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Theodore Sturgeon

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sciencefiction - Theodore Sturgeon Empty Theodore Sturgeon

Message par Tristram Jeu 9 Déc - 11:39

Theodore Sturgeon

(1918 – 1985)

sciencefiction - Theodore Sturgeon Theodo10

Theodore Sturgeon, né sous le nom d'Edward Hamilton Waldo le 26 février 1918 à Staten Island, état de New York, et mort le 8 mai 1985 (à 67 ans), est un écrivain américain de fantastique, de science-fiction et d'horreur.
Ses parents divorcèrent en 1927 alors qu'il n'avait que 9 ans et sa mère se remaria en 1929 avec un professeur émigré écossais, William Dicky Sturgeon, qui se montra d'une extrêmement dureté avec lui.
Un rhumatisme articulaire l’obligea à une vie sédentaire, et fut à l’origine de sa carrière d’écrivain.
La plupart des œuvres de Theodore Sturgeon ont quelque chose de poétique et même d'élégiaque. Il était réputé pour utiliser dans ses écrits la technique de la « prose rythmique » qui devait assurer à son écriture une certaine régularité métrique et lui permettait de procéder à de subtils changements d'atmosphère qui échappaient à la conscience du lecteur.
Plus que son style, l'ambiance et les thèmes abordés dans l’univers sturgeonien en font un cas particulier dans la littérature de l'étrange. On retrouve dans ses écrits des traces d'événements de sa vie qu'il a explorée d'une manière presque thérapeutique, pour en faire des œuvres où l'humain prime toujours.
Il a influencé Harlan Ellison, Samuel R. Delany, Ray Bradbury et Kurt Vonnegut, dont le personnage dénommé Kilgore Trout renvoie directement à lui.
Theodore Sturgeon écrivit des scénarios pour quelques épisodes de Star Trek, la série originale : Une partie de campagne (Shore Leave, 1966) et Le Mal du pays (Amok Time, 1967, publié plus tard sous la forme de roman en 1978).
Le principe fondamental de Sturgeon est : « Rien n'est jamais absolument comme il devrait être. »
Œuvres :

Romans :
• Killdozer, 1971 ((en) Killdozer!, 1944), trad. de Georges H. Gallet, éditions J'ai lu, no 407
• Cristal qui songe, Hachette, coll. Le Rayon fantastique, 1952 ((en) The Dreaming Jewels, Greenberg, 1950), trad. Alain Glatigny
• Les Plus qu'humains, Hachette, coll. Le Rayon Fantastique, 1956 ((en) More than Human, Farrar, Straus and Young, 1953), trad. Michel Chrestien
• Le Viol cosmique, 1971 ((en) The Cosmic Rape, 1958) trad. de Georges H. Gallet, éditions J'ai lu, no 407
• Un peu de ton sang ((en) Some of Your Blood, Ballantine Books, 1961), trad. Odette Ferry, in Hitchcock présente : Histoires à faire peur, Robert Laffont
• Vénus plus X, Champ libre, coll. Chute libre, no 11, 1976 ((en) Venus plus X, Pyramid, 1960), trad. Jean-Pierre Carasso
• (en) Godbody, Dutton Adult, 1986, publication posthume, inédit en français

Texte autobiographique :
• Argyll, 2005 ((en) Argyll: A Memoir, 1993) in Romans et Nouvelles, éditions Omnibus

Recueils de nouvelles :
• Le Cœur désintégré, Denoël, Présence du futur, no 231, 1977 ((en) Sturgeon in Orbit, 1964), trad. Roland Delouya, cinq nouvelles
• Les Talents de Xanadu, J'ai lu, 1978 ((en) The Worlds of Theodore Sturgeon, 1972), trad. Michel Deutsch, sept nouvelles
• Spécial Sturgeon, Galaxie, OPTA, no 103, 1972
• Les Enfants de Sturgeon, Librairie des Champs-Élysées, Le Masque Science-fiction, no 58, 1977, huit nouvelles
• Les Songes superbes de Theodore Sturgeon, Casterman, coll. Autres temps, autres mondes, 1978, onze nouvelles
• Le Livre d'or de la science-fiction : Theodore Sturgeon, Pocket, 1978
• Fantômes et Sortilèges, Le Masque Fantastique, 1978
• L'Homme qui a perdu la mer, Le Livre de poche, coll. SF no 7033, 1978, huit nouvelles
• Méduse, Le Masque Fantastique, 1978, trad. Mary Rosenthal, quatre nouvelles
• Symboles secrets, Casterman, coll. Autres temps, autres mondes, 1980
• Amour, impair et manque, Jean-Claude Lattès, 1981
• La Sorcière du marais, Néo, 1984, trad. Marcel Battin

(Wikipédia un peu réorganisé, avec un zeste des Éditions J’ai lu)

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Message par Tristram Jeu 9 Déc - 11:58

Cristal qui songe

sciencefiction - Theodore Sturgeon Crista10

Horty (Horton) Bluett est un enfant trouvé de huit ans. Mal aimé à l’école (qui l’a renvoyé pour avoir mangé des fourmis) comme dans sa famille d’accueil, son seul ami est Junky, un cube de bois bariolé contenant un diablotin à ressort, jouet qu’il possède depuis l’orphelinat. Armand, son père adoptif, lui ayant écrasé trois doigts (ainsi que la tête de Junky), Horty fugue. Il est recueilli par des nains qui vivent en forains, travaillant pour le directeur de la troupe, le Cannibale, un médecin surdoué devenu un haineux misanthrope.
Ce dernier a découvert le « cristal », être vivant totalement étranger à notre perception du monde ; ils peuvent « copier les êtres vivants qui les entourent », mais involontairement, un peu comme une chanson est le sous-produit de l’amour qui fait chanter l’amoureuse :
« Leurs rêves ne sont pas des pensées, des ombres, des images, des sons, comme les nôtres. Ils sont faits de chair, de sève, de bois, d’os, de sang. »
Le Cannibale parvient à les contrôler, les contraignant par de torturantes ondes psychiques à créer des êtres vivants, parfois inachevés – des monstres.
Horty, devenu Hortense (ou Kiddo), s’épanouit dans la communauté du cirque, où sa maternelle amie Zena le chaperonne, déguisé en fillette ; guidé par cette dernière, il lit beaucoup, se souvenant de tout grâce à sa mémoire prodigieuse ; et sa main coupée repousse…
« Horty apprenait vite mais pensait lentement ; la mémoire eidétique est l’ennemie de la pensée logique. »
(Eidétique au sens d’une mémoire vive, détaillée, d'une netteté hallucinatoire, qui représente le réel tel qu'il se donne, d’après Le Robert.)
Bien qu’il lui soit difficile de prendre seul une décision, Horty devra s’enfuir pour échapper à la dangereuse curiosité du Cannibale.
« Fais les choses toi-même, ou passe-t’en. »
Une douzaine d’années plus tard, Kay, la seule camarade de classe d’Horty à lui avoir témoigné de la sympathie, est draguée par Armand, devenu veuf et juge, qui la fait chanter pour parvenir à ses fins…
Horty affrontera le Cannibale − cette histoire est un peu son roman d’apprentissage −, et il comprendra les cristaux mieux que lui.
« …] les cristaux ont un art à eux. Lorsqu’ils sont jeunes, lorsqu’ils se développent encore, ils s’exercent d’abord en copiant des modèles. Mais quand ils sont en âge de s’accoupler, si c’est vraiment là un accouplement, ils créent du neuf. Au lieu de copier, ils s’attachent à un être vivant et, cellule par cellule, ils le transforment en une image de la beauté, telle qu’ils se la représentent. »
Considéré comme un classique de l’étrange, ce roman humaniste a pour thème la différence, physique ou de capacités psychiques particulières, thème qui sera développé dans Les plus qu'humains.
« Les lois, les châtiments font souffrir : la puissance n’est, en fin de compte, que la capacité d’infliger de la souffrance à autrui. »

« Tout au cours de son histoire, ça a été le malheur de l’humanité de vouloir à tout prix que ce qu’elle savait déjà fût vrai et que ce qui différait des idées reçues fût faux. »
En cette époque où le souci de l’Autre devient peut-être de plus en plus important, cet auteur un peu oublié m’émeut toujours par son empathie pour l’enfant et le différent.

\Mots-clés : #enfance #fantastique #identite #initiatique #philosophique #psychologique #sciencefiction #solidarite

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Message par Bédoulène Jeu 9 Déc - 19:52

cela ma rappelle un peu le film "Freaks" ?

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Message par Tristram Jeu 9 Déc - 22:46

Je ne connais pas le film "Freaks", mais les personnages du roman correspondent bien à des freaks en anglais américain.

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Message par Tristram Sam 14 Mai - 14:23

Les Plus qu'humains

sciencefiction - Theodore Sturgeon Les_pl10

L’Idiot est un jeune vagabond vivant au gré de ses instincts.
Évelyne est élevée recluse avec sa sœur ainée Alice par leur père, M. Kew, dans une atmosphère puritaine défiante du corps-mal.
L’Idiot ressent l’appel d’Évelyne, parvient à la rejoindre ; Kew les rosse à coups de fouet, sa fille en meurt, et il se tue ; Alice survit traumatisée.
Janie, cinq ans, a le pouvoir de déplacer les objets par sa seule volonté, et rencontre Bonnie et Beany, les petites jumelles qui elles savent se déplacer instantanément en tout lieu (on n’apprendra qu’elles sont noires qu’au travers du regard des adultes, ce qui est finement observé).
L’Idiot (dont le regard possède un étrange pouvoir) a été recueilli par de pauvres paysans, les Prodd, en attendant d’avoir leur propre enfant, un nourrisson qui se révèlera mongoloïde. Devenu Tousseul, il emporte ce dernier dans sa tanière, où ils vivront avec Janie, Bonnie et Beany.
« On ne peut vraiment pas dire qu’on appartient à une société quand cette société contient un élément disposé à vous exclure. »
Bébé est une sorte d’ordinateur vivant qui répond à toutes les questions. Janie traduit pour Tousseul :
« Il dit qu’il est une sorte de cerveau et moi le corps, et les jumelles sont les bras et les jambes et toi, toi, tu es la tête. Et que le tout, c’est Je. »
Ensemble, les enfants « mixollent » (« un mélange de mixte et de coller »).
Gerry, six ans, qui ne connait que la faim, le froid, la crainte à l’orphelinat, et ne ressent que haine et colère, s’enfuit et est recueilli par Tousseul.
« A six ans, Gerry était véritablement un homme. Ou, du moins, il possédait au plus haut point cette capacité d’adulte qui consiste à apprécier le plaisir grisâtre de simplement ne pas souffrir. »
Il se présente à Stern, un psychanalyste, pour se connaître lui-même, car il a tué Alice qui voulait les séparer, et parce qu’il doit remplacer Tousseul, mort par accident ; lui aussi est télépathe, mais a régressé dans un infantilisme pervers.
« Nous ne croyons jamais rien sans le vouloir. »

« Ce que nous pensons nous fait accomplir des choses curieuses. Certaines nous semblent tout à fait sans motifs, stupides, folles. Et, pourtant, il y a un fondement : dans tout ce que nous faisons, il existe une chaîne solide, inattaquable, une logique. Creusez à une profondeur suffisante et vous trouverez la cause et l’effet aussi clairement dans ce domaine que dans tous les autres. Attention : je dis logique, je n’ai pas dit justesse, justice ou rien de la sorte. Logique et vérité sont deux choses très différentes. Mais elles se confondent pour l’esprit qui est le créateur de cette logique… »
Retour en arrière : Alice recueillit les enfants, non sans réticence ; elle se souvient comme Tousseul l’utilisa pour explorer les livres, ce qui permet de mettre des noms sur les notions de télékinésie, téléportation, télépathie, symbiose, gestalt :
« Un groupe. Comme si c’était un traitement unique pour plusieurs maladies différentes. Comme plusieurs pensées exprimées en une phrase. L’ensemble est plus grand que la somme des parties. »

« Une partie qui va chercher. Une partie qui pense. Une partie qui trouve. Et une partie qui parle. »
Tousseul :
« Vous avez des gens qui peuvent bouger des choses avec leur tête. Vous avez des gens qui peuvent se faire bouger par l’esprit. Vous avez des gens qui peuvent calculer n’importe quoi si on le leur demande ; si on pense à leur demander. Ce que vous n’avez pas, c’est l’espèce de personne qui peut les mettre ensemble. Comme un cerveau réunit les parties qui poussent et les parties qui tirent et celles qui sentent la chaleur, et qui marchent, et pensent, et toutes les autres choses... Moi j’en suis un, dit-il pour finir. »

« Tout ce que je sais, c’est que je dois faire ce que je suis en train de faire exactement comme un oiseau doit faire son nid quand la saison vient. »

« Ce que je suis ?... Je vais vous le dire : le ganglion central d’un organisme complexe qui se compose, primo : de Bébé, cerveau électronique ; secundo et tertio : Bonnie et Beany : téléportation ; Janie, télékinésie, et moi-même, télépathie et contrôle central. »
Suit l’histoire de Hip Barrows, « enfant prodige », ingénieur contrarié devenu lieutenant, qui découvrit la première machine basée sur l’antigravitation (conçue par Bébé pour désembourber le camion de Prodd). Gerry le broie (ayant notamment pris l’apparence du docteur Thompson), mais Alice lui vient en aide, qui en quelque sorte se révolte contre la tête de l’organisme auquel elle appartient. Hip participera à ce nouveau stade de l’évolution de l’humanité, passage de l’Homo Sapiens à l’Homo Gestalt.
« Il doit exister un nom pour ce code, pour ce jeu de règles qui prévoient que, par sa manière de vivre, l’individu aide l’espèce à vivre. Quelque chose de distinct, de supérieur à la morale. Convenons d’appeler cela l’ethos ou si l’on préfère, l’éthique. C’est bien ce dont l’Homo Gestalt a besoin : non pas la morale, mais une éthique. »
Le rendu de la solitude intrinsèque de Tousseul (notamment), c'est-à-dire de l’innocent, du différent, du surdoué, m’a frappé au point que je recommande vivement cette lecture, de même que celle de Cristal qui songe, comme introduction ou complément à l’empathie pour l’autre, notamment l’enfant, prodige ou pas.
Malgré les références datées sur les pouvoirs paranormaux (et en psychologie ?), qui d’ailleurs peuvent se concevoir comme une parabole, c’est un chef-d’œuvre d’humanité et de sensibilité – sensitivité ! − (qui demanderait une nouvelle traduction ? Relu dans la même version, 1956, que ma première lecture).
Sinon, curieuse coïncidence, j’ai savouré de retrouver dans ce roman de science-fiction les mêmes thèmes que dans ma précédente lecture, Le rêve de d’Alembert, de Diderot (comme l’évolution des espèces, et jusqu’à la gestalt de l’essaim) !

\Mots-clés : #psychologique #sciencefiction

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Message par Bédoulène Sam 14 Mai - 17:35

là je suis perdue, c'est le genre de lecture où je m'aide d'un croquis, genre arbre généalogique ! Wink

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Message par Tristram Sam 14 Mai - 17:46

Ça se lit très bien, beaucoup mieux que je ne le rapporte !

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Message par Armor Lun 16 Mai - 13:35

Ouh là ! Je crois que je vais continuer à mixcoller Tousseul, moi... scratch

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Message par Tristram Lun 16 Mai - 13:40

Décidément, j'ai donné une impression fausse de ce livre ! Dommage...

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Message par ArenSor Lun 16 Mai - 16:49

Je garde un bon souvenir de cette lecture, comme de "Cristal qui songe", mais cela remonte à des décennies...
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