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Ruth Klüger

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Message par Bédoulène Sam 10 Déc - 16:24

Ruth Klüger
(Née en 1931)


Ruth Klüger Ruth_k10

Ruth Klüger, née le 31 octobre 1931 à Vienne, est une écrivain et universitaire américaine.

Ruth Klüger est née à Vienne le 31 octobre 1931, dans une famille juive « émancipée, mais non assimilée », ainsi qu'elle la décrit elle-même. Son père, Viktor Klüger, issue d'une famille pauvre exerce comme gynécologue et pédiatre. Sa mère, née Alma Hirschel, d'origine bourgeoise a eu un fils, Jiri (Georg en Allemand) d'un précédent mariage avec un tchèque. Les premiers souvenirs de Ruth sur le monde extérieur sont liés à l'antisémitisme. En 1942, âgée de 11 ans, elle a été déportée avec sa mère à Theresienstadt, puis en 1944 à Auschwitz. Elle échappe à la mort promise en général aux moins de quinze ans car tous les membres de son convoi sont parqués dans le camp B2B, un des nombreux sous-camps de Birkenau appelé « camp familial de Theresienstadt ». Elle est ensuite transférée dans le camp de travail de Christianstadt en Basse-Silésie, camp de travail annexe de Gross-Rosen. En février 1945, pendant l'évacuation du camp, Ruth Klüger et sa mère parviennent à s'enfuir. Elles se réfugient en Bavière, puis émigrent en 1947 aux États-Unis, où Ruth Klüger poursuit ses études à New York puis à Berkeley.

En 1980 elle devient professeur à l'université de Princeton et a enseigné par la suite dans plusieurs universités américaines. Elle a été également pendant plusieurs années professeur invité à l'université de Göttingen en Allemagne. Elle est une spécialiste reconnue de la littérature allemande. Un jour, à Göttingen, elle est renversée par un cycliste dans la Judenstrasse (rue des Juifs). Le traumatisme de la chute réveille ceux de sa jeunesse : « Je crois qu’il me poursuit [verfolgt], veut me renverser, vif désespoir, une lumière dans la nuit, son phare, métallique, comme un projecteur sur du fil barbelé, je veux me défendre, le repousser, les deux bras tendus, l’impact, l’Allemagne, un moment semblable à un combat à mains nues, cette lutte que je perds, du métal, l’Allemagne encore, qu’est-ce que je fais ici, pourquoi suis-je venue, suis-je seulement jamais partie ? » (p. 272)
Cela déclenche en elle un retour vers le passé qui aboutit à la rédaction de son témoignage en 1992 Weiter leben (Continuer à vivre), traduit en français en 1997 sous le titre Refus de témoigner, autobiographie et livre de réflexions sur la déportation, dont le thème principal est le refus de voir son identité réduite à la catégorie d'ancienne déportée, ainsi que la critique des stéréotypes engendrés par la mémoire de la déportation.

Ruth Klüger a reçu de nombreux prix littéraires, dont, en France, le prix Mémoire de la Shoah (1998) et en Autriche, le prix Theodor Kramer (de) (2011)..

(wikipedia)

Traductions en français

Refus de témoigner. Une jeunesse
Perdu en chemin

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Ruth Klüger 516d1p10

Refus de témoigner

lecture bouleversante comme toutes celles sur le même sujet, là une parole de femme

Ce qui m’ a le plus intéressé c’est que ces paroles sont celles de la fillette, puis de la femme, l’auteure prend la place que sa famille, la société, l’histoire veulent lui soustraire, parce que sous tous les cieux il semble acquis que la place de la femme doit être celle de l’acceptation, parce que secondaire. Alors sa réponse est la fuite, physique, matérielle, mentale.

La fuite mais pas l’oubli, se servir de sa mémoire pour revivre, pour contrer tous ceux qui après guerre regardent les survivants comme des coupables, (sous-entendu si les Juifs étaient dans des camps, c’est qu’il y avait bien raison) non dit-elle je ne suis coupable de rien, et encore moins de vivre. Il a fallu des décennies pour que l’holocauste porte un nom, qu’il soit reconnu crime contre l’humanité.

Les va et vient entre le passé et le présent, entre les USA et l’Allemagne montrent bien que l’auteure est toujours en recherche, sur elle-même et les autres, mais lucide, elle sait qu’elle n’est souvent pas crue, comprise.
Rebelle, sévère, la femme reflète la fillette ; les relations avec sa mère sont toujours aussi difficiles, contradictoires et là aussi la fuite s’impose.

Rhut est fidèle à ses idées, à sa non religion, à ses amies que ce soit Ditha (l’amie, la sœur des camps) ou ses amies connues aux USA.

Après avoir lu ce témoignage et parce que j’ ai vu « la Shoah de Lanzmann », la liste de Schlinder et beaucoup de reportages j’étais un peu déstabilisée par son analyse sur ce voyeurisme, même si elle n’a pas employé de mot (il me semble). Mais je me souviens qu’elle s’est à plusieurs reprises adressée à ses lecteurs et plus spécialement à ses lectrices quand elle les pensait plus concernées.

Seuls le respect pour l’auteure peut être une conclusion de cette lecture et la mémoire de ce qui fut



mots-clés : #autobiographie #campsconcentration


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Message par topocl Sam 10 Déc - 17:12

Refus de témoigner

Ruth Klüger 516d1p10

D'abord, revenir sur le titre,  en allemand « Weiter leben » (Continuer à vivre)
Refus de témoigner, choisi par la traductrice, est le titre d'un poème de l'auteur, cité à la dernière page. Et ce titre ne reflète absolument pas l'intelligence, la nuance, le questionnement qu'on va retrouver à l'intérieur. Car Dieu sait si Ruth Klüger témoigne.

De son enfance de petite juive à Vienne, élevée laïquement dans une religion qui délègue aux femmes l'obéissance et le ménage, et qui voit se lever peu à peu les lois antijuives et la guerre. Il y a chez cette gamine  une douceur pour parler de son père, austère mais fascinant, resté presque inconnu,une perspicacité à comprendre  toutes ces choses que les adultes s'évertuent à lui cacher, à accéder à la connaissance, une détermination à préserver sa dignité.

De ses années en camps de concentration, de 7 à 14 ans, aux côtés d'une mère d'une grande ambiguïté, dévorante et  rejetante alternativement. Déjà elle savait quelle devait survivre pour témoigner, et, pour survivre, scandait et écrivait de la poésie. Ruth Klüger, qui écrit en 1992, ne s'attarde pas à décrire les scènes habituelles d'appel, de latrines, de soupe. Elle sait que tout cela est connu, ce qui l'intéresse, ce qu'on peut en tirer intellectuellement, humainement, comment une enfant se construit dans ces conditions, et l’œil que l'adulte qu'elle va devenir pourra jeter sur elle rétrospectivement.

Et de ses années de survivante, en Allemagne,la joie d'avoir pu fuir pendant une marche de la mort,  premier acte qu'elle ait réellement eut le droit de décider depuis des années.


 
C'était comme si l'on prenait possession du monde, uniquement parce qu'on empruntait de son propre chef une route. La question n'était pas tellement de savoir où on allait, où, ce n'était pas mon problème. La liberté c'était de s'éloigner. S'éloigner de la marche mortelle, de la masse, de la menace permanente. L'air avait un autre parfum, plus printanier, maintenant que nous l'avions pour nous toutes seules. Le lendemain était de toute façon insondable et, ne pouvant faire de provisions, nous ne faisions pas non plus de prévisions.
   Le frisson glacial de la liberté, ne l'avez-vous jamais éprouvé ?  S’enquiert une lectrice attentive. Tout ça va trop vite pour elle, observe-t-elle, nous devions quand même aussi avoir peur. Peut-être que j'ai oublié la peur, parce que je la connaissais déjà. La nouveauté, c'était que l'existence devenait légère comme une plume, alors que la veille encore était de plomb, et dans ces conditions on ne se dit pas : n'importe qui peut te balayer d'un souffle, on se dit qu'on sait voler. C'était un sentiment de bien-être, comme si venait enfin d'arriver ce que j'avais toujours attendu depuis que j'étais capable de penser.


Puis aux Etats-Unis, confrontée au regard, à la bonne conscience et au jugement des autres. Elle  se pose les questions du devoir de mémoire, et ses corollaires inévitables, en même temps intimement lié et en contradiction avec le devoir de revivre . Peut-on écrire de la poésie sur la Shoah. Comment maintenir le souvenir, parler sans trahir, comme se taire sans trahir. Prendre garde à dénoncer les survivances de l’antisémitisme et de toute discrimination, traquer les incompréhensions et les tabous, fustiger l'exploitation  pathétique qu'elle voit notamment dans l’ouverture des camps au public.

   Un Juif  de Cleveland que je connais, marié à une allemande, me dit en face : « je sais ce que vous avez fait pour sauver votre peau. » Je ne le savais pas, mais je savais ce qu'il voulait dire. Cela signifiait : « Vous avez marché sur des cadavres. » Aurais-je dû répondre : « jJavais à peine 12 ans » ? Ce qui aurait voulu dire : « Les autres se sont mal comportés, moi pas. » Ou bien doit-on dire : « Je suis bonne, de naissance », encore par opposition aux autres ? Ou bien fallait-il dire : « Qu'est-ce qui te prend ? » Et faire un scandale. Je n'ai rien dit, je suis rentrée chez moi, déprimée. En réalité, c'est par hasard qu'on est resté en vie.



Ce sont l'esprit et la façon de voir de Ruth Klüger, sa culture et son intelligence, qui donnent tout son prix à ce récit. Entre humour et impertinence, entre révolte et remise en question sa position est une lucidité, une intransigeance déterminée, mais une intransigeance qui n'oublie pas de chercher à comprendre et à expliquer. Ruth Klüger ne demande pas de compassion, pas d'indulgence , elle demande à être une femme de son siècle, qui a le droit de vivre et de penser,avec le simple respect qui lui est dû. Une dignité pour ceux qui sont morts comme pour ceux qui ont survécu.
Il est difficile de faire comprendre par un simple commentaire à quel point ce livre est captivant.


(commentaire rapatrié)


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Message par églantine Sam 10 Déc - 21:13

Ruth Klüger 516d1p10

"Refus de témoigner "

ou "Re-vivre" , selon le titre de parution en allemand :


Peu importe finalement , le résultat est là : une oeuvre essentielle dans le non-devoir de mémoire et le non-devoir d'oubli .

Ruth Kluger
va bien plus loin ,loin de toutes formes de "devoir" pour cette femme résolument affranchie ,  sa démarche personnelle consiste à s'écarter de ses deux chemins de reconstruction pour faire revivre la petite fille qui vécut  toutes ces années dans différents camps de concentration ,  au regard de ce qu'elle est devenue 40 ans plus tard , dans une tonalité tonique et constructive .

Alors oui elle raconte , sa vie de petite fille juive en Autriche , Et Ruth n'a jamais été tendre , ni enfant , ni aujourd'hui : elle ne s'apesantit pas sur des faits et l'atrocité dont elle fut témoin , victime , elle ne s'attendrit pas sur les souvenirs de son père disparu le premier dans sa famille  :


C'est la dernière impression que mon père m'ait laissée : la frayeur , la violence et un sentiment d'injustice et d'humiliation .Les sentiments ainsi nourris sont impossibles à corriger .Est-ce que peut-être je lui en veux de sa mort parce que l'enfant battue n'eut plus l'occasion e se réconcilier avec lui ? Comme si sa vie inachevée n'avait eu d'autres sens que d'écouter mes pleurnicheries d'enfant de huit ans , ou de recevoir mes excuses et mes explications ultérieures .


Sous une plume délicieusement caustique , elle raconte sa vie de famille avec une mère qu'elle qualifie de névrosée , sans rancoeur ni animosité particulière , qu'elle aimait et qu'elle aime  sans aucune forme de procès rétroactif mais sans pour autant passer sous silence les failles de celle-ci !

Elle raconte la montée du nazisme et les premiers changements qu'elle vécut à ce moment-là avec déjà la conscience de la gravité du moment sans toutefois rentrer dans le pathos et l'affect , mais avec un regard violemment dérangeant .Le choix de ses souvenirs portent en eux une forme d'insolence dont l'impact sur le lecteur est inattendu : comment ne pas prolonger plus loin la réflexion après une narration  faussement anecdotique telle que ci :  


Le directeur vint en personne dans la classe pour nous expliquer le salut hitlérien .Il montra comment faire et la classe l'imita , sauf les enfants juifs qui dorénavant devraient se mettre au fond et ne pas saluer comme ça .Le directeur était gentil , l'institutrice embarrassée, si bien qu'avec un optimisme indefectible je me demandai s'il fallait prendre ce traitement d'exception comme une distinction honorifique ou une dégradation .Car enfin les grandes personnes savaient bien que notre pays avaient été envahi.Tout le monde ne pouvait pas être nazi .

En travaux manuels , les petites camarades apprirent à coller des croix gammées sur des papiers de couleurs et , les quatre à six filles juives que nous étions pouvaient coller ce qu'elles voulaient , ce qui étaient bien sympathique , sauf qu'en même temps ça ne l'était pas du tout .De temps à autres les filles aryennes venaient nous faire admirer ce qu'elles avaient fabriqué de joli. On comparait et critiquait .

Et cette petite fille au regard implacable traversera toutes les épreuves des camps , de la perte , de la douleur avec une force intérieure exceptionnelle liée à un sentiment de liberté innée : nulle trace de fuite dans la culpabilité , la croyance , et quelques autres formes d'attachement ....même sa façon d'aimer ses proches dès l'enfance se traduit par une volonté de prendre son destin en mains .

Alors pour cet être résolument libre , c'est sa vérité qu'elle expose dans ce roman autobiographique ,
celle qui n'est pas toujours du politiquement correctement ,
celle qui refuse les étiquettes ,
celle qui dénonce aussi sa culture qui réduit la femme à un être inférieur ,
celle qui se moque de" nos hommes ces héros " car c'est bien connu "les femmes et les enfants d'abord" dans le sauvetage et honneur et gloire aux valeureux guerriers ,
celle qui s'insurge contre cette nouvelle forme de tourisme dans ce qui reste des camps  par devoir de mémoire qui n'aboutit finalement qu'à nourrir certaines formes de fantasmes et salit ce qui s'est passé ,
celle qui refuse la victimisation autant que la banalisation ,
celle qui hurle de ses entrailles de petite fille le besoin de réveiller les consciences endormies ......

Par son refus de témoigner , Ruth Kruger apporte un regard vu sous un angle très personnel , porté par une plume tonique , cinglante , jubilatoire et explosive : Garez-vous lecteurs si vous recherchez le confort . Avec Ruth Kruger il faut accepter la règle du jeu qu'elle impose : que le lecteur soit impliqué , et c'est uniquement à cette condition que l'oeuvre prend tout son sens .

Chaque page de mon livre est souligné : aucun répit possible mais l'aventure est tout aussi poignante que jouissive : c'est un sacré numéro cette Ruth, insolente qui s'assume comme telle , un être libre qui ne se réfugie pas dans la culpabilité , la victimisation , la croyance ou l'amour  .....sale gosse jusqu'au bout , rebelle et explosive , intransigeante et déterminée  : chapeau bas !

Un de mes grands coups de coeur de lectrice !
Et voilà un ouvrage qui mériterait une LC  ; une seule lecture ne suffit pas d'ailleurs pour s'approprier le texte dans toute sa profondeur et tous les thèmes abordés !
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Message par topocl Sam 10 Déc - 21:26

Allez, je plombe l'ambiance! Ruth Klüger 2441072346

Perdu en chemin

Ruth Klüger Index118

Je suis carrément déçue par ce deuxième tome. Ruth Klüger y décrit sa carrière universitaire aux États-Unis et en Allemagne, et, plus rapidement, l'échec de son mariage et le demi-échec  de sa relation avec ses enfants. L'objectif quasi exclusif est de montrer ce que son statut de femme-juive-revenue des camps lui a valu de brimades, propos désagréables, comportements malvenus voire grossiers. Malheureusement cela donne quelque chose de tout à fait descriptif, voir énumératif, où on ne retrouve que rarement l'humour,  la mise à distance, l'irrévérencieuse réflexion qu'on trouvait dans Refus de témoigner. Cela finit par être assez indigeste, et je n'aurais certainement pas fini le livre si je n'avais pas  été si accrochée par le premier, et s'il n'avait pas été  relativement court.


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Message par églantine Sam 10 Déc - 21:36

Ah tu fais bien de le signaler Miss Topocl !  Surprised
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Message par Bédoulène Sam 10 Déc - 22:33

donc je ne vais pas me précipite dessus merci

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