Guillaume Le Touze

Guillaume Le Touze est un écrivain français né au Havre en 1968.

Après avoir débuté sa vie professionnelle par le théâtre et le cinéma, il est recruté comme maquettiste par la maison d'édition L'Ecole des loisirs, qui publie ses premiers textes pour la jeunesse en 1991. Son premier roman pour adultes suivra en 1992.

Il reçoit le Prix Renaudot 1994 pour Comme ton père.

Il se consacre aujourd'hui à l'écriture. Il vit et travaille dans le Sud de la France.

Œuvres :


1992 : Comme tu as changé
1994 : Comme ton père - Prix Renaudot
1997 : Etonne-moi
1999 : Dis-moi quelque chose
2001 : Tu rêves encore
2005 : Attraction
2017 : La mort du taxidermiste

Œuvres pour la jeunesse

1991 : J'entends le silence des chaussures de Papa
1992 : Leopold préfère les fauves
1992 : On s'écrira
1993 : Ma maîtresse s'appelle Rosemonde
1994 : Dommage que ce soit un secret
1995 : Les crocodiles ne pleurent plus
1995 : L'important c'est d'y croire
1996 : À cause de la cheminée
1996 : On m'a oublié
1998 : Seule au monde
2006 : Les nuits de Léo avec Christophe Lécullée
2007 : Derrière le rideau de pluie avec Michel Séméniako et Thierry Magnier
2008 : Les ogres pupuces avec Julien Rancoule


Source Wikipedia

La mort du taxidermiste



A la mort du père, Bernard, le taxidermiste, un secret de famille se dévoile. Qui était vraiment Bernard, cet homme qui organise une mort digne et résistante?
C’est un roman assez ambitieux en cela  qu'en 181 pages, il veut étreindre la transmission générationnelle côté maternel comme côté paternel, côté Algérie en guerre et côté Corse farouche... "Le thème de la filiation apparait dans tous les livres de Guillaume Le Touze", lit-on sur le quatrième de couverture. On peut dire qu'il n'y va pas avec le dos de la cuiller. Mais il le fait assez bien, les personnages (nombreux)  sont attachants, la mort du père réveille comme un vécu, et Le Touze a une belle plume pour décrire la nature sauvage. On passe un bon moment, mais cela ne me laissera pas une trace indélébile...


mots-clés : #famille

J'avais vu une bonne critique ! merci topocl