Boris Fishman
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Boris Fishman
Boris Fishman est né à Minsk, en Biélorussie, et a émigré aux États-Unis en 1988. Ses textes ont été publiés par le « New Yorker », la revue du « New York Times », la « New York Times Book Review », la « London Review of Books », le « Wall Street Journal » et le « Guardian », entre autres titres. Boris Fishman enseigne l’écriture créative à l’université de Princeton. Il habite New York.
Son œuvre
- Une vie d’emprunt, Buchet Chastel
- Rodéo, Buchet Chastel ».
- Le Festin sauvage, Noir sur Blanc 2022
Source éditeur
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8423
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Boris Fishman
Le festin sauvage
C’est une famille juive assez typique, qui a émigré de l’Ukraine soviétique quand l’auteur avait 9 ans. Avec ce que cela implique d’amour envahissant et de détestation, d’humour, de lucidité.
Eux restent là-bas de cœur. Lui ne sait jamais trop s’il est de là-bas ou d’ici.
Ils traînent leur mal-être dans cette ville de New-York où ils espéraient trouver la félicité. Et ils mangent. Ils mangent, et cuisinent - et partagent leurs recettes avec la lectrice.
Parce que la grand-mère a longtemps failli mourir de faim sous Staline, parce que la nourriture c’est le lien, cela remplit l’âme quand l’esprit se sent vide, cela guérit le corps, c’est une joie du partage, c’est l’ultime trésor sauvé de leur pays d’origine.
Passez à table et vous ne serez pas déçu·e, vous en ressortirez papilles, cœur et cerveau exaltés !
C’est une famille juive assez typique, qui a émigré de l’Ukraine soviétique quand l’auteur avait 9 ans. Avec ce que cela implique d’amour envahissant et de détestation, d’humour, de lucidité.
Eux restent là-bas de cœur. Lui ne sait jamais trop s’il est de là-bas ou d’ici.
Ils traînent leur mal-être dans cette ville de New-York où ils espéraient trouver la félicité. Et ils mangent. Ils mangent, et cuisinent - et partagent leurs recettes avec la lectrice.
Parce que la grand-mère a longtemps failli mourir de faim sous Staline, parce que la nourriture c’est le lien, cela remplit l’âme quand l’esprit se sent vide, cela guérit le corps, c’est une joie du partage, c’est l’ultime trésor sauvé de leur pays d’origine.
Passez à table et vous ne serez pas déçu·e, vous en ressortirez papilles, cœur et cerveau exaltés !
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Flore Vasseur
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Re: Boris Fishman
je vais m'inviter aussi, dans quelques temps (je termine d'abord mon livre en cours)
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21119
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Des Choses à lire :: Lectures par auteurs :: Écrivains des États-Unis d'Amérique
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