Elizabeth Jane Howard
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Elizabeth Jane Howard
Elizabeth Jane Howard est une romancière britannique.
Elle passe son enfance à Noting Hill et ambitionne de devenir actrice de théâtre à Stratford-upon-Avon, mais le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale met fin à ce projet. Elisabeth se tourne alors vers l'écriture, dont elle fait sa profession dans le courant des années 1940.
Elle fut l'épouse de l'écrivain Kingsley Amis et la belle-mère de Martin Amis.
Œuvres
Ce long regard, Albin Michel, 1958
L'Air de la mer, Albin Michel, 1967
L'Oiseau des orages, Éditions de Trévise, 1980
Une saison à Hydra, Quai Voltaire, 2019
La Saga des Cazalet :
Étés anglais: Quai Voltaire, 2020
À Rude épreuve: Éditions de la Table Ronde, 2020
Confusion : Editions de La Table Ronde, 2021
Nouveau Départ : Editions de La Table Ronde, 2021
La Fin d'une ère : Editions de La Table Ronde, 2022
Merci à Wikipédia
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8421
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: Elizabeth Jane Howard
La saga des Cazalet
Tome 1 : Étés anglais
Tome 2 : À rude épreuve
Tome 3 : Confusion
Tome 4 : Nouveau départ
Tome 5 : La fin d’une ère
Cette saga anglaise sur 4 générations d’une riche famille londonienne, centrée sur les séjours dans la maison de vacances familiale, couvre les années d’avant à après guerre (et dix ans plus tard pour le dernier volume écrit 18 ans après). Et les surprises et déboires d’un après guerre où l’on pensait recommencer là où on avait laissé les choses, mais où le monde ne sera plus jamais le même.
Avec tout ce qu’implique ce genre de romanesque parfois très très romanesque, mais conduit de main de maître, puisque, dans ce récit qui s’attache au plus près du quotidien et des émotions, on n’est jamais perdue parmi les cinquante personnages environ, qui ont tous une psychologie précise, évolutive et subtile (à quelques exceptions près) et une façon personnelle de réagir aux événements qui bouleversent le monde, et qu’il n’y a quasiment pas de vrais méchants.
Un bon point particulier pour la dénonciation habile du paternalisme dans les relations avec les enfants (qui ont une belle part dans le livre, c’est suffisamment rare pour être précisé), les femmes (qu’on console en leur achetant des robes), et les domestiques.
Tome 1 : Étés anglais
Tome 2 : À rude épreuve
Tome 3 : Confusion
Tome 4 : Nouveau départ
Tome 5 : La fin d’une ère
Cette saga anglaise sur 4 générations d’une riche famille londonienne, centrée sur les séjours dans la maison de vacances familiale, couvre les années d’avant à après guerre (et dix ans plus tard pour le dernier volume écrit 18 ans après). Et les surprises et déboires d’un après guerre où l’on pensait recommencer là où on avait laissé les choses, mais où le monde ne sera plus jamais le même.
Avec tout ce qu’implique ce genre de romanesque parfois très très romanesque, mais conduit de main de maître, puisque, dans ce récit qui s’attache au plus près du quotidien et des émotions, on n’est jamais perdue parmi les cinquante personnages environ, qui ont tous une psychologie précise, évolutive et subtile (à quelques exceptions près) et une façon personnelle de réagir aux événements qui bouleversent le monde, et qu’il n’y a quasiment pas de vrais méchants.
Un bon point particulier pour la dénonciation habile du paternalisme dans les relations avec les enfants (qui ont une belle part dans le livre, c’est suffisamment rare pour être précisé), les femmes (qu’on console en leur achetant des robes), et les domestiques.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8421
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Localisation : Roanne
Re: Elizabeth Jane Howard
merci topocl
étant en ce moment sur Les Buddenbrook, est-ce aussi bien ?
étant en ce moment sur Les Buddenbrook, est-ce aussi bien ?
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21119
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: Elizabeth Jane Howard
Oh, je pense que les Buddenbrock c'est nettement un cran au dessus. Il s'agit ici de très bonne littérature populaire, que j'ai lu avec beaucoup de plaisir cependant.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8421
Date d'inscription : 02/12/2016
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Re: Elizabeth Jane Howard
merci, et je peux très bien lire de la littérature populaire ; j'en ai lu !
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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Bédoulène- Messages : 21119
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