Pascal Quignard
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Re: Pascal Quignard
ArenSor a écrit:
Autant prévenir dès le départ que les lecteurs qui trouvent que les romans de Pascal Quignard sont un peu creux et artificiels n’aimeront pas ce livre. Les autres qui sont sensibles à ce style d’écriture tout en nuances, non-dits et suggestions, aux ellipses, aux ruptures temporelles et autres, dont je fais partie, adoreront.
Pourtant, en lisant les citations que tu as postées, j'ai du mal à imaginer que ce livre puisse paraître creux et artificiel...
Re: Pascal Quignard
colimasson a écrit:ArenSor a écrit:
Autant prévenir dès le départ que les lecteurs qui trouvent que les romans de Pascal Quignard sont un peu creux et artificiels n’aimeront pas ce livre. Les autres qui sont sensibles à ce style d’écriture tout en nuances, non-dits et suggestions, aux ellipses, aux ruptures temporelles et autres, dont je fais partie, adoreront.
Pourtant, en lisant les citations que tu as postées, j'ai du mal à imaginer que ce livre puisse paraître creux et artificiel...
Aprè lecture du livre, j'ai recherché quelles critiques il avait reçu à sa parution. Je suis notamment tombé sur celle du Monde écrite par Chevillard qui exécute le roman, non sans humour !
Claire est amoureuse du maire de La Clarté, tel est le lumineux argument du roman. Un vitrier ne trouverait rien à redire à cette transparence.
http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/10/06/silence-on-tourne_1582899_3260.html
Finalement, je me suis dit que ce que reproche Eric Chevillard au roman de Quignard est peut-être ce qui peut rebuter certains lecteurs.
ArenSor- Messages : 3372
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Rue du Nadir-aux-Pommes
Re: Pascal Quignard
Ahhh mais entre ton commentaire , tes extraits et cet article , je le sens très bien pour ma PAL celui-là !!!ArenSor a écrit:
http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/10/06/silence-on-tourne_1582899_3260.html
Finalement, je me suis dit que ce que reproche Eric Chevillard au roman de Quignard est peut-être ce qui peut rebuter certains lecteurs.
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
Re: Pascal Quignard
Il écrit bien aussi, Chevillard ! (tiens, il faudrait que j'en relise, et ouvre un fil...)
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Pascal Quignard
Hop, sur le fil idoine :
Une lecture que j'ai tout de même traversée avec curiosité et sans déplaisir, mais au final dans une espèce d'indifférence un peu morose et sans attente pour ce que les pages suivantes allaient pouvoir apporter.
Je crois sans peine les défenseurs du style de Quignard et de ses subtilités, et suis convaincu qu'il y a précisément dans ce roman des correspondances intéressantes à tracer entre cette stylistique singulière et toute la construction psychologique du personnage central, Edouard Furfooz, collectionneur de famille bourgeoise spécialisé dans le monde miniature des jouets/objets d'enfants ; une fascination presque maladive qui lui fait courir sans répit l'Europe et le Monde pour combler un vide inconscient, retrouver une chaleur perdue qu'il ne parvient pas non plus à retrouver auprès des femmes, dont il ne peut pourtant pas se passer. Ce livre est en quelque sorte un roman sur l'amour, à travers les yeux d'un homme qui ne peut pas aimer ; un livre sur la vanité et sur la douleur de ce que cela peut être de vivre sans cet Autre sans qui l'on est incomplet.
Toujours, malgré la froideur détachée de la narration (et de Furfooz), il finit quand même par se dégager quelque chose de touchant de ce personnage brisé, de sa générosité, de ses attentions cachées et de sa désespérance solitaire. Et ce d'autant plus quand Quignard nous révèle finalement, au lecteur et à son personnage, les clés de son histoire et de cette fêlure vitale.
Mais malgré cette richesse et les questions au fond assez essentielles que le livre pose, j'ai trouve ces dernières distillées dans une espèce de superficialité et d'affectation assez malheureuses... et très limitantes pour mon plaisir de lecture.
Sans aller très loin : Quignard raconte une histoire qui ne fait pas résonner grand chose chez moi, avec une écriture qui ne me touche pas. A partir de là, on part donc sur une base difficilement gagnanteanimal a écrit:Ah, je ne suis pas contre quelques développements pour les Escaliers de Chambord !
Une lecture que j'ai tout de même traversée avec curiosité et sans déplaisir, mais au final dans une espèce d'indifférence un peu morose et sans attente pour ce que les pages suivantes allaient pouvoir apporter.
Je crois sans peine les défenseurs du style de Quignard et de ses subtilités, et suis convaincu qu'il y a précisément dans ce roman des correspondances intéressantes à tracer entre cette stylistique singulière et toute la construction psychologique du personnage central, Edouard Furfooz, collectionneur de famille bourgeoise spécialisé dans le monde miniature des jouets/objets d'enfants ; une fascination presque maladive qui lui fait courir sans répit l'Europe et le Monde pour combler un vide inconscient, retrouver une chaleur perdue qu'il ne parvient pas non plus à retrouver auprès des femmes, dont il ne peut pourtant pas se passer. Ce livre est en quelque sorte un roman sur l'amour, à travers les yeux d'un homme qui ne peut pas aimer ; un livre sur la vanité et sur la douleur de ce que cela peut être de vivre sans cet Autre sans qui l'on est incomplet.
Toujours, malgré la froideur détachée de la narration (et de Furfooz), il finit quand même par se dégager quelque chose de touchant de ce personnage brisé, de sa générosité, de ses attentions cachées et de sa désespérance solitaire. Et ce d'autant plus quand Quignard nous révèle finalement, au lecteur et à son personnage, les clés de son histoire et de cette fêlure vitale.
Mais malgré cette richesse et les questions au fond assez essentielles que le livre pose, j'ai trouve ces dernières distillées dans une espèce de superficialité et d'affectation assez malheureuses... et très limitantes pour mon plaisir de lecture.
Burlybunch- Messages : 425
Date d'inscription : 07/02/2018
Localisation : bas du Bas-Rhin
Re: Pascal Quignard
Merci Burlybunch (je le lirai quand même s'il me tombe sous la main : ton commentaire ne discrédite pas trop le livre !)
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Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Pascal Quignard
Merci Burly, c'est amusant et utile tes impressions. C'est un des Quignard que je l'ai lu sans trop de déplaisir et à te lire et à me relire je te trouve finalement plus indulgent sur le fond ? Il y a beaucoup le fait que je le préfère dans cette consistance à son dégraissé 'vide' (question de point de vue). Je reconnais aussi être mauvais public/lecteur de Quignard.
Les escaliers de Chambord
Pourtant on navigue dans les mêmes eaux : luxe, une certaine dose de ... légère incohérence, un temps détraqué, quelques phrases qui sorties de leur contexte seraient à hurler... des choses plus ou moins appétissantes si on y regarde de trop près qui pourtant sont maitrisées et très bien habillées dans leur débauche de couleurs et de matières, on se laisse prendre dans les filets du rythme de la langue qui joue à plaisir sur le souffle de l'énumération délectable. Il est là le plaisir de la lecture. Il est là aussi le talent que je trouve au bonhomme... il est là aussi son piège.
Le piège de la forme qui s'essouffle un peu entre la moitié et les deux tiers. L'autre catalogue, celui de l'auteur, transparait dans la succession, un peu redondante mais ce n'est pas vraiment le souci, des paragraphes et des chapitres. Comme d'un tissu élimé la trame apparait. Et les grandes interrogations comme : à quoi sert cette foutue histoire de rivalité entre marchands si ce n'est à faire courir Edouard, Edvard, Edward, Vava ? Et la surcharge des obsessions, démultipliée avec la plus indifférente complaisance, et les facilités évidentes comme l'escalier devenu double hélice d'ADN (surpris qu'il n'est usé de l'acide désoxyribonucléique, trop barbare peut-être ?) mais plus cruellement pour le lecteur embarqué tout de même à ce stade dans l'histoire, sur les ressorts fatigués de l'amour et de la mort, d'une corde sentimentale toute attendrie... le martellement incessant et ravi d'un zeste de provocation et de sexe (on peut mélanger/ajouter le rapport tordu au corps, une ombre d'homosexualité,... )
Oui, là l'écriture perd de sa superbe et on se retrouve face au paradoxe d'une lecture qui se révèle fermée et complaisante qui développe une atmosphère mensongère (qui n'est pas complètement éloignée du thème du livre, voire de l'auteur c'est vrai). Un mensonge riche, flamboyant qui semble chérir des idées au mépris de tout et les déchire dans le même mouvement aveugle. Le culte des obsessions personnelles (on devrait enlever le pluriel de l'adjectif), le ravissement du retour sur des formes simples non sans défiance pour l'extérieur (et proches d'une psychologie de comptoir). ça pourrait être fascinant si le malaise n'était pas si grand, si l'apparence n'était pas aussi factice, si l'égoïsme n'était pas si violent, bien au delà de ses sujets (personnages) qu'on pourrait qualifier de révélateurs.
Je parlerais volontiers de littérature mensongère pour traduire mon sentiment de ce bon moment de lecture pourtant émouvant, nostalgique, baroque.
Je ne dis pas tout, pas tant de ce que je n'apprécie pas que de ce que j'ai compris (peut-être) de son écriture et de certains échos qu'elle peut avoir dans mon parcours de lecteur.
(récup de... 2010).
Pour Tristram, et les autres, je récupère aussi une petite phrase notée, tadaaam :
Les escaliers de Chambord
Il faut dire le principal : c'est une vraie bonne lecture, dense, consistante, efficace... qui donne l'espace "à part" de la lecture. Et comme il y a de quoi lire, c'est une bonne chose. J'ai retrouvé ce qui faisait que Villa Amalia fonctionne mais plus développé, plus riche et moins caricatural.quatrième de couverture a écrit:Un homme a froid parce qu'il a oublié un ancien prénom. Il collectionne sur la terre entière tout ce qu'une main d'enfant peut étreindre. À Rome, à Tokyo, à Paris, à Londres, Édouard Furfooz vend des vieux jouets, des poupées, des miniatures, des dessus de tabatière : il vend les dons des Saturnales.
Arrive le solstice d'hiver, où tout ce qui est petit est aimé, où les jours sont les plus courts. Alors que l'année, le feu, le soleil se préparent à revenir, c'est un intense amour qui revient.
Pourtant on navigue dans les mêmes eaux : luxe, une certaine dose de ... légère incohérence, un temps détraqué, quelques phrases qui sorties de leur contexte seraient à hurler... des choses plus ou moins appétissantes si on y regarde de trop près qui pourtant sont maitrisées et très bien habillées dans leur débauche de couleurs et de matières, on se laisse prendre dans les filets du rythme de la langue qui joue à plaisir sur le souffle de l'énumération délectable. Il est là le plaisir de la lecture. Il est là aussi le talent que je trouve au bonhomme... il est là aussi son piège.
Le piège de la forme qui s'essouffle un peu entre la moitié et les deux tiers. L'autre catalogue, celui de l'auteur, transparait dans la succession, un peu redondante mais ce n'est pas vraiment le souci, des paragraphes et des chapitres. Comme d'un tissu élimé la trame apparait. Et les grandes interrogations comme : à quoi sert cette foutue histoire de rivalité entre marchands si ce n'est à faire courir Edouard, Edvard, Edward, Vava ? Et la surcharge des obsessions, démultipliée avec la plus indifférente complaisance, et les facilités évidentes comme l'escalier devenu double hélice d'ADN (surpris qu'il n'est usé de l'acide désoxyribonucléique, trop barbare peut-être ?) mais plus cruellement pour le lecteur embarqué tout de même à ce stade dans l'histoire, sur les ressorts fatigués de l'amour et de la mort, d'une corde sentimentale toute attendrie... le martellement incessant et ravi d'un zeste de provocation et de sexe (on peut mélanger/ajouter le rapport tordu au corps, une ombre d'homosexualité,... )
Oui, là l'écriture perd de sa superbe et on se retrouve face au paradoxe d'une lecture qui se révèle fermée et complaisante qui développe une atmosphère mensongère (qui n'est pas complètement éloignée du thème du livre, voire de l'auteur c'est vrai). Un mensonge riche, flamboyant qui semble chérir des idées au mépris de tout et les déchire dans le même mouvement aveugle. Le culte des obsessions personnelles (on devrait enlever le pluriel de l'adjectif), le ravissement du retour sur des formes simples non sans défiance pour l'extérieur (et proches d'une psychologie de comptoir). ça pourrait être fascinant si le malaise n'était pas si grand, si l'apparence n'était pas aussi factice, si l'égoïsme n'était pas si violent, bien au delà de ses sujets (personnages) qu'on pourrait qualifier de révélateurs.
Je parlerais volontiers de littérature mensongère pour traduire mon sentiment de ce bon moment de lecture pourtant émouvant, nostalgique, baroque.
Je ne dis pas tout, pas tant de ce que je n'apprécie pas que de ce que j'ai compris (peut-être) de son écriture et de certains échos qu'elle peut avoir dans mon parcours de lecteur.
(récup de... 2010).
Pour Tristram, et les autres, je récupère aussi une petite phrase notée, tadaaam :
Il se dit qu'il achèterait des lunettes qui protégeraient ses yeux de l'intensité des rayons du soleil.
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Re: Pascal Quignard
Le vrai piège de ce "littérature mensongère" et de vos commentaires, c'est qu'on a grand' envie de dépatouiller par soi-même l'aristocratique, le réactionnaire, l'élitiste, l'égocentrisme qu'on voit dénoncés à mots à peine couverts... Forme sans le fond ?!
Dommage, tu étais bien parti !!!Animal a écrit:Je ne dis pas tout, pas tant de ce que je n'apprécie pas que de ce que j'ai compris (peut-être) de son écriture et de certains échos qu'elle peut avoir dans mon parcours de lecteur.
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Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Pascal Quignard
ça fait longtemps que je n'ai pas retenté l'expérience... je lis moins aussi sans doute et puis il y a forcément une part de réaction à son image ou à sa place dans notre panorama littéraire, quoique, possible impression induite par le décor d'alors ?
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Re: Pascal Quignard
Vos commentaires tombent à point nommé, alors que je viens de m'offrir un premier livre de Quignard.
Excellente, la critique de Chevillard !
Excellente, la critique de Chevillard !
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 28
Re: Pascal Quignard
Lequel est-ce ?Quasimodo a écrit:un premier livre de Quignard.
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Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Pascal Quignard
Tous les matins du monde (en lisant les commentaires du fil, j'ai l'impression que j'ai eu la main heureuse ?)
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 28
Re: Pascal Quignard
J' espère que ce sera une bonne surprise, comme pour moi.Quasimodo a écrit:Tous les matins du monde (en lisant les commentaires du fil, j'ai l'impression que j'ai eu la main heureuse ?)
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Pascal Quignard
Héhé, heureusement, je ne serais pas à ma place dans ce rôle-là!Tristram a écrit:Merci Burlybunch (je le lirai quand même s'il me tombe sous la main : ton commentaire ne discrédite pas trop le livre !)
(Mais je réfléchirai à deux fois avant de me replonger dans un Quignard )
Burlybunch- Messages : 425
Date d'inscription : 07/02/2018
Localisation : bas du Bas-Rhin
Re: Pascal Quignard
Etant un fan inconditionnel de Quignard , je suis ce fil avec beaucoup d'attention. Je trouve vos réflexions très intéressantes
ArenSor- Messages : 3372
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Rue du Nadir-aux-Pommes
Re: Pascal Quignard
Au fait, je n'ai jamais compris : Tous les matins du monde il a été en quelque sorte écrit pour le film non ?
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Re: Pascal Quignard
Quasimodo a écrit:Vos commentaires tombent à point nommé, alors que je viens de m'offrir un premier livre de Quignard.
Je ne saurais mieux le dire : il m'arrive la même chose !
Invité- Invité
Re: Pascal Quignard
j'ai aimé Tous les matins du monde et Terrasse sur Rome, mais point Villa Amalia, je me suis donc arrêtée là (à tort certainement)
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21102
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: Pascal Quignard
Je considère P. Quignard comme l'un des plus grands auteurs contemporains en France, mais je trouve que ses romans sont la part la moins intéressante de son oeuvre. Souvent, ils m'ont déçu.
L’intérêt principal de Quignard réside pour ma part dans ses essais à mi-chemin de la philosophie et de la littérature : "Les Petits traités", "Dernier royaume".
Bédou : "Tous les matins du monde" et "Terrasse à Rome" sont bien plus intéressants que "Villa Amalia" que j'avais trouvé assez fadasse.
L’intérêt principal de Quignard réside pour ma part dans ses essais à mi-chemin de la philosophie et de la littérature : "Les Petits traités", "Dernier royaume".
Bédou : "Tous les matins du monde" et "Terrasse à Rome" sont bien plus intéressants que "Villa Amalia" que j'avais trouvé assez fadasse.
ArenSor- Messages : 3372
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Rue du Nadir-aux-Pommes
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