problème est que je n'ai pas retrouvé cet extrait dans le fil Buzzati sur Parfum??? C'est extrait de quoi? C'était dans ton fil sur les débuts? Ou les extraits au cours des lectures?

Pas facile pour moi de jouer avec le décalage horaire, il faut que je puisse me libérer le matin ( le soir pour la majorité d'entre vous) et demain je ne peux pas.
Qui prend la main?

Tu pourras revenir avec ton extrait l'après-demain ou même dans trois jours, Marie.
On peut t'attendre en discutant dans les autres fils. Ce n'est pas si grave.

oui on t'attends Marie

Oui, je suis bien d'accord.

Et bien merci d'avoir attendu!
Biiiiixxxxx!!! C'est dans quel livre de Dino Buzatti, s'il te plait?

Alors j'enchaîne.

Vois-tu, tu es trop violent avec les imbéciles, trop intégral. Pourquoi ne pratiquerais-tu pas la théorie de la non-violence? Ils sont cons, c'est un fait, mais que veux tu y faire? Tu ne dis rien aux aveugles qui ne voient pas. Alors! Crois moi, laisse les sots à leur sottise. Crée des fêtes. Pense à tes amis.
Trouve la paix. Redécouvre les voluptés perdues. Deviens l'artisan de ton âme, le musicien de ton silence, l'écrivain de ton génie. Et excuse moi de te souhaiter avec un autre comportement. Tu sais bien que mon amitié n'a rien à voir avec les conseils que je te donne. Tu es: cela suffit. Le reste est littérature!

...

est-ce une lettre ?

Bon c est un homme à mon avis, qui donc écrit à un autre homme, Je te rejoins, Bédou, fin 20eme , disons de notre époque. Pourquoi pas debut 21eme d'ailleurs, avec cette histoire de théorie de la non -violence.. Le mot "con" aussi, bien que vieux comme Hérode, sonne dans ce contexte très style actuel.

Qui donc éditerait sa correspondance à un autre createur, dernièrement....

Je m'expose au ridicule, mais j'avancerais que ça reste assez bateau, familier disons, on ne dirait pas que l'auteur pensait à la postérité en écrivant son courrier, c'est intime , franc, pas chargé de concept.

Un conseiller à un ancien président français ?

D'accord, pour une lettre ... Mais, si tard ? Je le vois bien écrit au milieu du XXème. Voire première moitié ?
Par contre, ça pourrait aussi bien être un roman épistolaire. Ou seulement une lettre dans un roman.

Les deux personnes/personnages sont dans deux pays différents ? Quel pourrait être le sujet de l'emportement du destinataire ? L'art ? La politique ?

Si je te suis, Quasimodo, et si je rétrograde sur l'époque,
oui..
Roman ou lettre de roman j'y crois moyen. Vous trouvez pas que c'est assez banal ? ça resonne que dans la mesure où ce serait un vrai message d'ami, sinon les idées sont un peu pâlottes non ?

Camus et Char ? pour creuser ta problématique de l'emportement évoqué ? Vu le contexte historique ? mais je suis quasi sûre qu'ils se vouvoyaient.

Il y a bien Sénac, aussi, plus jeune, à Camus, mais pareil, à mon avis ils se vouvoient.
Pour moi ce sont les seules pistes que je puisse évoquer, je ne vois pas sinon.
Tristam tu penses à Mitterand et Anne Pingeot ? ce serait Anne Pingeot ? (elle ne dirait pas "ami", et puis ce n est pas un conseiller.. les conseillers connus, je les connais pas aide nous, développe ton intuition ?)

La franchise du langage et le thème de la cécité me renvoie immanquablement à des auteurs d'Amérique du sud ou centrale... (ou Saramago, mais c'est sans doute plus compliqué). Ce qui va à l'encontre de cette intuition c'est ce que dit Nadine (et je suis d'accord) sur l'aspect quelque peu 'relâché' de la langue...

Ah oui on n'avait pas évoqué la question de la traduction, bien vu !

Marie a écrit:Et bien merci d'avoir attendu!
Biiiiixxxxx!!! C'est dans quel livre de Dino Buzatti, s'il te plait?

Alors j'enchaîne.

Vois-tu, tu es trop violent avec les imbéciles, trop intégral. Pourquoi ne pratiquerais-tu pas la théorie de la non-violence? Ils sont cons, c'est un fait, mais que veux tu y faire? Tu ne dis rien aux aveugles qui ne voient pas. Alors! Crois moi, laisse les sots à leur sottise. Crée des fêtes. Pense à tes amis.
Trouve la paix. Redécouvre les voluptés perdues. Deviens l'artisan de ton âme, le musicien de ton silence, l'écrivain de ton génie. Et excuse moi de te souhaiter avec un autre comportement. Tu sais bien que mon amitié n'a rien à voir avec les conseils que je te donne. Tu es: cela suffit. Le reste est littérature!

...

Le livre de Buzzati, c'  est L' Ecroulement de la Baliverna. - R. Laffont. Contes.

Neal Cassady à Jack Kerouac ?

Bédoulène a écrit:est-ce une lettre ?

: oui!

Nadine a écrit:Bon c est un homme à mon avis, qui donc écrit à un autre homme

: oui
Et c'est vrai que l'auteur ne pensait pas du tout qu'elles seraient publiées, ces lettres!

Quasimodo a écrit:Je le vois bien écrit au milieu du XXème. Voire première moitié ?
Par contre, ça pourrait aussi bien être un roman épistolaire. Ou seulement une lettre dans un roman.

Les deux personnes/personnages sont dans deux pays différents ?

: non pas deux pays différents. La date, oui, tu as raison.

Pas de traduction.

Je rajoute la phrase précédente:

Tu parles, tu parles de façon éblouissante certes, mais tu parles et tu ne devrais que chanter. CHANTER, comprends-tu?

Il chante quoi, le chanteur ?