Nos lectures en janvier 2018
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Re: Nos lectures en janvier 2018
Peut-être, Tristram, mais il n'est pas très prisé et je pense que ce n'est pas un hasard. Ce n'est pas forcément très stimulant, de le lire au premier niveau. Et je ne sais pas ce que les élèves en tirent, à part ce doux sentiment d'appartenance au très large cercle des (jeunes) contempteurs de Flaubert...
Et pourtant comme tu le dis, c'est important d'étudier des auteurs exigeants. C'est comme ça qu'on s'y met, à son rythme bien entendu.
Et pourtant comme tu le dis, c'est important d'étudier des auteurs exigeants. C'est comme ça qu'on s'y met, à son rythme bien entendu.
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 28
Re: Nos lectures en janvier 2018
En tout cas, je sais que la découverte scolaire de, par exemple, Baudelaire a été déterminante pour moi, et que je le relis toujours, ce phare, même si j'ai peut-être d'abord été retenu par son côté scabreux, ou romantique, ou autre.
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15634
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Re: Nos lectures en janvier 2018
Non de toute façon, je pense que le problème va au-delà d'un choix de livres, ce sont des méthodes et une conception de l'enseignement. Pourquoi considère-t-on que c'est bien pour eux ? Pourquoi considérer que la littérature est importante en soi et pour tout un chacun ?
Dernière édition par Dreep le Mer 17 Jan - 0:12, édité 1 fois
Dreep- Messages : 1539
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Age : 31
Re: Nos lectures en janvier 2018
On suppose que lire peut être judicieux ?!
Voir ici...
Voir ici...
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Tristram- Messages : 15634
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Re: Nos lectures en janvier 2018
Lire n'est pas la seule chose judicieuse qui soit, et ce n'est pas forcément ce vers quoi un jeune individu aspire. De toute façon l'y forcer ne produit que les résultats qu'on connaît.
On vient personnellement à la littérature, ou on n'y vient pas. Je crois que l'école n'a pas grand-chose à voir là-dedans. Je crois que les bonnes découvertes qu'on fait à l'école, on les doit plus à nous-même qu'à cette vaste institution qui ne vise qu'à produire des citoyens-modèle.
On vient personnellement à la littérature, ou on n'y vient pas. Je crois que l'école n'a pas grand-chose à voir là-dedans. Je crois que les bonnes découvertes qu'on fait à l'école, on les doit plus à nous-même qu'à cette vaste institution qui ne vise qu'à produire des citoyens-modèle.
Dreep- Messages : 1539
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 31
Re: Nos lectures en janvier 2018
Il me semble quand même qu'avoir l'opportunité d'accéder à des livres est un plus. Ce n'est pas évident pour tous et partout...
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Tristram- Messages : 15634
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Re: Nos lectures en janvier 2018
Je ne crois pas que ce soit l'école qui entretienne cette accessibilité.
Dreep- Messages : 1539
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 31
Re: Nos lectures en janvier 2018
Sans l'école, je ne saurais même pas lire ! Je pensais d'une manière plus générale à ce que j'ai vu en Afrique, par exemple (il est vrai que c'était avant le développement d'internet !)
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Tristram- Messages : 15634
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Re: Nos lectures en janvier 2018
Lune comanche de Larry McMurtry
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8427
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Nos lectures en janvier 2018
Je suis très intéressé par votre échange sur les livres et l'éducation, ça mériterait un sujet, mais un débat ...
En tout cas, je me pose vraiment des questions là-dessus. Je vois autour de moi, si j'évoque n'importe quel auteur, Flaubert, Hugo ou autre, la plupart vont les associer à du rébarbatif, des mauvais souvenirs des lectures imposées à l'école. Peu ont réussi à dépasser ça. Moi-même, il m'a fallu du temps.
Je crois que quel que soit l'auteur, l'école a tout pour nous en dégoûter. Car lecture imposée + devoirs. Et le fait qu'on n'est souvent pas assez mâtures pour encaisser ce type de lectures.
En tout cas, je me pose vraiment des questions là-dessus. Je vois autour de moi, si j'évoque n'importe quel auteur, Flaubert, Hugo ou autre, la plupart vont les associer à du rébarbatif, des mauvais souvenirs des lectures imposées à l'école. Peu ont réussi à dépasser ça. Moi-même, il m'a fallu du temps.
Je crois que quel que soit l'auteur, l'école a tout pour nous en dégoûter. Car lecture imposée + devoirs. Et le fait qu'on n'est souvent pas assez mâtures pour encaisser ce type de lectures.
Invité- Invité
Re: Nos lectures en janvier 2018
C'est vrai qu'on peut aussi découvrir ces livres par le biais de la TV, etc. Curieux aussi comme nous ressentons l'enseignement comme une contrainte !
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Tristram- Messages : 15634
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Nos lectures en janvier 2018
Lire sous la contrainte ce n'est pas lire c'est ingérer. Si l'école permet l'apprentissage de la lecture elle ne permet pas selon mois l'accès aux livres. beaucoup moins qu'une inscription gratuite à la médiathèque.
je sais pas si vous avez remarqué mais je parle peu des classiques. Hormis Proust que j'ai commencé à lire... et arrêté je n'ai je crois jamais parlé de classiques ici. Et pour cause je ne les ai pas lus à l'école. je les ai lu avant le collège.
Ma mère m'apprit à lire à l'âge de quatre ans. J'étais un enfant de classe moyennes et qui étaient fils de prolétaires qui s'étaient un peu élevés grâce à la culture pour rejoindre finalement la bourgeoisie. Ils ont dû se dire u'une éducation stricte (que la DDASS jugerait autrement) avec un accès, imposé, aux livres permettraient une ascension sociale fulgurante (lol pour être trivial). Lecture apprise à quatre ans on m'obligea à lire un certain nombre de livres par semaine et uniquement des classiques. Je dus donc lire les Zola, Balzac, Flaubert et autres Maupassant de mes 5 à 10 ans. La liste n'est pas exhaustive et je peux dire que l'indigestion fut sans fin.
je n'en appris que peu de choses, non que je ne comprenais pas les textes mais ils n'avaient du coup aucune saveur du fait de ma jeunesse et de la façon dont je devais les lire. certes, je les avais lu, et mon vocabulaire ainsi que ma culture étaient largement précoces. Mais au prix du dégoût et d'une sorte de cynisme.
L'école à une moindre échelle avec ces classiques c'est un peu la même chose. Elle ne s'adapte pas aux questionnements des enfants et des adolescents. De fait cette littérature leur semble déconnectée de leurs réalités. C'est la même chose en philo en terminale.
je sais pas si vous avez remarqué mais je parle peu des classiques. Hormis Proust que j'ai commencé à lire... et arrêté je n'ai je crois jamais parlé de classiques ici. Et pour cause je ne les ai pas lus à l'école. je les ai lu avant le collège.
Ma mère m'apprit à lire à l'âge de quatre ans. J'étais un enfant de classe moyennes et qui étaient fils de prolétaires qui s'étaient un peu élevés grâce à la culture pour rejoindre finalement la bourgeoisie. Ils ont dû se dire u'une éducation stricte (que la DDASS jugerait autrement) avec un accès, imposé, aux livres permettraient une ascension sociale fulgurante (lol pour être trivial). Lecture apprise à quatre ans on m'obligea à lire un certain nombre de livres par semaine et uniquement des classiques. Je dus donc lire les Zola, Balzac, Flaubert et autres Maupassant de mes 5 à 10 ans. La liste n'est pas exhaustive et je peux dire que l'indigestion fut sans fin.
je n'en appris que peu de choses, non que je ne comprenais pas les textes mais ils n'avaient du coup aucune saveur du fait de ma jeunesse et de la façon dont je devais les lire. certes, je les avais lu, et mon vocabulaire ainsi que ma culture étaient largement précoces. Mais au prix du dégoût et d'une sorte de cynisme.
L'école à une moindre échelle avec ces classiques c'est un peu la même chose. Elle ne s'adapte pas aux questionnements des enfants et des adolescents. De fait cette littérature leur semble déconnectée de leurs réalités. C'est la même chose en philo en terminale.
Hanta- Messages : 1596
Date d'inscription : 03/12/2016
Age : 36
Re: Nos lectures en janvier 2018
On pourrait aussi parler de ces profs passionnés qui savent transmettre leur amour de la littérature, et qui par le biais du théâtre ou des textes, font office de révélation pour certains enfants ?
J'ai été marquée notamment par les témoignages de beaucoup d'acteurs, la plupart avouvant qu'ils n'étaient pas scolaires pour deux sous, mais que c'était un prof de français qui avait déclenché chez eux l'amour du théâtre et des mots... et qui le remercient encore des dizaines d'années plus tard.
Je te rejoins cela dit pour la philo, Hanta. On n'en fait pas du tout pendant des années, et en L en terminale, paf 8 heures d'un coup. Il faudrait l'intégrer à petites doses dans l'enseignement, et de façon "intelligente". Et franchement, passer 3 semaines pour savoir si le bébé pense avant de parler ou parle avant de penser... Quid de l'oeuf ou la poule, quoi... Ce qu'en a dit Kant, Heideger, Shopenhaeur et compagnie... Personnellement, ça m'a traumatisée !
MAIS, j'ai ensuite rencontré un jeune prof, ancien économiste, qui était devenu prof de philo par pure passion. Et lui remettait la philo dans le vie courante : la philo appliquée à l'éthique, à l'urbanisme, à l'éducation... Comment la philo influe sur les décisions qui nous concernent tous. Et ça, c'est juste passionnant. Et l'avoir comme enseignant devait juste être génial.
Personnellement, pour avoir eu des profs ennuyeux comme la pluie et d'autres fantastiques, j'ai du mal avec ce "haro sur l'école" général quand il s'agit de littérature. C'est très réducteur.
J'ai été marquée notamment par les témoignages de beaucoup d'acteurs, la plupart avouvant qu'ils n'étaient pas scolaires pour deux sous, mais que c'était un prof de français qui avait déclenché chez eux l'amour du théâtre et des mots... et qui le remercient encore des dizaines d'années plus tard.
Je te rejoins cela dit pour la philo, Hanta. On n'en fait pas du tout pendant des années, et en L en terminale, paf 8 heures d'un coup. Il faudrait l'intégrer à petites doses dans l'enseignement, et de façon "intelligente". Et franchement, passer 3 semaines pour savoir si le bébé pense avant de parler ou parle avant de penser... Quid de l'oeuf ou la poule, quoi... Ce qu'en a dit Kant, Heideger, Shopenhaeur et compagnie... Personnellement, ça m'a traumatisée !
MAIS, j'ai ensuite rencontré un jeune prof, ancien économiste, qui était devenu prof de philo par pure passion. Et lui remettait la philo dans le vie courante : la philo appliquée à l'éthique, à l'urbanisme, à l'éducation... Comment la philo influe sur les décisions qui nous concernent tous. Et ça, c'est juste passionnant. Et l'avoir comme enseignant devait juste être génial.
Personnellement, pour avoir eu des profs ennuyeux comme la pluie et d'autres fantastiques, j'ai du mal avec ce "haro sur l'école" général quand il s'agit de littérature. C'est très réducteur.
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"Et au plus eslevé trone du monde, si ne sommes assis, que sus notre cul." (Michel de Montaigne)
Armor- Messages : 4589
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 43
Localisation : A l'Aise Breizh
Re: Nos lectures en janvier 2018
C'est pas contre l'école. Nous ne disons pas autre chose. Le prof de philo dont tu parles a réussi à intéresser à la philosophie non en passant par les classiques mais en modernisant les questions afin qu'elles correspondent aux réalités actuelles.
Hanta- Messages : 1596
Date d'inscription : 03/12/2016
Age : 36
Re: Nos lectures en janvier 2018
La question de faire correspondre l'enseignement aux réalités actuelles me chiffonne aussi. Pour commencer, la littérature, lire, ça sert à quoi aujourd'hui ?! C'est bien l'interrogation des gamins qui ont La Fontaine au programme...
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Tristram- Messages : 15634
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Nos lectures en janvier 2018
Pour revenir aux "bons" professeurs, je me souviens de trois : l'instituteur qui nous a fait "découvrir" que pour calculer la circonférence ou la surface d'un cercle, il fallait qu'il existe une constante (pi) ; le prof de français qui m'a fait découvrir la littérature ; le prof de philo qui m'a fait comprendre qu"il fallait se poser des questions devant les pseudo-évidences (même s'il jugeait les citations trop abondantes dans mes devoirs). Pour le reste, je me faisais tartir, et j'ai été un élève médiocre, irrégulier pour tout ce qui ne m'intéressait pas. J'ai été un boulet pour nombre d'enseignants, à charge de revanche. Il n'en reste pas moins que je suis largement redevable à l'école de ce que j'ai pu devenir. J'ai du goût pour l'étude, tout en ayant vécu l'école comme pesante (pour rester allusif). Ça fait peut-être partie de l'enseignement ??
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Tristram- Messages : 15634
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Nos lectures en janvier 2018
Oui, la présence des livres, d'abord. Bibliothèques, éditeurs, libraires etc.
Je ne pense pas que ce soit réducteur Armor, même si une transmission aussi heureuse que celle dont tu parles est possible et arrive quelques fois. Mais pour combien d'échecs ?
C'est par mes parents que je me suis intéressé à la littérature, mais ils n'ont pas eu besoin de faire grand-chose pour, il y avait la bibliothèque bien visible dans le salon. Ensuite l'école a failli m'en détourner.
Je ne pense pas que ce soit réducteur Armor, même si une transmission aussi heureuse que celle dont tu parles est possible et arrive quelques fois. Mais pour combien d'échecs ?
C'est par mes parents que je me suis intéressé à la littérature, mais ils n'ont pas eu besoin de faire grand-chose pour, il y avait la bibliothèque bien visible dans le salon. Ensuite l'école a failli m'en détourner.
Dreep- Messages : 1539
Date d'inscription : 08/12/2016
Age : 31
Re: Nos lectures en janvier 2018
Ben moi je tombais amoureuse de tous mes profs de français , les vieux et les jeunes , les moches et les beaux . Pour eux je serais allée décrocher la lune .
Alors c'était moins bien quand c'était des femmes . Mais là je devais décider de les aimer comme des mamans et à partir de l'affectif , je galopais dans la conjugaison , l'orthographe , la grammaire et les classiques . Et puis du reste , depuis Poucet et son ami l'écureuil à 5 ans , le monde des livres et l'imaginaire sont mes refuges .
A part ça , hormis la philo en terminale , rien ne m'intéressait et c'était douleur . Je ne comprenais rien en mathématiques et en histoire et en science et deux plus deux , j'en suis toujours à me demander combien ça fait .
Dans le prolongement de mon goût pour les lettres , la langue française , j'aurais aimé que l'art dramatique nous soit enseigné . C'est bien mon seul regret , celui de n'avoir pas eu l'audace de m'opposer à l'autorité parentale pour m'orienter dans le théâtre par la suite .
Alors c'était moins bien quand c'était des femmes . Mais là je devais décider de les aimer comme des mamans et à partir de l'affectif , je galopais dans la conjugaison , l'orthographe , la grammaire et les classiques . Et puis du reste , depuis Poucet et son ami l'écureuil à 5 ans , le monde des livres et l'imaginaire sont mes refuges .
A part ça , hormis la philo en terminale , rien ne m'intéressait et c'était douleur . Je ne comprenais rien en mathématiques et en histoire et en science et deux plus deux , j'en suis toujours à me demander combien ça fait .
Dans le prolongement de mon goût pour les lettres , la langue française , j'aurais aimé que l'art dramatique nous soit enseigné . C'est bien mon seul regret , celui de n'avoir pas eu l'audace de m'opposer à l'autorité parentale pour m'orienter dans le théâtre par la suite .
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
Re: Nos lectures en janvier 2018
Pour avoir été longuement zombie près de la fenêtre et/ou du radiateur, et pour avoir subi quelques expériences comme enseignant, je pense que le problème de la pédagogie est tout sauf simple, surtout dans une société de plus en plus dispersée. Mais, au vu ce que j'ai pu observer dans d'autres régions de la planète, je crois qu'il vaut mieux une école imparfaite que pas d'instruction générale.
Et dans pas mal de pays, il n'y a pas de livres dans les salons ou équivalent.
Je suis tombé vaguement amoureux d'une prof de physique, mais ça c'est mal passé, parce qu'elle m'a surpris à lire Poe pendant ses cours.
Et dans pas mal de pays, il n'y a pas de livres dans les salons ou équivalent.
Je suis tombé vaguement amoureux d'une prof de physique, mais ça c'est mal passé, parce qu'elle m'a surpris à lire Poe pendant ses cours.
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Tristram- Messages : 15634
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Nos lectures en janvier 2018
Tristram a écrit:et pour avoir subi quelques expériences comme enseignant, je pense que le problème de la pédagogie est tout sauf simple, surtout dans une société de plus en plus dispersée. Mais, au vu ce que j'ai pu observer dans d'autres régions de la planète, je crois qu'il vaut mieux une école imparfaite que pas d'instruction générale.
Et dans pas mal de pays, il n'y a pas de livres dans les salons ou équivalent.
Même expérience et même conclusion pour ma part .Je suis tombé vaguement amoureux d'une prof de physique, mais ça c'est mal passé, parce qu'elle m'a surpris à lire Poe pendant ses cours.
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
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