Nos lectures en Septembre 2020

Ambiance alternative avec Le pouvoir du moment présent de Eckhart Tolle, ça me demande un effort d'ouverture d'esprit et ça me rappelle des trucs, pas si mal comme début.

Je commence En longeant la mer de Kyôto à Kamakura. Texte anonyme du XIIIe siècle.

terminé "double nationalité" de Nina Yargekov pavé de 684 pages.Pas aimé et rien compris du tout

Comment peut-on lire 600 pages sans rien comprendre ? Tu as dû t'obstiner !

Hommage aux fous - Jan Trefulka. Cela commence bien!

faustine a écrit:terminé "double nationalité" de Nina Yargekov pavé de 684 pages.Pas aimé et rien compris du tout

Je n'avais pas tenu 100 pages...

Excuses pour pas commenter...

Je poursuis la lecture de Vertiges : WG Sebald et Crime passionnel : Ludwig Lewisohn.

Ce n'est pas quelque chose que je lis en ce moment, mais c'est un livre de plus, que j'aimerais lire, mais qui n'a pas encore été traduit en français d'après ce que je sais.

Savushun de Simin Daneshvar

Un autre roman non-traduits en français qui me fait envie : Nuages flottants de Futabatei Shimei

On pourrait créer un fil pour ces livres que l'on souhaiterait lire mais qui n'existent pas en français ?

Excellente idée (même si ce pourrait être de peu d'effet) !

Sont-ce les bons nuages ?

oui Dreep je me suis obstinée ..étant têtue j'espérais comprendre à un moment donné , eh bien non.
J'ai déjà prévenu mon mari..que c’était spécial ..on verra si il tient le coup.

bix_229 a écrit:

C'est pas le même auteur !

Futabatei Shimei (1864 - 1909)
Fumiko Hayashi (1903 - 1951)

On dirait que le titre japonais est le même je vous l'accorde. Mais je crois que ce n'est pas le même livre.

Tristram a écrit:Excellente idée (même si ce pourrait être de peu d'effet) !

Mieux vaut ça que rien du tout ?

En tout cas certains livres de Hayashi Fumiko ont été adaptés au cinéma par le grand cinéaste japonais Naruse.
D'elle, j'ai Les Yeux bruns et je le lirai.

Dreep a écrit:Mieux vaut ça que rien du tout ?

Sans doute, et ça peut donner des idées aux éditeurs en mal d'inspiration...

Suite à l'enthousiasme de certains Chosiens, je me suis lancé dans :
Klaus Mann : Le Tournant

À cheval sur fin août et septembre:

Plutôt déçu par Le chemin de la mer, de Patrice Franceschi - pourtant un écrivain auquel je suis sensible, sans doute vais-je m'abstenir de commenter.

Ma dose de Vénus Khoury-Ghata:
Marina Tsvétaïéva, mourir à Elabouga: n'échappe pas à la comparaison avec Les Derniers Jours de Mandelstam - pas mal troussé du tout, recommandable.
Son dernier opus de poésie, Demande à l'obscurité (Mercure de France, 2020) reste toujours bien sur ma table de chevet, sinon il ne quitte pas mon sac à dos. Un peu en-deçà, peut-être, un léger manque de peps, par rapport à ses productions précédentes en poésie qu'il m'a été donné de lire.
Si la modération avait la gentillesse d'ajouter l'opus à sa biblio sur son fil, d'ailleurs ?

J'ai dû lire lu un Soseki qui ne m'a pas trop marqué (des nouvelles très courtes, au format article de journal) et que j'ai prêté derechef sans grand espoir de le revoir.

Ma dose d'Ossip Mandelstam:
Voyage en Arménie et poèmes, éd.: La Barque + Poèmes éd.: Librairie du Globe.

Toujours (depuis deux mois et demi) plongé dans les Lettres des deux amants (attribuées à Héloïse et Abélard).

Entamé Ici en deux, recueil d'André du Bouchet (succulent et original pour l'auteur !)

Dégusté à petites doses un nrf poésie de Marina Tsvétaïéva.

Vladimir Nabokov, Nouvelles complètes (Quarto) : pêle-mêle de lecture et relecture, que je n'envisage pas de mener d'une traite...