Leonardo Padura Fuentes
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Par extension, experience (on verra si j'ai tort), pressentiment aussi au vu des signaux d'alarme qui s'allument (problemes d'energie, de transport, fermeture de grandes surfaces, coût de plus elevé de la consommation, desinteret frivole de la classe dirigeante etc..etc..) nous nous acheminons petit a petit vers un scenario de crise a la cubaine à la difference que pour l'immigration nous sommes le contenant sans limites
Et bien voilà, je suis pas Nostradamus mais là c'est confirmé par la situation actuelle de la France et c'est pas fini
Et bien voilà, je suis pas Nostradamus mais là c'est confirmé par la situation actuelle de la France et c'est pas fini
Dernière édition par Chamaco le Ven 26 Jan - 11:55, édité 1 fois
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
une pensée pour les démunis de Cuba.
Soignes toi Chamaco, mais je comprends la route difficile. Désert médical ?
à bientôt pour ton ressenti sur le livre que je lirai certainement plus tard
Soignes toi Chamaco, mais je comprends la route difficile. Désert médical ?
à bientôt pour ton ressenti sur le livre que je lirai certainement plus tard
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21125
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Pour Bedoulene: on peut trouver un medecin traitant (j'en ai un tres bon, pas loin de la retraite) il y a un hopital à Sartene, il fait surtout office de rendez vous pour certains specialiste (pas pour le coeur, pour cela il faut aller à Ajaccio, pour l'angiologue, un scanner, une scintigraphie c'est à Ajaccio avec une ambulance ou en cas d'urgence vitale un helicoptere...) pas facile tout cela...
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
ok Chamaco ! dans certains lieux sur le continent c'est pareil !
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Bédoulène- Messages : 21125
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Re: Leonardo Padura Fuentes
oui bien sur, ca se generalise...
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Bédoulène a écrit:ok Chamaco ! dans certains lieux sur le continent c'est pareil !
en extrapolant : je crains sincerement que notre pays se profile dans le sillage des pays pauvres tels Cuba où la classe dirigeante se fiche totalement du petit peuple, avoir connu d'autres pays en difficultés ca ouvre les yeux (c'est loin d'être de la vantardise si d'aucuns.....etc) il existe encore des residents de longue date et des touristes pour qui Cuba c'est la plage, le rhum et les cigares et qui ignorent (volontairement ?) ce qu'il s'y passe, et chez nous.???? regardez le cas des agriculteurs, des pecheurs.............
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
merci pour le complément Chamaco
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Bédoulène- Messages : 21125
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Bon, je vais en rester à Padura et à son dernier livre qui parle de Condé lancé sur une enquête concernant un personnage de la haute société, un type véreux avec des pouvoirs etendus qu'il semblait utiliser à faire le mal dans le monde artistique, je reviendrai là dessus j'ai besoin d'en lire plus, à bientôt
Dernière édition par Chamaco le Jeu 25 Jan - 15:06, édité 1 fois
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Cela donne envie de se replonger dans les romans de Padura et l'univers de Mario Condé, si caractéristique. Merci pour tes impressions Chamaco au fil de ta lecture.
Avadoro- Messages : 1400
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Avadoro a écrit:Cela donne envie de se replonger dans les romans de Padura et l'univers de Mario Condé, si caractéristique. Merci pour tes impressions Chamaco au fil de ta lecture.
Salut Avadoro, merci de me lire, oui c'est avec nostalgie que j'aborde ce nouvel ouvrage, nostalgie d'une epoque pas tres lointaine où malgré les difficultés de la vie la joie de vivre etait presente à Cuba, ce pays change en partie parcequ'il perd ses forces vives, "Ouragans tropicaux" se situe a une epoque charniere (comme il y en eu beaucoup dans un pays a l'histoire si riche, 2016 etait rempli d'espoir, pensez un President Americain leur rend visite (Trump leur a fait payer cher depuis et Biden n'a rien changé), Chanel defilant sur le Prado la mode dans un decor colonial !et le Pape en visite là où 60 ans plus tôt Fidel pourchassait les catholiques, et...et puis Patatrac tout s'ecroule au propre et au figuré...
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
El Condé grâce à son ami Yoyi exerce un nouveau boulot, il travaille pour un paladar (restaurant privé donc non etatique, qui fait boîte de nuit et "bordel"(ce mot est employé en francais dans le livre) il est videur, physionomiste et flic privé pour un salaire de 10 dollars par jour ce qui est beaucoup pour Cuba (salaire moyen proche de 25 dollars par mois = un peu moins de 5000 pesos par mois, insuffisant pour vivre, cela me rappelle un episode de ma vie a Cuba : un jour j'avais donné 10 Euros d'argent de poche à ma belle fille de 15 ans, une voisine etait presente elle a hurlé que c'etait trop d'argent pour ce pays )...
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
et alors, comment s'en sort Condé ?
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Bédoulène- Messages : 21125
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Condé est hyperactif car en plus de son travail il se charge d'aider son ancien collegue de la Police Manolo Palacios devenu Lieutenant Colonel de Police sur une affaire de meurtre sordide celui de "l'Abominable" Quevedo un homme influent de l'intelligencia cubaine, versé dans le trafic de toiles de maîtres cubain spoliés par ses propres soins. L'enquête le replonge dans l'univers d'Electre a la Havane le monde des Arts et des "moeurs particulières" ...
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
me faudrait retourner vers l'auteur, merci Chamaco
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Bédoulène- Messages : 21125
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Re: Leonardo Padura Fuentes
tout comme Padura, Electre a la Havane etant un de ses premiers ouvrages...Bédoulène a écrit:me faudrait retourner vers l'auteur, merci Chamaco
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Ouragans tropicaux :
Extrait :
"Rien ne pouvait être dû au hasard. Les chemins de la littérature et de la vie sont tentés par caprice de se croiser et, quand l’une et l’autre se frottent, elles mettent à nu des essences inquiétantes, révélatrices parfois. Immobile en face du vieux porche de l’hotel Inglaterra, il se demanda combien de ceux qui passaient par ce lieu qui avait été le fameux Trottoir du Louvre, qui avait tout perdu, même son nom, combien de ceux qui rôdaient dans les halls restaurés del’hôtel Inglaterra et de son voisin le Telegrafo, combien parmi les passants étourdis, ignorants ou égarés pouvaient avoir la moindre idée de ce qui avait existé là. Juste a cet endroit se trouvait le café Cosmopolita, le plus célèbre et le plus distingué de la ville élégante de la Belle Epoque, le lieu où tant de rencontres mémorables s’étaient déroulées, où tant de vies avaient défini ou modifié leurs cours. Rares devaient être les gens susceptibles de s’intéresser à une information sans effet sur leurs existences, surtout qui ne pouvait pas l’améliorer à une époque épuisante où les gens avaient besoin de soulagements présents plus que de mémoires passées, éteintes, la mémoire d’une ville qui avait rêvé d’être la Nice des Amériques et commencait à ressembler à Beyrouth bombardée.
L’ex-policier observait à présent le paysage : le Parque Central avec son Marti à l’air toujours préoccupé, avec de bonnes raisons de l’être ; plus loin, le vieux cinema Payret, la pompeuse Societad Asturiana et la compacte Manzana de Gomez, tout en face ; le Paseo del Prado et le Coin du Péché, à gauche ; le Grand Théatre du Centre Galicien, le Capitole et le Parc de la Fraternité à droite."
les endroits que je frequentais (entre autres) le week end quand je m'échappais de ma banlieue sauvage...
Extrait :
"Rien ne pouvait être dû au hasard. Les chemins de la littérature et de la vie sont tentés par caprice de se croiser et, quand l’une et l’autre se frottent, elles mettent à nu des essences inquiétantes, révélatrices parfois. Immobile en face du vieux porche de l’hotel Inglaterra, il se demanda combien de ceux qui passaient par ce lieu qui avait été le fameux Trottoir du Louvre, qui avait tout perdu, même son nom, combien de ceux qui rôdaient dans les halls restaurés del’hôtel Inglaterra et de son voisin le Telegrafo, combien parmi les passants étourdis, ignorants ou égarés pouvaient avoir la moindre idée de ce qui avait existé là. Juste a cet endroit se trouvait le café Cosmopolita, le plus célèbre et le plus distingué de la ville élégante de la Belle Epoque, le lieu où tant de rencontres mémorables s’étaient déroulées, où tant de vies avaient défini ou modifié leurs cours. Rares devaient être les gens susceptibles de s’intéresser à une information sans effet sur leurs existences, surtout qui ne pouvait pas l’améliorer à une époque épuisante où les gens avaient besoin de soulagements présents plus que de mémoires passées, éteintes, la mémoire d’une ville qui avait rêvé d’être la Nice des Amériques et commencait à ressembler à Beyrouth bombardée.
L’ex-policier observait à présent le paysage : le Parque Central avec son Marti à l’air toujours préoccupé, avec de bonnes raisons de l’être ; plus loin, le vieux cinema Payret, la pompeuse Societad Asturiana et la compacte Manzana de Gomez, tout en face ; le Paseo del Prado et le Coin du Péché, à gauche ; le Grand Théatre du Centre Galicien, le Capitole et le Parc de la Fraternité à droite."
les endroits que je frequentais (entre autres) le week end quand je m'échappais de ma banlieue sauvage...
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Ouragans tropicaux
Dans ce livre un personnage sulfureux tres connu à Cuba apparait chez Padura, de fait il s'avère que El Condé en dehors de son emploi de videur-physionomiste, s'est lancé dans l'ecriture d'un livre dont il nous fait partager l'histoire, un livre tournant autour du personnage d'Alberto Yarini (qui a existé réellement) un homme au destin tragique décédé en 1911, une époque cahotique dans l'histoire cubaine
Sur Yarini (je cite):
"Un jeune type, Alberto Yarini, a commencé à prendre de l’importance à San Isidro. Il était issu de la famille Yarini Ponce de Leon qui était très respectable.
Le père, Cirilo, était chirurgien dentiste et professeur à l’Université de La Havane.
La mère, Juana Emilia, était une grande pianiste qui avait même joué pour Napoléon III aux Tuileries.
Alberto avait étudié aux USA. Il parlait parfaitement le rosbif et s’exprimait dans un espagnol plutôt recherché. Mais, tout ce qu’il avait dans le citron ne l’empêchait pas d’être tannant quand il parlait.
Il n’était pas grand, 1,70 m environ, mais il était beau mec et il le savait. En fait, il était très amoureux de lui-même et il passait une grande partie de son temps à frimer, vêtu de costards taillés sur mesure, à la terrasse du Louvre, le bar de l’hôtel Inglaterra.
Quand il était dans le monde de sa famille, il était éduqué, parlait doucement et savait écouter les anciens et les gens bien placés.
Par contre quand il se retrouvait à San Isidro, etc...."
Rue Galiano 1910
Dans ce livre un personnage sulfureux tres connu à Cuba apparait chez Padura, de fait il s'avère que El Condé en dehors de son emploi de videur-physionomiste, s'est lancé dans l'ecriture d'un livre dont il nous fait partager l'histoire, un livre tournant autour du personnage d'Alberto Yarini (qui a existé réellement) un homme au destin tragique décédé en 1911, une époque cahotique dans l'histoire cubaine
Sur Yarini (je cite):
"Un jeune type, Alberto Yarini, a commencé à prendre de l’importance à San Isidro. Il était issu de la famille Yarini Ponce de Leon qui était très respectable.
Le père, Cirilo, était chirurgien dentiste et professeur à l’Université de La Havane.
La mère, Juana Emilia, était une grande pianiste qui avait même joué pour Napoléon III aux Tuileries.
Alberto avait étudié aux USA. Il parlait parfaitement le rosbif et s’exprimait dans un espagnol plutôt recherché. Mais, tout ce qu’il avait dans le citron ne l’empêchait pas d’être tannant quand il parlait.
Il n’était pas grand, 1,70 m environ, mais il était beau mec et il le savait. En fait, il était très amoureux de lui-même et il passait une grande partie de son temps à frimer, vêtu de costards taillés sur mesure, à la terrasse du Louvre, le bar de l’hôtel Inglaterra.
Quand il était dans le monde de sa famille, il était éduqué, parlait doucement et savait écouter les anciens et les gens bien placés.
Par contre quand il se retrouvait à San Isidro, etc...."
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Re: Leonardo Padura Fuentes
j'attends la suite, irais-je dans l'ouragan ?
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"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21125
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Re: Leonardo Padura Fuentes
Bédoulène a écrit:j'attends la suite, irais-je dans l'ouragan ?
je te le souhaite
Chamaco- Messages : 4328
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Re: Leonardo Padura Fuentes
En suivant Padura dans "Ouragans tropicaux" celui ci nous amène à la decouverte du Musée Napoleonico de La Havane, lors de l'ecriture de son livre il venait de réouvrir après des travaux je n'avais pu le visiter avant Octobre 2022 ayant trouvé portes closes lors d'autres voyages
la visite est un vrai regal, je n'ai pas retrouvé sur le forum mes photos (je cherche peut être mal ou est ce l'oubli de ma camera ou encore l'état de désolation où je me trouvais au retour de mon dernier voyage..? c'est dommage la visite valait la peine)
Padura nous amène à la decouverte de ce lieu hyper rare dans le monde et decrit des objets qui s'y trouvent, ainsi qu'une anecdote sur le pénis disparu de l'Empereur, faisant un rapprochement avec l'anecdote de l'émasculation d'une des victimes dans son livre.
L'entrée du Musèe créé par Mr Lobo :
images google...
la visite est un vrai regal, je n'ai pas retrouvé sur le forum mes photos (je cherche peut être mal ou est ce l'oubli de ma camera ou encore l'état de désolation où je me trouvais au retour de mon dernier voyage..? c'est dommage la visite valait la peine)
Padura nous amène à la decouverte de ce lieu hyper rare dans le monde et decrit des objets qui s'y trouvent, ainsi qu'une anecdote sur le pénis disparu de l'Empereur, faisant un rapprochement avec l'anecdote de l'émasculation d'une des victimes dans son livre.
L'entrée du Musèe créé par Mr Lobo :
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Dernière édition par Chamaco le Mer 14 Fév - 11:46, édité 1 fois
Chamaco- Messages : 4328
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