LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Page 3 sur 5 • Partagez
Page 3 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
je comprends Chrysta, rien ne presse !
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Tristram a écrit:Curieusement, je n'ai de postface que dans l'édition numérique ; j'imagine qu'elle est postérieure à la première édition en français.
Pour en revenir aux variations d'appellation du Dahlia noir :J’avais entendu appeler Elizabeth Short des noms de « Betty », « Beth » et une ou deux fois « Betsy », mais seul Charles Michael Issler, un maquereau, avait fait référence à elle sous le nom de « Lizz ».
je remonte ce que j'ai dit plus haut : ne pas être la même personne selon les partenaires ? Elisabeth plus comme ceci, Beth plus comme cela etc.... ?
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Oui, comme les facettes ou versions de sa personne, ou encore autant d'indices/ leurres de sa personnalité/ de l'enquête...
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
A noter que Le Dahlia Noir est le premier roman noir du Quatuor de Los Angeles (L.A. Quartet), tétralogie informelle ayant lieu dans cette ville pendant les années 1940-1950 ; Le Dahlia Noir est suivi de Le Grand Nulle Part, L.A. Confidential et White Jazz.
Tu n'es pas tentée, Bédoulène ?
Tu n'es pas tentée, Bédoulène ?
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
je lirai d'abord son livre autobiographique "ma part d'ombre" mais White jazz me tente et les autres aussi, mais digestion d'abord !
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
D'Ellroy j'ai aussi lu Le Grand Nulle part (The Big Nowhere), mais guère de souvenir, et Destination morgue, une autobiographie, sans doute dans le genre de Ma part d'ombre :
« C’est un Rubik’s Cube. Le mécanisme interne affiche des souvenirs et des pensées. Des images remplacent les blocs colorés et trouvent leur cohésion en un clic. Les lignes horizontales se connectent. Les perpendiculaires apparaissent. Vous prenez ce dont vous avez besoin et ce que vous avez été et vous le passez au crible de ce que vous êtes devenu. Vous y mettez de l’ordre. Vous y rajoutez quelques extravagances. Si vous êtes habile et honnête et pur, cela fonctionne. […]
Les futurs auteurs se cachent dans les livres et absorbent l’art de l’écriture en prenant du plaisir. C’est en lisant qu’ils apprennent la structure et le style. Leur curiosité les aiguille vers les sujets intéressants. Ils cherchent dans leurs lectures ce qui peut les enrichir et les titiller. Ils grattent là où ça les démange pour voir la vie se révéler à eux. […] Le roman enchante les ratés professionnels, car ils y trouvent des justifications d’eux-mêmes qui leur fournissent une justification. Le roman décrit par le menu une expérience, la résume, et l’inclut dans une vision du monde. Le roman s’empare d’une abstraction et la transforme en un incident dramatique. Le roman prend l’incident spécifique et lui confère hauteur et abstraction. Le roman explicite les préoccupations morales pour l’auteur lui-même et les révèle au lecteur à travers la façon dont il choisit de les mettre en scène. Le roman prodigue au romancier un ego surdimensionné tout en le contraignant à l’humilité. Le roman, c’est un sacré effort, un travail gigantesque. L’aspect "Rubik’s Cube" du talent du romancier stupéfie toujours.
Les romanciers façonnent leurs souvenirs et leurs idées. Leurs images remplacent les blocs colorés et trouvent leur cohésion en un clic. Les lignes horizontales se connectent. Les perpendiculaires apparaissent. Ils prennent ce dont ils ont besoin et ce qu’ils ont été et le passent au crible de ce qu’ils sont devenus. Leur voix se forge à partir d’un grand silence qu’ils ont souvent nourri de leurs imprudences et de leurs privations. »
James Ellroy, « Destination morgue », « Où je trouve mes idées tordues »
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
autopsychanalyse ? lucidité en tout cas
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Un bel exemple de l'interminable obsession pour le Dahlia (alias Elizabeth, Betty, Beth, Betsy, Lizz) :
Je fis alors entrer les boues du ruisseau dans les plis de nos draps, et j’attachai au corps de Kay dans l’obscurité les visages des racoleuses que je voyais en ville. Les premières fois, cela réussit, jusqu’à ce que je découvre jusqu’où je voulais vraiment aller. Lorsque, finalement, je fis le geste et me retrouvai haletant après avoir joui, Kay me caressa de ses mains maternelles et je sentis qu’elle savait que j’avais brisé la promesse de mon mariage – avec elle toujours présente.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
et pire après, si tu n'es pas encore arrivé au El Nido avec une danseuse de bar
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Je suis justement à ce moment-même au El Nido, avec une accorte personne qui pourrait bien être, comme tu dis, danseuse de bar, maintenant que tu m'y fais penser...
Il y a décidément dans ce roman une profondeur qui surpasse le polar alimentaire/ de base.Madeleine m’expliqua son numéro du Dahlia comme une stratégie pour me faire revenir à elle ; la fameuse nuit, elle m’avait vu garer ma voiture, et elle savait que de me séduire à la Betty Short me ferait revenir. Le désir que l’aveu impliquait me toucha, même si le raffinement du procédé m’incitait à la répugnance.
[...]
Notre compromis implicite, c’était qu’on parle de Betty.
Je posais les questions, elle partait en digressions. Nous eûmes vite passé en revue les faits réels ; à partir de cet instant, ce ne fut que pure interprétation.
Madeleine parla de cette malléabilité totale chez le Dahlia, Betty le caméléon, qui devenait n’importe quoi pour plaire à n’importe qui.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
non Tristram Madeleine c'est la fille de riches qui s'encanaille. Ce sera plus tard la danseuse.
mais cette Madeleine a bien saisi l'obsession de Bucky (Dweigt) et "cette malléabilité totale chez le Dahlia, Betty le caméléon, qui devenait n’importe quoi pour plaire à n’importe qui."
Psychologiquement, même si je ne connais de la psycho pas grand chose, le récit est riche dans ce domaine avec les différents personnages.
mais cette Madeleine a bien saisi l'obsession de Bucky (Dweigt) et "cette malléabilité totale chez le Dahlia, Betty le caméléon, qui devenait n’importe quoi pour plaire à n’importe qui."
Psychologiquement, même si je ne connais de la psycho pas grand chose, le récit est riche dans ce domaine avec les différents personnages.
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Nouvel alias du Dhalia à la page 340 : Lizzie, une gentille fille qui aide un jeune aveugle à suivre un film...C’est parce qu’elle existe avec tous ces noms différents, et cette femme, elle ne veut plus être elle pour moi, et je n’arrive pas à être quelqu’un comme elle, et chaque fois j’essaie, je fais tout merder, et mon copain, il est devenu cinglé parce que sa petite sœur, elle aurait pu être quelqu’un comme elle si on l’avait pas tuée…
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
désolée j'ai fait une grosse bêtise j'ai posé mon commentaire ici au lieu du fil d'auteur et je croyais, ce matin avoir supprimé mon message.
heureusement je n'en ai dit que peu de l'intrigue !
d'ailleurs j'ajouterai plus tard des extraits, là suis HS, cette chaleur m'épuise
heureusement je n'en ai dit que peu de l'intrigue !
d'ailleurs j'ajouterai plus tard des extraits, là suis HS, cette chaleur m'épuise
Dernière édition par Bédoulène le Dim 30 Juin - 7:23, édité 1 fois
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
On trouve aussi dans Le Dahlia Noir le douteux poncif états-unien de la justice faite par soi-même :
En fait, tous les éléments du roman noir sont dans ce livre, et il semble que les autres n’en sont que des variations ‒ voire des resucées.« Le tuer.
Pas de gloire publique, pas de déshonneur public – mais une justice personnelle. Laisser partir les Sprague ou forcer Georgie à une confession détaillée avant d’appuyer sur la gâchette. La mettre sur le papier et, ensuite, trouver un moyen de leur faire du mal selon mon bon plaisir.
Le tuer. »
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
me semble qu'Elloy a fait le maximun et avec une belle maîtrise.
- Spoiler:
- Lee Blanchard est complexe aussi : recto sa façade de flic solide, directeur ; verso la faiblesse de l'homme (remord d'avoir perdu sa soeur), ne pas pouvoir faire l'amour avec Kay et son amitié pour Bucky.
Dernière édition par Bédoulène le Dim 30 Juin - 7:50, édité 1 fois
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Lee Blanchard, c'est pire :
- Spoiler:
- C'est un ripou...
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
tu as donc terminé le livre Tristram ?
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Il me reste une quinzaine de pages, et la postface.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
nous en reparlerons !bientôt si je suis en état ! (
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21099
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: LC le Dahlia Noir d'Ellroy
Ai fini, et les multiples rebondissements finaux font plus embrouillamini qu’éclaircissement ; l’intrigue style thriller est sûrement brillante, mais peut-être aurait-il mieux valu un inconnu définitif comme dans la réalité ? Il y a aussi de curieux rebonds, reprises obsessionnelles d’histoire qui ne veut pas finir.
La postface, vraisemblablement à l’occasion de la sortie du film éponyme de Brian De Palma, contextualise bien la genèse du roman. Je comprends que tu veuilles lire Ma part d’ombre, Bédoulène (et je vais peut-être lire aussi ce livre au titre approprié ‒ de même que visionner le film).
La postface, vraisemblablement à l’occasion de la sortie du film éponyme de Brian De Palma, contextualise bien la genèse du roman. Je comprends que tu veuilles lire Ma part d’ombre, Bédoulène (et je vais peut-être lire aussi ce livre au titre approprié ‒ de même que visionner le film).
Et c’est, au final, l’histoire d’un pitoyable besoin d’amour, d'ailleurs partie intégrante de l’envie de vivre...« Ma propre jeunesse, j’y ai survécu. Pas Betty. »
« C’est l’Enquête criminelle considérée comme Art. Il a besoin de s’emparer de la malfaisance et de la faire sienne. »
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Page 3 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Des Choses à lire :: Discussions autour des livres :: Nos Lectures Communes
Page 3 sur 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|