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Lionel Duroy

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Message par Bédoulène Jeu 23 Nov - 14:46

Lionel Duroy

Né en 1949

Lionel Duroy Ct-00311


Lionel Duroy de Suduiraut, né le 1er octobre 1949 à Bizerte (Tunisie), est un journaliste et écrivain français.

Quatrième d'une famille de dix enfants, Lionel Duroy est issu d'une famille d'origine noble mais désargentée1, laquelle a longtemps partagé des idées d'extrême droite. Sa jeunesse dans ce milieu l'a marqué profondément et sera le terreau de plusieurs de ses livres (Priez pour nous, Le Chagrin).

Lionel Duroy est d'abord livreur, coursier, ouvrier, puis journaliste à l'Agence centrale de presse (ACP), Libération et à L'Événement du jeudi. Depuis la publication de son premier roman en 1990, il se consacre entièrement à l'écriture de romans à teneur essentiellement autobiographique1. Il parle volontiers de sa mère, du traumatisme familial lié aux blessures de guerre de son père et à l'expulsion juridique de sa famille en 1955, du manque de solidarité du reste de la famille2.

Il prête sa plume à de nombreuses célébrités désireuses de publier leur biographie1,3.

En 2013, son roman L'Hiver des hommes en fait le lauréat du prix Renaudot des lycéens 2012 et du prix Joseph-Kessel 2013.

sources wikipedia

Bibliographie

Hienghène, le désespoir calédonien, Paris, Bernard Barrault, 1988
L’Affaire de Poitiers, Paris, Bernard Barrault, 1988
Priez pour nous, Paris, Bernard Barrault, 1990
Je voudrais descendre Éditions du Seuil 1993
Il ne m'est rien arrivé Mercure de France, coll. « Bleue », 1994
Comme des héros coll. « Libres », 1996
Mon premier jour de bonheur Éditions Julliard, 1996
Des hommes éblouissants Éditions Julliard, 1997
Un jour je te tuerai Julliard, 1999
Trois couples en quête d'orages Éditions Julliard, 2000
Méfiez-vous des écrivains, Paris, Éditions Julliard, 2002
Le Cahier de Turin, Paris, Éditions Julliard, 2003
Écrire, Paris, Éditions Julliard, 2005
Le Chagrin : roman, Paris, Éditions Julliard, 2010
– Prix François-Mauriac de la région Aquitaine 2010, Grand prix Marie Claire du roman d'émotion 2010, Prix Marcel Pagnol 2010
Colères : roman, Paris, Éditions Julliard, 2011
Survivre avec les loups. La véritable histoire de Misha Defonseca, 2011
L’Hiver des hommes, Paris, Éditions Julliard, 2012
- Prix Renaudot des Lycéens 2012
- Prix Joseph-Kessel 20134
Vertiges : roman, Paris, Éditions Julliard, 2013
Échapper, Paris, Julliard, 2015
L’Absente, Paris, Julliard, 2016
Eugenia, Paris, Julliard, 2018)
- Prix Anaïs-Nin 20195
Nous étions nés pour être heureux, Paris, Julliard, 2019)
L'homme qui tremble, Paris, Barrault Éditions, 2021.
Disparaître, Paris, Mialet-Barrault, 2022
Mes pas dans leurs ombres, Paris, Mialet-Barrault, 2023

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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia



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Message par Bédoulène Jeu 23 Nov - 16:46

Lionel Duroy 612nbp10

sujet : Adèle jeune femme journaliste, d'origine Roumaine ne connait pas du tout le pays d'origine de ses parents, et franchement n'était pas attirée de s'y rendre. Or son journal l'envoie en mission en Roumanie, son mari Arthur avait prévu un voyage dans ce pays car il trouvait normal qu'Adèle ait envie de connaître ce pays. Adèle part donc en Roumanie et elle fait la connaissance de Vasile Popovici qui lui explique qu'il y a eu dans tout le pays des pogroms sur les Juifs, ce qu'elle ignorait et aussitôt elle téléphone à son père et lui demande pourquoi il ne lui en a jamais parlé. Celui-ci nie savoir quoi que ce soit aux sujets des Juifs.
Mais Adèle se rend dans la ville où ses parents ont vécus, là elle apprend que son grand-père n'est pas celui que son père avait décrit, il était très craint car personnage important du Parti, e s'il est mort en prison ce n'est en aucun cas parce qu'il était partisan, mais bien car condamné par le Parti (pour avoir fourni les passeports aux parents d'Adèle et du fait qu'ils ne sont pas revenus au pays)

Vasile Popovici qu'elle a rencontré et avec qui elle sympathise lui recommande de lire Aharon Appelfeld, de retour donc en France elle lit tous les livres qu'elle trouve et décide de faire sa connaissance mais Appelfeld est mort, alors elle téléphone à Vasile lui annonçant sa mort et celui-ci lui recommande alors de lire Hilsenrath, ce qu'elle fait.

Ayant donc compris dans ses lectures ce qui s'est passé en Roumanie, elle décide de repartir là-bas. Elle demande à Lucian, qui était maître d'hôtel dans l'hôtel où elle avait séjourné avec son mari, afin qu'il lui serve de traducteur et de guide car, si elle parle le roumain, elle ne comprend pas le russe et autre dialecte qu'elle va rencontrer dans les lieux qu'elle souhaite visiter.
Suivant à la trace le parcours de l'enfant Appelfeld, puis Hisenrath, ainsi que Michaël Stivelmanelle visite les villes, les cimetières, les rares plaque commémoratives rappelant les pogromes sur les Juifs.
A son étonnement, la population de ces villes ignorent leur passé, les Juifs ? non, ils ne savent rien ou alors seulement quelques personnes qui en ont eu connaissance quand un Juif d'Israël a été de passage, souvent pour demander un monument commémoratif et y participer.
Des extraits des livres des auteurs Juifs cités, accompagnent son voyage. Au bout de ce voyage Adèle décide de s'installer là-bas et Lucian lui propose une maison qu'il a hérité de sa Grand-mère. Les paroles qu'elle adresse à ses parents sont dures, elle les accusent d'avoir menti, d'avoir oublié, caractère des roumains qu'elle a découvert dans son périple.

Elle a le droit de le dire car elle a découvert une photo dudit grand-père qui ne l'honore pas et l'accuse d'avoir fait partie de ces roumains qui ont assassiné les Juifs.
En réponse à Lucian qui s'étonne qu'elle s'intéresse tant aux Juifs alors qu'elle ne l'est pas, elle dit qu'en fait ces à leurs assassins, les roumains qu'elle s'intéresse.

les extraits suivants confirment

première connaissance de Bucarest avec un livre :

"Je sors éblouie du livre de Rosie Waldeck – comme on sort d’un grand roman d’aventures. J’aurais voulu lire la suite mais elle ne l’a pas écrite, repartie pour les États-Unis à la fin du mois de janvier 1941, juste après l’épouvantable pogrom perpétré par les gardistes, et tandis que la neige, qui tombait en abondance, recouvrait le sang des Juifs. Mon pays avait donc existé avant Ceauşescu et je n’en avais rien su. Si, j’avais su, vaguement su, bien sûr, pour Antonescu et les fascistes roumains aux chemises vertes, mais l’odeur de terreur et de misère qui collait à mes parents m’avait dissuadée de m’y intéresser. Était-il possible qu’on ne m’ait jamais parlé du pogrom de Bucarest ? Ou bien n’avais-je pas entendu, pas voulu entendre ? Cela, en particulier, me laissait un sentiment de gêne, presque de honte. Et maintenant je voulais savoir ce qu’étaient devenus tous ces personnages que j’avais plus ou moins ignorés – Carol II, Ion Antonescu, Horia Sima, les proches de Codreanu et notamment sa veuve, Elena Ilinoiu, le jeune roi Michel, les ambassadeurs, les généraux allemands et tant d’autres croisés dans les salons de l’Athénée Palace…
J’habitais les lieux mêmes du livre, on avait retiré du grand hall les tables basses et les fauteuils où l’on s’entretenait discrètement, à demi cachés derrière les colonnes de marbre jaune, mais le salon vert où les officiers allemands avaient été présentés à leurs homologues roumains était resté le même, ainsi que le restaurant rouge et or où tous avaient déjeuné autour d’une longue table fleurie – j’habitais les lieux mêmes du livre mais je n’avais plus personne pour me raconter la suite."


rencontre avec des "amis" de ses parents qui nient le pogrom de Iasi
"Les Sârbu lui ont expliqué l’objet de notre discussion, Monica ne cachant pas son indignation.
« Mais là-dessus il n’y a pas de débat, a tranché calmement Arthur, la liste des victimes a été établie, les morts ont été comptés, les autorités roumaines ont d’ailleurs reconnu ce chiffre de treize mille après la guerre. Si vous le souhaitez, je peux vous montrer des photos prises dans la cour de la préfecture, dans les rues et devant les wagons à bestiaux lorsqu’on a ouvert les portes et déchargé les corps. »
Après ça, ils ont essayé de revenir à l’intimité de nos premiers échanges, mais nous étions devenus des menteurs à leurs yeux et ils étaient désormais des tricheurs aux nôtres. Ils ont encore feint de s’intéresser à nous, Arthur a bien voulu leur raconter ce que nous avions vu à Iaşi, le monastère et je ne sais quoi d’autre, puis, sentant que j’avais hâte de m’en aller, il s’est levé et au moment de nous séparer sur le palier on aurait dit que nous nous haïssions.
« Les salauds », ai-je dit tout bas dans la cage d’escalier."


Moguilev
"« Nous allons faire un premier tour », dis-je tout bas, comme si nous aussi étions menacés.
À la façon dont Lucian me regarde, je devine que lui est simplement en voyage, un jour de janvier 2019, tandis que moi je vais entrer dans le ghetto de Moguilev sur les traces d’Edgar Hilsenrath, ou plutôt de Ranek, puisque c’est à travers les yeux de Ranek, deux fois plus âgé qu’Edgar, que j’ai découvert comment les Juifs ont survécu, puis se sont éteints petit à petit dans d’indicibles souffrances, dans les ruines et les fossés de cette ville dévastée par les combats que se sont livrés Allemands et Russes au début de l’été 1941."


Otachi
"Mais il est encore tôt et nous partons à pied nous promener dans Otachi. Ce n’est plus tout à fait un village comme en 1941, les communistes ont construit ici et là quelques blocs sinistres, dont le béton s’effrite, et ils ont oublié sur la place centrale, en face de la mairie, une haute statue de Lénine qui ne montre pas la direction, pour une fois, mais tend modestement la main droite comme s’il voulait saisir la nôtre ou recevoir un euro ou deux pour rester propre. Des tas d’hommes, et parfois de couples, tournent en rond dans le bourg à bord de vieilles Lada aux flancs maculés de boue et l’on devine à leurs yeux pleins de fièvre combien les affaires doivent être avantageuses, ici, à Otachi, avec la frontière toute proche. Ah, et voilà l’église dont Ranek entendait sonner les cloches."

Balti
"La vieille dame qui est à l’origine de cette œuvre s’appelle Polina. Elle n’a pas voulu quitter Bălţi pour Israël et a créé un petit centre de la Mémoire juive en périphérie de la ville, au numéro 5 de la rue Michka Pinchenzon. Depuis trois décennies elle essaie de convaincre les autorités de Bălţi de se souvenir qu’ici ont vécu des milliers de Juifs avant la guerre, des familles dont les maisons ont été données par la suite à des ouvriers russes amenés là par Staline. Mais comment les autorités pourraient-elles se souvenir alors qu’elles-mêmes sont nées bien après la guerre et que les livres d’histoire, ceux des écoliers en particulier, ne mentionnent nulle part la présence de Juifs à Bălţi ? Malgré tout, Polina a obtenu quelques petites victoires. Outre la stèle de Răuţel, financée par des Juifs d’Israël, des proches des familles massacrées, croit-elle, c’est elle qui a convaincu la mairie de donner le nom de Michka Pinchenzon à sa rue. Quand on vint l’arrêter avec ses parents, Michka prit son violon. C’était un enfant d’une dizaine d’années. On fit creuser leurs tombes aux Juifs puis on les fit s’agenouiller au bord des fosses avant de leur tirer une balle dans la nuque. Le petit assista à l’exécution de ses parents. « Et maintenant, lui demanda l’officier SS, veux-tu encore jouer du violon ? — Oui », répondit l’enfant. Il s’assit au bord de la fosse, au-dessus des suppliciés qui avaient roulé au fond et il commença à jouer l’Internationale. Alors l’officier, pris de colère, l’envoya rejoindre ses parents d’une balle dans la tête. C’est ainsi que Polina raconte son histoire, avec un pâle sourire, comme on transmet un conte pour les enfants, ou une légende."

rencontre avec Rosenthal dont les parents étaient dans le ghetto

"Il repart, nous marchons en direction du marché, mais déjà un début de dialogue nous attache.
Puis soudain il s’arrête, à une trentaine de mètres des premiers étalages, et désigne du doigt, largement au-dessus de nos têtes, un minuscule bas-relief en plomb fixé sur le mur d’angle d’une maison. En le photographiant avec mon téléphone puis en grossissant l’image je vois que l’artiste a représenté quatre groupes différents de déportés : une femme seule avec un enfant ; deux hommes avec trois enfants ; un couple de religieux, la femme est voilée, l’homme porte le chapeau traditionnel et la barbe, accompagné de trois enfants ; enfin, deux hommes âgés avec trois enfants de nouveau."

les rares Justes
"Il avait sûrement prévu de garder sa propre rue pour la fin car c’est à l’issue de notre long périple que nous nous y engageons. Ce n’est qu’une ruelle étroite bordée de maisons basses minuscules qui toutes ont un petit potager.
« Dans celle-ci, nous dit-il, vivait une femme qui a caché deux enfants juifs pendant toute la guerre. C’est mon père qui me l’a raconté, et le nom de cette femme est aujourd’hui gravé sur un petit monument en ville.
— Ah, nous avons vu ce monument. Et justement, on se demandait…
— Les noms inscrits sont ceux de familles de Moguilev qui ont sauvé des enfants juifs.
— Je comprends."


"Et qu’allez-vous écrire sur les gens de Secureni ?
— Ils ont profité de la situation pour voler les Juifs, piller leurs maisons, mais ce ne sont pas eux qui m’intéressent, ce sont les Roumains. Leur inhumanité dès lors qu’on les autorise à disposer des Juifs. Ils ne voient pas un enfant derrière un enfant juif, alors que voient-ils ?
— Certes, mais les Allemands ont fait bien pire.
— On sait tout de ce qu’ont fait les Allemands, il y a eu Nuremberg, puis des dizaines d’historiens, de romanciers et de cinéastes ont travaillé sur la Shoah. Sur le génocide commis par les soldats roumains, on ne sait presque rien parce que leurs enfants ne veulent pas savoir.
— Mais vous, si.
— Moi je veux savoir, oui. Mais surtout je veux comprendre comment ce pays, le mien, a réussi à effacer sa propre histoire, et en l’occurrence ses propres crimes."

Lucian la questionne sur son intérêt pour les Juifs

" Ce ne sont pas les Juifs qui m’intéressent, ce sont leurs bourreaux. Ces soldats roumains qui tuaient les retardataires à l’arrière des convois, qui riaient de voir les gens tomber et se noyer dans la boue, qui raflaient les sans-abris dans les ghettos. Ce que je trouve impossible c’est de savoir que ces salauds sont rentrés tranquillement chez eux après la guerre et que dans les familles, aujourd’hui, on fasse semblant de ne rien savoir. Dans la mienne aussi on fait semblant, mon père a feint de croire pendant soixante-dix ans que mon grand-père avait été résistant, et moi j’étais censée avaler ce bobard et le transmettre aux enfants que je n’aurai pas.
— Parce qu’il n’a pas été résistant ?
— À Moguilev, au petit musée, je l’ai vu en uniforme d’officier à côté d’Alexianu, le gouverneur de la Transnistrie.
— Pourquoi tu ne me l’as pas dit ?
— Je ne sais pas.
— Adèle…
— Bientôt je vais savoir ce qu’il a fait et je l’écrirai. Et le monde entier le saura, et mes parents le sauront, eux qui ont passé leur vie à fuir et à se planquer."


Lucian qu'amoureux est très lucide sur la personne Adèle
"Si je triche, c’est avec moi-même, en me figurant que ça pourrait durer. J’ai vu avec quel appétit tu te sers dans la vie : tu prends ce dont tu as envie, et quand tu en as assez, tu laisses tomber et tu vas te servir ailleurs. Je me souviens comment tu m’as fait l’amour dans la lingerie la première fois, sans vraiment me demander mon avis, mais ça m’allait, hein, ça m’allait même très bien, je ne suis pas en train de t’accuser de viol. Et aussi à quelle allure tu as largué Arthur ! Du jour au lendemain, sans souffrir. C’est à ce moment-là que j’ai pensé pour la première fois : Adèle est un démon. Tu consommes, mais tu n’aimes pas, je crois. Tu es bien trop occupée par toi-même, par tout ce qui te contrarie autour de toi, et même en toi, pour aimer qui que ce soit. »


Ce que j'en pense de cette lecture : bien sur intéressante pour l'Histoire (le passage de la Roumanie des fascistes au communisme) ;  les extraits des livres des auteurs qui accompagnent le périple d'Adèle

par contre : Mr Duroy intégrer dans cette recherche mémoire historique une journaliste comme Adèle à la sexualité débridée et ses relations, je n'apprécie pas.
C'est inutile et un peu indécent dans ce sujet.

Je n'ai pas ajouté les extraits des auteurs, mais vous connaissez certainement leurs livres ou bien je vous engage à les lire. J'ai lu Appelfeld et je lirais donc Hilsenrath et Stivelman.

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