Matteo Righetto
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Matteo Righetto
Matteo Righetto
né en 1972
Matteo Righetto est né à Padoue en 1972. Il est l’auteur de plusieurs romans dont Ouvre les yeux qui a obtenu en Italie le prix Cortina d’Ampezzo et une mention spéciale au prix Mario Rigoni Stern.
Ouvrages traduits en français :
- Bacchiglione Blues, La dernière goutte, 2015
- Savana Padana, La dernière goutte, 2017
- Ouvre les yeux, La dernière goutte, 2017
Invité- Invité
Re: Matteo Righetto
Ouvre les yeux
Difficile de bien parler de ce roman pour vous donner, peut-être, envie de le lire sans trop raconter le thème du récit pour vous laisser avancer doucement au fil des pages !
Luigi et Francesca se sont connus alors qu'ils étaient étudiants. Se retrouvant quelques années plus tard, ils se sont aimés, mariés ont eu un fils... Et puis, chacun s'est éloigné de l'autre. Ils se sont séparés et ont recommencé une autre vie, avec d'autres personnes auprès d'eux.
Quand le livre commence, Luigi et Francesca se parlent au téléphone pour finaliser les détails d'une randonnée en montagne, dans les Dolomites, qu'ils sont sur le point de partager. Une randonnée comme une réminiscence, comme un engagement à tenir...
Le récit alterne le présent et le passé : leur passé commun. C'est en fait le type du récit lui-même qui est captivant : tout en délicatesse, tout en simplicité, le plus souvent à la seconde personne du singulier, quand un "nous" vient de temps en temps nous y faire pénétrer, comme pour attirer notre attention ou plutôt pour redire les liens qui ont existé entre les deux parents.
L'Italie habite chaque page, chaque paysage traversé.
La randonnée s'avère plus périlleuse qu'il n'y paraissait, à cause de la nature, à cause de leurs sentiments. Et si elle n'était finalement que le miroir de cette existence partagée et quittée ?
Mots-clés : #amour #lieu #nature
Difficile de bien parler de ce roman pour vous donner, peut-être, envie de le lire sans trop raconter le thème du récit pour vous laisser avancer doucement au fil des pages !
Luigi et Francesca se sont connus alors qu'ils étaient étudiants. Se retrouvant quelques années plus tard, ils se sont aimés, mariés ont eu un fils... Et puis, chacun s'est éloigné de l'autre. Ils se sont séparés et ont recommencé une autre vie, avec d'autres personnes auprès d'eux.
Quand le livre commence, Luigi et Francesca se parlent au téléphone pour finaliser les détails d'une randonnée en montagne, dans les Dolomites, qu'ils sont sur le point de partager. Une randonnée comme une réminiscence, comme un engagement à tenir...
Le récit alterne le présent et le passé : leur passé commun. C'est en fait le type du récit lui-même qui est captivant : tout en délicatesse, tout en simplicité, le plus souvent à la seconde personne du singulier, quand un "nous" vient de temps en temps nous y faire pénétrer, comme pour attirer notre attention ou plutôt pour redire les liens qui ont existé entre les deux parents.
L'Italie habite chaque page, chaque paysage traversé.
La randonnée s'avère plus périlleuse qu'il n'y paraissait, à cause de la nature, à cause de leurs sentiments. Et si elle n'était finalement que le miroir de cette existence partagée et quittée ?
Mots-clés : #amour #lieu #nature
Invité- Invité
Re: Matteo Righetto
Un livre qui devrait tenter bix, s'il ne le connaît pas déjà !
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"Et au plus eslevé trone du monde, si ne sommes assis, que sus notre cul." (Michel de Montaigne)
Armor- Messages : 4589
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 43
Localisation : A l'Aise Breizh
Re: Matteo Righetto
Oui, mon engouement pour l'Italie est bien connu
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Matteo Righetto
(... et Quasi !)Armor a écrit:Un livre qui devrait tenter bix, s'il ne le connaît pas déjà !
Merci janis, je crois bien que je vais me laisser tenter
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 29
Re: Matteo Righetto
merci Janis pour ton commentaire !
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21622
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: Matteo Righetto
Je mets un extrait ( j'ai oublié, hier ! )
La langue est fluide, on lit très vite parce que le style nous emporte à le faire, quitte à relire pour apprécier les tournures ou les détails ensuite.
Bonne lecture à ceux qui la feront !
Tu t'arrêteras de temps en temps pour reprendre ton souffle et elle fera de même, en s'arrêtant parfois derrière toi, parfois un peu en avant et de plus en plus souvent à tes côtés.Aucun échange entre vous pour dire la fatigue, pas de paroles d'encouragement non plus. Vous ferez de petites pauses, le souffle court, le regard voilé, au milieu d'une forêt pleine de vitalité, de sons limpides et nets comme les cris répétés de la fauvette et de la mésange.
La langue est fluide, on lit très vite parce que le style nous emporte à le faire, quitte à relire pour apprécier les tournures ou les détails ensuite.
Bonne lecture à ceux qui la feront !
Invité- Invité
Re: Matteo Righetto
merci Janis, les cris de la fauvette et la mésange appellent Bix !
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
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Bédoulène- Messages : 21622
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
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