Exposition Rothko
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Exposition Rothko
Exposition Mark Rothko : Fondation Louis Vuitton
La fondation Louis Vuitton a présenté (du 10 oct. 23 au 2 avril 24) une rétrospective de l’œuvre du peintre Mark Rothko (1903-1970).
J’ai réussi à voir l'expo juste avant la fin ; j’avais gardé un souvenir très fort de la précédente exposition moins complète qui avait eu lieu en 1999 au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
L'accrochage suit les œuvres du peintre en ordre chronologique dans des salles spacieuses (c’est ma première visite à la Fondation) qui permettent de ne pas être gêné par les nombreux visiteurs.
La première salle regroupe les œuvres des années 30, scènes urbaines en particulier dans le métro new yorkais, allant parfois jusqu’au surréalisme.
Untitled (subway), 1937.
Underground Fantasy, 1940
Rothko abandonne ces figurations du réel dans les années 1940 pour se tourner dans un premier temps vers des sujets mythologiques où l’on retrouve l’influence de Picasso
Sacrifice d’Iphigénie
Mythologie
A partir de 1946, Rothko quitte la figuration et se tourne vers ce qu’il nomme les multiformes
Puis à partir de 1950, les grands formats s’organisent autour de figures rectangulaires aux bords toujours animés par des coups de pinceaux sur de vastes fonds. La superposition des couleurs, leurs accords toujours différents font que malgré la répétition des formes on ne se lasse jamais. La photo ne peut pas rendre la vibration des couleurs.
En 1969, des peintures rouge foncé destinées à l’origine à un restaurant sont offertes à la Tate Gallery, ensemble présenté dans l’exposition.
Couleurs sombres ou plus vives, l’artiste atteint d’une maladie qui l’empêche de réaliser des grands formats finit par se suicider en 1970.
Difficile de conseiller une exposition qui vient de se terminer ; au moins pour ceux qui ignorent encore cet artiste, juste donner une idée de son œuvre ; juste une idée car rien ne remplace le contact direct avec ce type d’œuvres.
La fondation Louis Vuitton a présenté (du 10 oct. 23 au 2 avril 24) une rétrospective de l’œuvre du peintre Mark Rothko (1903-1970).
J’ai réussi à voir l'expo juste avant la fin ; j’avais gardé un souvenir très fort de la précédente exposition moins complète qui avait eu lieu en 1999 au Musée d’Art moderne de la Ville de Paris.
L'accrochage suit les œuvres du peintre en ordre chronologique dans des salles spacieuses (c’est ma première visite à la Fondation) qui permettent de ne pas être gêné par les nombreux visiteurs.
La première salle regroupe les œuvres des années 30, scènes urbaines en particulier dans le métro new yorkais, allant parfois jusqu’au surréalisme.
Untitled (subway), 1937.
Underground Fantasy, 1940
Rothko abandonne ces figurations du réel dans les années 1940 pour se tourner dans un premier temps vers des sujets mythologiques où l’on retrouve l’influence de Picasso
Sacrifice d’Iphigénie
Mythologie
A partir de 1946, Rothko quitte la figuration et se tourne vers ce qu’il nomme les multiformes
Puis à partir de 1950, les grands formats s’organisent autour de figures rectangulaires aux bords toujours animés par des coups de pinceaux sur de vastes fonds. La superposition des couleurs, leurs accords toujours différents font que malgré la répétition des formes on ne se lasse jamais. La photo ne peut pas rendre la vibration des couleurs.
En 1969, des peintures rouge foncé destinées à l’origine à un restaurant sont offertes à la Tate Gallery, ensemble présenté dans l’exposition.
Couleurs sombres ou plus vives, l’artiste atteint d’une maladie qui l’empêche de réaliser des grands formats finit par se suicider en 1970.
Difficile de conseiller une exposition qui vient de se terminer ; au moins pour ceux qui ignorent encore cet artiste, juste donner une idée de son œuvre ; juste une idée car rien ne remplace le contact direct avec ce type d’œuvres.
Pinky- Messages : 518
Date d'inscription : 28/11/2021
Re: Exposition Rothko
merci Pinky ; je préfère le figuratif perso
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21466
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