Nos lectures en février 2018

Armor a écrit:

Quasimodo a écrit:Et vers celui, plus discutable, des quatre enfants idiots des Mazzini-Ferraz. Brrr.

Discutable, c'est le mot. Cette nouvelle m'a mise extrêmement mal à l'aise, pour diverses raisons.

Toutes mes excuses. Je comprends tout à fait...

Dreep a écrit:

Quasimodo a écrit:Ah ! Vergilio Ferreira, un nom que j'ai mis de côté grâce à vous !

Overdose de littérature française : j'ai commencé Djamilia, d'Aïtmatov.

Si tu veux continuer ton dépaysement dans la steppe, je te conseille Un héros de notre temps de Lermontov, si tu ne l'as pas déjà lu.

Héhé. C'est un de mes livres préférés (mais tu as visé juste !)

Dans mes bras !

   

On n'est plus, je crois, dans la steppe ni dans la montagne, mais est-ce que tu as lu La princesse Ligovskoï ? Ce sera un passage obligé, en ce qui me concerne...

Reprise du cycle " Agatha Raisn" de M.C Beaton

Quasimodo a écrit:    

On n'est plus, je crois, dans la steppe ni dans la montagne, mais est-ce que tu as lu La princesse Ligovskoï ? Ce sera un passage obligé, en ce qui me concerne...

Pas encore ! Mais ce sera pour très très bientôt

Quasimodo a écrit:

Dreep a écrit:

Quasimodo a écrit:Overdose de littérature française : j'ai commencé Djamilia, d'Aïtmatov.

Si tu veux continuer ton dépaysement dans la steppe, je te conseille Un héros de notre temps de Lermontov, si tu ne l'as pas déjà lu.

Héhé. C'est un de mes livres préférés (mais tu as visé juste !)

Ah, si vous cherchez encore le dépaysement dans la steppe, je vous conseille un petit bijoux inconnu (ou peu connu): Esther Hautzig "La steppe infinie". Extra! Mais plutôt de l'ordre du récit autobiographique...:

Esther Rudomin avait dix ans quand sa vie bascula. Elle vivait une enfance heureuse au milieu d'une famille juive aimante, dans une grande et belle maison, à Wilno, en Pologne. La vie y était si douce que même la guerre semblait devoir s'arrêter à la grille du jardin. Pourtant, ce matin de juin 1941, deux soldats russes franchissent la grille. Esther, ses parents et ses grands-parents sont arrêtés et enfermés dans un wagon à bestiaux. Au bout d'un voyage de sept semaines, entassés avec d'autres familles dans la pénombre, sans avoir le droit de sortir et avec une maigre ration de soupe par jour, ils arrivent en Sibérie. C'est le début de cinq années d'exil, pendant lesquelles Esther et sa famille connaissent le travail forcé, l'angoisse de la séparation, le chagrin, le froid, la faim permanente, l'absente d'intimité, la privation de tout : d'eau courante, de savon, de chaussures. Ce pourrait être un livre sur la souffrance. Mais c'est un livre sur les ressources de l'âme humaine, et sur l'irréductibilité de l'enfance. Esther se souvient de chaque élan de son coeur, du bonheur presque interdit que lui procure parfois la beauté du paysage, de son désir d'être une jeune fille comme les autres et de se faire des amies. Elle raconte aussi son premier amour, sa passion d'apprendre. Elle se souvient qu'il ne lui fut pas si facile de prendre le chemin du retour. Publié en France pour la première fois en 1986, ce livre a ému et passionné des centaines de milliers de lecteurs de par le monde.

Aitmatov je le li actuellement. J'ai presque fini. Bouleversant.

C'est le mot. Je ne voulais tellement pas le lâcher que je l'ai emporté et fini en cours, j'en avais les larmes aux yeux.

animal a écrit:Lecture imprévue qui s'annonce bien avec Que diraient les animaux, si... on leur posait les bonnes questions ? de Vinciane Despret.

je crains que nous n'aimions pas leurs réponses quant à l'humain !

Ah c'est marrant, Aïtmatov, ça fait 2 fois que je suis parti pour acheter un de ses livres, et que je finis par ne pas le faire ... A suivre.

Je vais donner une nouvelle chance à V. , de Pynchon, après une première lecture abandonnée il y a de nombreuses années de ça. Depuis j'ai bien accroché à Vente à la criée du lot 49 (même si je n'ai déjà plus trop de souvenirs de cette lecture, qui ne date que de l'été dernier ...).

J'ai vérifié, il a un fil, Pynchon ; je vais aller y coller quelques citations, à défaut de commentaire, car cet auteur mérite la lecture.

@tom léo, je ne l'ai pas trouvé en librairie, mais je prends le nom, merci beaucoup ! Il y a aussi Abaï (Moukhtar Aouezov) dans le même genre. Génial paraît-il - mais difficile à trouver...

Dreep a écrit:

Quasimodo a écrit:    

On n'est plus, je crois, dans la steppe ni dans la montagne, mais est-ce que tu as lu La princesse Ligovskoï ? Ce sera un passage obligé, en ce qui me concerne...

Pas encore ! Mais ce sera pour très très bientôt

On s'y retrouvera !

Quasimodo a écrit:

Armor a écrit:

Quasimodo a écrit:Et vers celui, plus discutable, des quatre enfants idiots des Mazzini-Ferraz. Brrr.

Discutable, c'est le mot. Cette nouvelle m'a mise extrêmement mal à l'aise, pour diverses raisons.

Toutes mes excuses. Je comprends tout à fait...

Loin de moi l'idée de t'en vouloir, Quasimodo !

Quasimodo a écrit:@tom léo, je ne l'ai pas trouvé en librairie, mais je prends le nom, merci beaucoup ! Il y a aussi Abaï (Moukhtar Aouezov) dans le même genre. Génial paraît-il - mais difficile à trouver...

Dreep a écrit:

Quasimodo a écrit:    

On n'est plus, je crois, dans la steppe ni dans la montagne, mais est-ce que tu as lu La princesse Ligovskoï ? Ce sera un passage obligé, en ce qui me concerne...

Pas encore ! Mais ce sera pour très très bientôt

On s'y retrouvera !

J'associe avec la steppe les grandes étendues de l'Asie Centrale, donc j'avais cherché plus tôt la référence... Retrouvé: Peut-être ce livre pourrait aussi t'intéresser: Contes du chemin de fer de Hamid Ismailov. Voir aussi: https://www.babelio.com/livres/Ismailov-Contes-du-chemin-de-fer/136324 Peut-être plus à rapprocher des "contes" et de descriptions de personnages plus ou moins bizarres de ces contrées que des descriptions de paysage? J'avais bien aimé, mais le style est spéciale...

Je viens de terminer Fugitives, un recueil de nouvelles d’Alice Munro et je n’ai pas du tout dans quoi me lancer....
Je regarde mes étagères et je remets aussi vite ce que j’en sors....c’est consternant
Le seul qui est en attente de retourner dans sa pile est La Divine Plaisanterie de Margaret Laurence....
À suivre...

Bonne inspiration pour le choix, Cliniou !

Antoine Compagnon, Les antimodernes (essai)

Civilisation de Régis Debray... le personnage m'intrigue d'autant plus qu'il y a deux ans, il a réalisé un opéra sur Walter Benjamin...

J'ai lu Némésis (Philip Roth).
Sans surprise , du très bon , bien que je ne sois pas spécialement sensible à son écriture .
Une oeuvre de maturité d'un écrivain accompli , l'un des plus grands auteurs américains contemporains .