Texte anonyme : qui l'a écrit ?

Je sais - à cause des trois prénoms... - mais, je me tais et vous laisse chercher....

Hanta, je crois que c'est un livre que j'ai lu grâce à toi. Si je ne me trompe pas.
Par contre, je ne me rappelle plus de l'auteur ni du titre.
Je me tais et vais voir quand quelqu'un trouvera

que je n'ai pas encore lu : Michel Rio ?

Non plus. Un homme qui s'est pas mal intéressé au nord de la France.

Quel genre pratique -t-il ?

Quel genre ? Romans et polars.

Pascal Garnier ?

Oui, ça ressemble un peu à Garnier.
Le Nord, polar ?
Tines ça me fait penser à ... Mais comment s' appelle celui qui a écrit Effrayants
jardins ?

Tu es sur la piste Bix même si le titre n'est pas bon

Franck Thilliez ?

Michel Quint ?

Bien joué Bix

bravo Bix !

Voilà ! "Et mon mal est délicieux". Je crois que j'avais un avis contrasté à sa lecture, moins enthousiaste que la tienne, Hanta, mais c'est un fait elle m'a marquée, et j'espere lire sur tes pas une autre fois , avant 2019. c'est dans mes projets, mais avant j ai à finir deux livres via animal, un via bédou et un via Arensor. et je suis lente. Mais tu sauras au moins que je n'oublie pas d'être curieuse de tes ressentis j'avais adoré ton retour sur ce livre

Oui je me souviens d'un flou qui t'avait un peu gêné ce que j'avais compris assez facilement.

La lumière de la ruelle n' atteignait pas le sol.
A midi elle descendait jusqu' au premier étage, puis remontait.
L' hiver elle restait encore plus constante.
Chacun de mes souvenirs reste confiné derrière d' opaques fenetres
aux rideaux toujours tirés alors qu' elles n' avaient de rideaux.
Le soleil était bien digne de sa réputation, on s' y rendait comme on
descend vers une place avec des seaux vides pour puiser l' eau.
On revenait fatigués autant par la lumière qui avait rempli nos yeux
que par la montée.
Plus tard j' ai retrouvé le gout de l' ombre, fragile abri ; en m' éveillant, aujourd' hui, la forte lumière matinale me fait l' effet d' un vase qui se
brise.

 
L' auteur est un homme, contemporain, étranger mais proche. Connu.

Ses texte sont souvent autobiographiques.

bix_229 a écrit:
Le soleil était bien digne de sa réputation, on s' y rendait comme on
descend vers une place avec des seaux vides pour puiser l' eau.
On revenait fatigués autant par la lumière qui avait rempli nos yeux
que par la montée.
Plus tard j' ai retrouvé le gout de l' ombre, fragile abri ; en m' éveillant, aujourd' hui, la forte lumière matinale me fait l' effet d' un vase qui se
brise.

 

J'aime !  

Ibérique ?

Non, mais le soleil est brulant là-bas aussi.