Philippe Claudel
Page 4 sur 4 • Partagez
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Re: Philippe Claudel
Je viens de terminer les trois romans de Philippe Claudel réunis dans un seul livre : Trilogie de l'homme devant la guerre. Très bien écrit, mais je n'ai aimé aucun des trois !!!
Les âmes grises, glauque et au final incohérent...à la fin on se dit : tout ça pour ça ! La petite fille de Monsieur Linh...abracadabrant.....même s'il y a un côté touchant dans le personnage....quant au Rapport de Brodeck...la vilénie humaine, les camps, etc...je n'en peux plus....j'ai lu mieux dans le genre....
Du genre à te plomber le moral et aucun plaisir à le retrouver pour continuer ma lecture...
Bref....pas un auteur que le relirai !
Les âmes grises, glauque et au final incohérent...à la fin on se dit : tout ça pour ça ! La petite fille de Monsieur Linh...abracadabrant.....même s'il y a un côté touchant dans le personnage....quant au Rapport de Brodeck...la vilénie humaine, les camps, etc...je n'en peux plus....j'ai lu mieux dans le genre....
Du genre à te plomber le moral et aucun plaisir à le retrouver pour continuer ma lecture...
Bref....pas un auteur que le relirai !

simla- Messages : 225
Date d'inscription : 23/12/2016
Re: Philippe Claudel
mais tu as tout de même lu la trilogie Simla !
je ne connais pas l'auteur
je ne connais pas l'auteur
_________________
"Prendre des notes, c'est faire des gammes de littérature Le journal de Jules Renard
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 20023
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 78
Localisation : En Provence
Re: Philippe Claudel
Je n'ai pas trop de souvenir des âmes grises, un peu terne quand même je crois, mais j'avais beaucoup aimé les deux autres. Comme quoi...
_________________
Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8175
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 63
Localisation : Roanne
Re: Philippe Claudel
Oui Bédoulène, j'ai lu quand même...toujours curieuse de voir la suite des évènements
Mais je n'ai pas du tout aimé, beaucoup d'invraisemblances...d'incohérences...ça c'est pour le rapport de Brodeck....genre un village de 500 âmes avec 6 bistrots...déjà ça...impossible...etc....et la femme d'un dirigeant du camp de concentration qui venait tous les matins piocher au hasard parmi les prisonniers ..un pour le pendre et elle ne perdait pas une miette du spectacle avec son bébé dans les bras.
Complètement abracadabrant....je sais que tout est possible...surtout de la part des femmes dit mon mari
.mais bon... 
Et ces trois romans primés....ben ma foi.....

Mais je n'ai pas du tout aimé, beaucoup d'invraisemblances...d'incohérences...ça c'est pour le rapport de Brodeck....genre un village de 500 âmes avec 6 bistrots...déjà ça...impossible...etc....et la femme d'un dirigeant du camp de concentration qui venait tous les matins piocher au hasard parmi les prisonniers ..un pour le pendre et elle ne perdait pas une miette du spectacle avec son bébé dans les bras.
Complètement abracadabrant....je sais que tout est possible...surtout de la part des femmes dit mon mari


Et ces trois romans primés....ben ma foi.....

simla- Messages : 225
Date d'inscription : 23/12/2016
Re: Philippe Claudel
Effectivement, 6 bistrots pour 500 âmes, c'est bien en-deça du plausible pour certaines régions à cette époque.Simla a écrit:genre un village de 500 âmes avec 6 bistrots...déjà ça...impossible...etc....et la femme d'un dirigeant du camp de concentration qui venait tous les matins piocher au hasard parmi les prisonniers ..un pour le pendre et elle ne perdait pas une miette du spectacle avec son bébé dans les bras.
Mais pour ce qui est de la femme du nazi, il me semble qu'il y a un personnage historique comme ça, il faudrait rechercher.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 14946
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 66
Localisation : Guyane
Re: Philippe Claudel
C'est un conte, pas une histoire vraie, donc les incohérences sont à prendre pour ce qu'elle sont. Mais on a le droit de ne pas aimer ça, bien sûr.
Dernière édition par topocl le Mar 23 Aoû - 7:36, édité 1 fois
_________________
Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8175
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 63
Localisation : Roanne
Re: Philippe Claudel
simla a écrit:et la femme d'un dirigeant du camp de concentration qui venait tous les matins piocher au hasard parmi les prisonniers ..un pour le pendre et elle ne perdait pas une miette du spectacle avec son bébé dans les bras.
Peut-être inspiré par des femmes comme Liesel Willhaus, épouse d'un commandant de camp, qui organisait devant ses invités des "lâchers de juifs", sur lesquels elle tirait depuis son balcon sous le regard de sa petite fille...
Le sadisme de certaines femmes nazies n'avait rien à envier à celui des hommes...
_________________
"Et au plus eslevé trone du monde, si ne sommes assis, que sus notre cul." (Michel de Montaigne)
Armor- Messages : 4589
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 41
Localisation : A l'Aise Breizh
Re: Philippe Claudel
Merci Armor ! Je ne connaissais pas ce cas, mais il est certain que le nazisme et ses extrêmes n'étaient pas genrés...
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 14946
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 66
Localisation : Guyane
Re: Philippe Claudel
je viens de chercher sur le net et oui plusieurs femmes nazies étaient au moins aussi odieuses, perverses, terrifiantes que les hommes
_________________
"Prendre des notes, c'est faire des gammes de littérature Le journal de Jules Renard
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 20023
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 78
Localisation : En Provence
Re: Philippe Claudel
Hello..j'ai fait exactement la même chose, tu as le top 10 des femmes nazis les plus cruelles, immondes, cinglées....mais je n'ai rien trouvé qui s 'approche du comportement sadique de celle décrite dans le roman de Claudel.
Les femmes, on le sait, peuvent être aussi ignobles que les hommes, il n'est que de voir Margaret Thatcher qui a laissé mourir de faim, en prison, les prisonniers politiques...pas besoin de remonter à si loin.
Les femmes, on le sait, peuvent être aussi ignobles que les hommes, il n'est que de voir Margaret Thatcher qui a laissé mourir de faim, en prison, les prisonniers politiques...pas besoin de remonter à si loin.
simla- Messages : 225
Date d'inscription : 23/12/2016
Re: Philippe Claudel
oui mais après le top 10 il y a la suite
_________________
"Prendre des notes, c'est faire des gammes de littérature Le journal de Jules Renard
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 20023
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 78
Localisation : En Provence
Re: Philippe Claudel
Crépuscule

Dans une ancienne petite ville écartée d’une contrée indéterminée d’un Empire d’Europe centrale (austro-hongrois par exemple), au nord toutefois car l’hiver semble ne jamais y cesser, le Policier (Nourio) et son Adjoint (Baraj) enquêtent sur le meurtre du Curé.
Le Curé est mort d’un coup de caillou sur la tête, et l’évocation des pierres deviendra récurrente.
Dans « Un vieux monde […] [qui] s’affaissait, dans un sommeil épais », l’Église est montrée comme particulièrement sclérosée, notamment au travers des portraits du vieil Évêque et de son Vicaire illuminé, Prêtre exorciste de l’évêché et manipulateur de la foule (venus pour l’enterrement du Curé et la procession consécutive).
Pendant la chasse à l’ours où le Policier est invité par le Margrave (comble de grotesque, de monstrueux et de germanique), toute la communauté musulmane réunie pour la grande prière du vendredi dans la mosquée périt lors d'un incendie criminel.
Au début j’ai pensé à Le Rapport de Brodeck, mais rapidement la déception s’est mise à poindre.
Le style est soigné, mais convenu, avec des maladresses, des outrances par moments. Je n’ai pas compris l’emploi de certains clichés, comme celui du juif, hors de propos (le sort des juifs est bien sûr sous-jacent, mais le mot n’apparaît que deux fois dans le roman, la première lorsque Nourio rassure le Médecin en précisant qu’il ne l’est pas) :

Dans une ancienne petite ville écartée d’une contrée indéterminée d’un Empire d’Europe centrale (austro-hongrois par exemple), au nord toutefois car l’hiver semble ne jamais y cesser, le Policier (Nourio) et son Adjoint (Baraj) enquêtent sur le meurtre du Curé.
Si Baraj semble être une sorte de géant falot et doux à l’esprit lent, le sagace Nourio est orgueilleux, athée et libidineux, imposant des rapports (et des accouchements) répétés à son épouse.« Nourio avait toujours vu la vie comme un jeu stupide aux règles floues, qui changeaient sans cesse, et dont l’issue de la partie n’apportait sans doute aucun gain, mais pas de perte non plus d’ailleurs. Un divertissement à somme nulle, dont on peinerait à trouver une signification. »
Le Curé est mort d’un coup de caillou sur la tête, et l’évocation des pierres deviendra récurrente.
C’est une société fruste, conservatrice, chrétienne, avec une minorité tolérée de musulmans, non loin d’une menaçante Frontière.« Le Curé mort pesait lourd. Le monde est plein de gros sacs de pierres, et la vie à mesure qu’elle passe prend une allure de charroi grinçant encombré de trop de corps et d’âmes perdues. »
Dans « Un vieux monde […] [qui] s’affaissait, dans un sommeil épais », l’Église est montrée comme particulièrement sclérosée, notamment au travers des portraits du vieil Évêque et de son Vicaire illuminé, Prêtre exorciste de l’évêché et manipulateur de la foule (venus pour l’enterrement du Curé et la procession consécutive).
Le crime est instrumentalisé (Satan) ; on retrouve aussi des questions sociétales très actuelles.« L’Église savait y faire pour fabriquer de la poudre bien dorée et la jeter aux yeux de tous ceux qui voulaient bien les ouvrir. »
« Ratatiné, les lèvres brillant d’une bave mousseuse, le corps malingre et bossu, il aurait pu tout entier entrer dans sa mitre. C’était une toute petite chose enrubannée de soieries précieuses et de broderies, inoffensive et débile, pour laquelle le Policier ne savait pas s’il fallait éprouver de la pitié ou du dédain. »
Nourio est attiré par la fillette qui a découvert le cadavre, et l’image de l’automate devient également récurrente.« La vérité, certes, trancha le Rapporteur, mais laquelle ? Une vérité acceptable par la majorité de notre communauté, ou une vérité qui irait contre son sentiment au bénéfice d’une extrême minorité ?
Il n’y a pas deux vérités.
Je n’en suis pas si sûr que vous, Capitaine. Car après tout, est vrai ce qu’on décide qui le soit. Pour le bien commun. »
« J’en suis venu à la conclusion qu’est vrai ce qui est demandé et acceptable par le plus grand nombre. Qu’aller dans le sens de la minorité, même si la vérité effective semble être de son côté, ne peut conduire qu’au désordre et au chaos. Et en fonction de votre raisonnement et de mes réflexions, à cette vérité effective que beaucoup dans les siècles passés ont pris pour une pierre angulaire ou une boussole indiquant un cap indiscutable, je préfère le concept de vérité efficiente, qui tient davantage compte des composantes du réel et garantit, il me semble, une forme demandée, voulue, espérée, de stabilité sociale. »
La mosquée est nuitamment profanée. Le Médecin (musulman) s’enfuit avec les siens ; par opportunisme et arrivisme, Nourio conforte l’opinion publique qui désigne ce dernier comme coupable. Deux jumeaux musulmans massacrent le Muet, un simple d’esprit inoffensif qui a choqué leur sœur.« La fillette se mit en route à la façon de ces jouets compliqués, automates, pantins à grandes complications, que des maîtres mécaniciens fabriquaient avec patience au siècle passé pour d’étranges collectionneurs fortunés. Tout dans leur apparence les rapprochait des créatures humaines mais une subtile raideur dans leurs mouvements, une affectation presque imperceptible dans leurs gestes, la fixité de leurs traits, la froideur de leurs pupilles de verre, parvenaient à troubler celui qui les contemplait, et qui se mettait alors à hésiter sur leur nature véritable.
Ainsi le Policier eut-il l’impression de suivre les pas d’une de ces créatures artificielles et cela augmentait encore son émotion, sans qu’il en comprenne la raison. À mesure qu’elle avançait, Lémia perdait son épaisseur de jeune fille de chair et de sang pour se muer en une poupée remarquable, docile, à l’allure métronomique, que Nourio avait l’impression troublante de gouverner. Il lui avait donné un ordre, et elle avait obéi, aussitôt, sans rechigner. Elle était devenue son grand jouet. Il pourrait en faire ce que bon lui semblerait. Il sentit son ventre se nouer et ce petit mal était délicieux qui irradiait jusqu’à sa verge et la raidissait plus encore. »
« En fabriquant quelques-uns d’entre nous le Grand Horloger parfois égare des rouages, de petites vis, mais ce n’est pas pour autant qu’il met l’objet au rebut. »
Pendant la chasse à l’ours où le Policier est invité par le Margrave (comble de grotesque, de monstrueux et de germanique), toute la communauté musulmane réunie pour la grande prière du vendredi dans la mosquée périt lors d'un incendie criminel.
Nourio n’est pas dupe, mais impuissant à faire éclater la vérité (la vraie). Sa femme le rejette, et il tente de violer Lémia, sauvée in extremis par Baraj, qui tue involontairement son « Maître ».« L’Empire, sa cohésion, sa puissance, sa pérennité, reposent certes sur sa force mais aussi sur sa faculté à produire son propre récit, à célébrer sa grandeur et à l’affermir en désignant ses ennemis. Le danger quand il est incarné par l’autre permet à une communauté de se souder plus encore. Croyez-moi, la vérité que je propose est bien plus utile que la vôtre. »
Au début j’ai pensé à Le Rapport de Brodeck, mais rapidement la déception s’est mise à poindre.
Le style est soigné, mais convenu, avec des maladresses, des outrances par moments. Je n’ai pas compris l’emploi de certains clichés, comme celui du juif, hors de propos (le sort des juifs est bien sûr sous-jacent, mais le mot n’apparaît que deux fois dans le roman, la première lorsque Nourio rassure le Médecin en précisant qu’il ne l’est pas) :
Philippe Claudel est un peu lourd dans sa mise en scène allégorique, à la limite du caricatural, du racoleur, voire du didactisme (lorsque le narrateur-auteur semble s’adresser directement au lecteur, tranchant et "je-sais-tout"). Au fil du livre, le portrait des deux principaux personnages se brouille en évoluant, et ce qui pourrait être le rendu de leurs contradictions internes progressivement révélées (jusqu’à l’incohérence, avec par exemple Baraj amoureux des animaux et contre la chasse, qui a tué un loup pour s’en faire une pelisse) ne s’accorde pas au ton de conte-fable qui prévaut (et tire à la ligne en accumulant les recettes du feuilleton). Ce roman (qui contient cependant d'intéressants passages) manque d'unité dans sa rédaction, qui vise pourtant à tenir le lecteur en haleine (avec une chute inattendue). Claudel nous dit que « la foule » est imbécile et haineuse, il ne le montre pas.« Les deux fenêtres étaient à demi borgnes, le verre cassé en plusieurs endroits avait été malhabilement remplacé par des morceaux de bois, si bien que même en ce jour lumineux la pièce ressemblait à l’arrière-boutique obscure d’un vieil usurier juif. »
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 14946
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 66
Localisation : Guyane
Re: Philippe Claudel
C'est ce que je me disais en te lisant.Tristram a écrit:
Au début j’ai pensé à Le Rapport de Brodeck,
Zut!!!Tristram a écrit:mais rapidement la déception s’est mise à poindre.
Tu peux préciser?Tristram a écrit:Ce roman (qui contient cependant d'intéressants passages) manque d'unité dans sa rédaction, qui vise pourtant à tenir le lecteur en haleine
_________________
Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8175
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 63
Localisation : Roanne
Re: Philippe Claudel
je comptais le lire dans quelque temps.
peut-être pas le livre pour une première rencontre ? sinon ça me paraît complexe
peut-être pas le livre pour une première rencontre ? sinon ça me paraît complexe
_________________
"Prendre des notes, c'est faire des gammes de littérature Le journal de Jules Renard
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 20023
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 78
Localisation : En Provence
Re: Philippe Claudel
@Topocl : ça part dans un sens, puis dans un autre, pas d'unité d'ensemble, comme si ça avait été écrit par livraisons pour un journal, souvent repris dans un esprit différent (et sans se relire ?). Ce n'est pas un problème de digressions (nombreuses), mais ça donne l'impression de courir plusieurs lièvres, de partir sur une piste puis de l'oublier ; je ne sais pas trop comment dire, c'est un ressenti à la lecture, tout ce que je dis n'étant pas rédhibitoire en soi. Philippe Claudel a dû se faire plaisir en l'écrivant, et vouloir en donner au lecteur, mais pour moi c'est globalement raté...
@Bédoulène : je suis loin d'avoir tout lu de Philippe Claudel, mais ce que je conseillerais pour une (première) lecture, c'est Brodeck.
@Bédoulène : je suis loin d'avoir tout lu de Philippe Claudel, mais ce que je conseillerais pour une (première) lecture, c'est Brodeck.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 14946
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 66
Localisation : Guyane
Re: Philippe Claudel
merci
_________________
"Prendre des notes, c'est faire des gammes de littérature Le journal de Jules Renard
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 20023
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 78
Localisation : En Provence
Page 4 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Des Choses à lire :: Lectures par auteurs :: Écrivains européens francophones
Page 4 sur 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|