De la librairie je suis revenu avec...

Merci Chamaco !

À part le Carnet 2016-2020, j'ai acheté, un peu par hasard, Histoire de la Rome antique, de Lucien Jerphagnon. Il n'a pas de fil, mais je ne doute pas qu'il ait des lecteurs par ici !

Ah, bonne pioche mon bossu.
«  Julien l’apostat » est très bon si ça t’intéresse.

Merci pour la suggestion !

Quasimodo a écrit:Merci pour la suggestion !

Je puis aussi te recommander « Vivre et philosopher sous l’empire chrétien » toujours de Jerphagnon qui se lit plutôt bien.
Si la période t’intéresse je te conseille aussi « Histoire du bas-empire » par Ernest Stein.
Tu trouveras sur ce fil( page 14 et suivante) un échange au sujet de la littérature et de l’histoire de ces périodes avec des conseils de lectures, l’échange était entre Tristam, Arensor( qui avait donné un document tout à fait intéressant sur Edward Gibbon) et ton serviteur qui portait une modeste contribution.

Le Mur, Sartre
L'Âne d'or, Apulée
Nouvelles exemplaires, Cervantès
Récits, romans, journaux, Kafka

Inspirée par le programme de l'agrégation de lettres modernes 2021/2022. Par contre, pourquoi choisir au programme toujours les éditions les plus onéreuses, ça m'échappe.

Qu'on puisse imposer un traducteur, autrement je ne vois pas de raison d'imposer telle édition ; sinon bien sûr lobbying et choux gras de certains éditeurs...

C'est du pléiade le Kafka ?

Nah, c'est chez "Le livre de poche". A 26e euros. Pour deux nouvelles dont La métamorphose.

C'est surtout le cas pour l'un des programmes de littérature comparée où trois livres sur quatre sont à 25 euros.

J'y pense, il y a aussi une bonne raison de partager la même édition, c'est de pouvoir renvoyer à chaque endroit du livre par le numéro de page ; n'empêche que, sans être complotiste je crois, on peut penser que des aspects financiers opèrent.

Bien sûr Tristram.
Et puis j'imagine que ceux qui font les programmes sont parfois aussi ceux qui préfacent/préparent/éditent les bouquins.

en commande :
« Une civilisation meurt juste par lassitude, par dégoût d’elle-même », écrit Michel Houellebecq. Alors que l’effondrement civilisationnel nous guette, Sonia Mabrouk passe au scalpel idéologique les acteurs qui menacent notre équilibre sociétal et propose un nouveau Sacré autour duquel se retrouver : la France.

Autrefois minoritaires, six groupes mettent en péril la société telle que nous la connaissons et l’avons construite, en étendant de manière tentaculaire leur influence à la fois politique, théorique ou théologique : les décoloniaux, les anti-sécuritaires pavloviens, les féministes primaires, les écologistes radicaux, les fous du genrisme et les islamo-compatibles

Au-delà de leurs simples revendications qui occupent aujourd’hui de plus en plus l’espace public, Sonia Mabrouk s’inquiète de la façon dont la rapide jonction de ces groupes et la convergence de leurs intérêts amenuisent le débat démocratique et accélèrent à vitesse grand V la machine à fabriquer des tensions identitaires. Car l’État, autrefois fort et intransigeant, recule devant cette conscience victimaire et révolutionnaire grandissante au détriment de l’intelligence collective et du bon sens.

Face à ce « renoncement civilisationnel », Sonia Mabrouk sonne la fin de l’insoumission et en appelle au peuple français : il temps de s’opposer à ces « déconstructeurs » en renouant avec l’Histoire et le goût de la fierté et en exaltant la part de sacré qui existe en chacun : l’âme de la France."


Le point de vue d'une lettrée Tunisienne qui semble avoir des détracteurs...
belle passe d'arme ce matin avec Joffrin contempteur de la pensée unique...

Les sujets sont pertinents. Et par ces temps troublés et bêtement manichéens, il faut du courage pour les aborder publiquement...

J'ai entendu Sonia Mabrouk interviewer Delon (ce n'est pas rien) et elle a réellement assuré, par ses connaissances et des questions profondes.

Ca se fait rare les interviews de qualité, sur les chaînes TV.

Ou c'est partisan, ou c'est agressif, ou c'est navrant d'ignorance...

Sonia Mabrouk fait partie d'une tranche de la population tunisienne de culture francaise, avec une vision positive de notre pays de part sa famille qui d'autre part est profondement attachée à son pays d'origine, ce qui est tres honorable, elle est spectatrice de l'evolution de notre pays qu'elle aime sincerement...

Aux éditions de la Fosse aux ours, qui m'occupe beaucoup en ce moment.

En mai 1978 est promulguée, en Italie, la loi 180 dite loi Basaglia qui ferme les asiles sur le territoire italien. Tobino, directeur de l’hôpital psychiatrique de Lucques, assiste, désabusé, au démantèlement de l’ancien système au profit des nouvelles théories progressistes. La nouvelle « liberté » des fous se soldera par de nombreux suicides et Mario Tobino en est le témoin impuissant.
Voici le journal de bord d’un naufrage annoncé, la chronique de ces journées difficiles où Mario Tobino, médecin humaniste en fin de carrière, voit son univers s’effondrer.

Acquisitions du jour:
« Hôtel Adlon » Philip Kerr
« La peau » Curzio Malaparte
«  L’hyper Justine » Simon Liberati

Artaud, chez quarto Gallimard.

Une semaine dans une autre ville et autres textes de João César Monteiro, les œuvres poétiques complètes de César Vallejo, et Journal d'un bourgeois de Paris (qui couvre la première moitié du XVe siècle).

Acquisitions du jour:
« Eva » Simon Liberati
«  Bleu de Prusse » Philip Kerr
« Laval parle »
« Des bleus à l’âme » Françoise Sagan
« Une enquête philosophique » Philip Kerr
« Petit déjeuner chez Tiffany » Truman Capote