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Eduardo Hughes Galeano

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Message par Chamaco Dim 22 Jan - 14:26

Eduardo Hughes Galeano  
(1940–2015)


nouvelle - Eduardo Hughes Galeano Eduard10

Ecrivain Uruguayen ,  dessinateur, journaliste

Eduardo Hughes Galeano, né le 3 septembre 1940 à Montevideo et mort le 13 avril 2015 dans la même ville, est un écrivain, journaliste et dramaturge uruguayen, célèbre pour avoir écrit Les Veines ouvertes de l'Amérique latine.

Eduardo Galeano est issu d’une famille catholique. À quatorze ans, il entre comme débutant au journal socialiste El Sol (es), où il brosse des caricatures d'hommes politiques tout en assurant la chronique des arts et du théâtre. Il est censuré par le président Jorge Pacheco Areco1. À vingt ans, il devient chef de rédaction au grand hebdomadaire Marcha et, en 1964, directeur du journal Epoca à Montevideo.
À la suite du coup d'État militaire de 1973, il est emprisonné avec des milliers d'autres opposants, puis s'exile en Argentine. Il fonde à Buenos Aires la revue Crisis qu'il dirige de 1973 à 1976. Après le coup d'Etat de mars 1976 en Argentine, Eduardo Galeano se voit obligé de s'exiler à nouveau, menacé de mort par des «escadrons de la mort». Il vit à Barcelone, avant de rejoindre l'Uruguay en 1985 au début de la transition démocratique.
Son œuvre la plus connue, Les Veines ouvertes de l'Amérique latine, est un acte d'accusation contre l'exploitation de l'Amérique latine par les puissances étrangères depuis le xve siècle.
Galeano contribue régulièrement aux magazines anglophones The Progressive (E-U) et New Internationalist (R-U). Il est également publié dans Monthly Review et The Nation (E-U).
Dramaturge à ses heures, il écrit des pièces de théâtre qu'il met lui-même en scène, parfois inspirées d'œuvres romanesques ou poétiques. Elles connaissent un succès moindre et sont très peu éditées, bien que les représentations qu'il organise en Amérique latine sont toujours très bien accueillies.
Il participe à des forums sociaux mondiaux de l'altermondialisme (2001-2005), et fait partie des dix-neuf personnalités qui ont proposé et signé le manifeste de Porto Alegre. Il est membre du comité de parrainage du tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009.
Galeano a reçu, avec d'autres personnalités, le prix José D'Elía en décembre 2009, octroyé par la confédération syndicale PIT-CNT.
Il meurt à 74 ans à Montevideo (Uruguay), d'un cancer du poumon.

source : wikipedia.org

Ouvrages traduits en français :

Les Veines ouvertes de l'Amérique latine [« Las venas abiertas de América Latina »]
Jours et nuits d'amour et de guerre [« Días y noches de amor y de guerra »]
Le Football : Ombre et lumière [« El fútbol a sol y sombra »]
Sens dessus dessous : L'école du monde à l'envers [« Patas arriba:La escuela del mundo al revés »]
Paroles vagabondes [« Las palabras andantes »]
Les Voix du temps [« Bocas del tiempo »]
Le Livre des étreintes [« El libro de los abrazos »]
Mémoire du feu : Les naissances ; Les visages et les masques ; Le siècle du vent [« Memorias del fuego : I - Los nacimientos, II - Las caras y las máscaras, III - El siglo del viento »]
Les Boîtes à mots [« Las palabras andantes »]
Papagayo [« Historia de la resurrección del papagayo »]
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Message par Chamaco Dim 22 Jan - 14:31

Las venas abiertas de América Latina (1971, littérature historique)

nouvelle - Eduardo Hughes Galeano 36466210


c'est ce livre " les veines ouvertes de l'Amérique Latine" qui fera l'objet de ma prochaine lecture dans le cadre du voyage dans l'Amerique du Sud, centrale et Caraïbes..
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Message par Tristram Dim 22 Jan - 15:06

Excellente lecture à toi !
Un petit avant-goût :
« Mais plus on accepte de liberté dans les affaires, plus il faut bâtir de prisons pour ceux qu’elles défavorisent. »
Eduardo Galeano, « Les veines ouvertes de l’Amérique Latine », introduction

« Les touristes adorent photographier les indigènes de l’altiplano avec leurs costumes typiques, mais ils ignorent que ces derniers leurs furent imposés par Charles III à la fin du XVIIIe. Les vêtements féminins que les Espagnols obligèrent les Indiennes à porter étaient calqués sur les costumes régionaux des paysannes d’Estrémadure, d’Andalousie et du Pays Basque, de même que la coiffure divisant les cheveux par une raie centrale fut ordonnée par le vice-roi Toledo. »
Eduardo Galeano, « Les veines ouvertes de l’Amérique Latine », première partie, « La richesse de la terre engendre la pauvreté de l’homme », chapitre 1

« Et que dire de la gratitude que l’Amérique latine doit à Coca-cola, à Pepsi-cola ou à Crush, qui touchent de leurs concessionnaires des fortunes pour des licences industrielles permettant de dissoudre une pâte dans de l’eau et de la mélanger avec du gaz et du sucre ? »
Eduardo Galeano, « Les veines ouvertes de l’Amérique Latine », deuxième partie, chapitre 2

« Rien n’est plus "en ordre" qu’un cimetière. La population est donc devenue immédiatement l’ennemi intérieur. Le moindre signe de vie, de protestation ou de simple doute constitue, selon la doctrine militaire de la sécurité nationale, une dangereuse provocation.
Des mécanismes complexes de prévention et de répression ont été mis en place.
Un rationalisme profond se cache sous les apparences. Pour être efficace, la répression doit paraître arbitraire. Si l’on excepte la respiration, toute activité humaine peut constituer un délit. »
Eduardo Galeano, « Les veines ouvertes de l’Amérique Latine », « Sept années ont passé »
Voilà qui ne devrait pas plaire qu'à toi...

_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
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Message par Marie Dim 22 Jan - 19:17

nouvelle - Eduardo Hughes Galeano 41qnhf10

Le livre des étreintes
Editions La différence
traduit de l'espagnol
par Pierre Guillaumin

Se souvenir: du latin re-cordis, repasser par le coeur"
Ce morceau de phrase, illustré par un petit dessin de l'auteur, comme sont illustrés tous les chapitres suivants, débute ce livre inclassable.
Auparavant, une note du traducteur Pierre Guillaumin, à propos du titre original "el libro de los abrazos" , que je recopie texto, car elle traduit bien ce qui suit !
Le mot français " étreinte", avec sa connotation violente ou charnelle, ne restitue pas exactement la chaleureuse sympathie d'accueil de l'"abrazo", ce geste amical si fréquent en Amérique latine , qui vous fait prendre dans vos bras toute personne que vous avez du plaisir à rencontrer ou de la tristesse à quitter, tout être humain auquel vous souhaitez manifester l'élan fraternel de votre coeur.
Mais, après tout, il y a de la violence et une indéniable participation charnelle dans les textes qu'on va lire qui sont autant d'évocations d'amis dont l'auteur partage les douleurs, les joies et les espérances, de souvenirs qui le ramènent à sa propre histoire ou à celle de son pays de scènes vécues ou rapportées dont il veut témoigner, de prises de position d'un compagnon de tous les exclus du monde"
.
Uruguayen exilé en Argentine, puis en Espagne pendant la dictature militaire, auteur de l'ouvrage "Les veines ouvertes de l'Amérique latine", Galeano offre là, donc, une somme de tous petits chapitres ,récits, contes, poèmes, très courts, mais quelquefois divisés en plusieurs épisodes.
Ca ne se raconte pas, ça se lit par petits bouts, chaque chapitre, illustré, je l'ai dit, a un titre dont je donne quelques exemples :
- La réalité est complètement folle
-La faim ("le système qui ne donne pas à manger ne donne pas non plus à aimer")
-La démémoire
-Les murs ont la parole, etc., etc.
Et ces quelques lignes en disent quelquefois beaucoup plus, comme souvent d'ailleurs quand les mots écrits rencontrent notre propre sensibilité que bien des pages lues auparavant...

Un extrait:

Les puces rêvent de s'acheter un chien et les rien rêvent de ne plus être pauvres, ils rêvent d'un jour magique où la chance tomberait du ciel, en pluie drue ; mais la bonne fortune n'est pas tombée hier, elle ne tombera pas aujourd'hui, ni demain, ni jamais, elle ne tombe même pas en pluie fine, bien que les rien la réclament, bien que leur main gauche les démange, bien qu'ils se tiennent debout sur leur seul pied droit, ou commencent l'année avec un balai neuf.
Les rien: les enfants de personne, maîtres de rien
Les rien : les personne, les niés, ceux qui courent en vain, ceux qui se tuent à vivre, les baisés, les éternels baisés :
Qui ne parlent pas une langue mais un dialecte
Qui n'ont pas de religion mais des superstitions.
Qui ne sont pas artistes mais artisans.
Qui n'ont pas de culture, mais un folklore.
Qui ne sont pas des êtres humains mais des ressources humaines.
Qui n'ont pas de visage mais des bras.
Qui n'ont pas de nom, mais un numéro.
Qui ne figurent pas dans l'histoire universelle mais dans la presse locale.
Les rien qui ne valent pas la balle qui les tue."


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Message par Chamaco Mer 1 Fév - 19:35

nouvelle - Eduardo Hughes Galeano 36466210

Les veines ouvertes de l'Amérique latine.

"Voici l’histoire implacable du pillage d’un continent. Nous suivons, siècle après siècle, et dans le moindre détail, la honte du mécanisme qui a conduit à une dépossession ruinant les nations d’un des espaces les plus prometteurs de l’univers.
On ne s’étonnera pas que les multinationales, monstres hybrides des temps modernes, opèrent avec cohésion en cet ensemble d’îles solitaires qu’est l’Amérique latine. Chaque pays plie sous le poids conjugué de ses divisions sociales, de ses armées, de ses polices qui l’enfoncent dans l’échec politico-économique et une plus profonde misère.
Des forces nouvelles se lèvent. Phénomène de grande conséquence, l’Église, longtemps oppressive, reprend la tradition évangélique des premiers âges et devient porteuse d’espérance : elle est résolument aux côtés des pauvres et des persécutés.
Cet ouvrage essentiel sur l’exploitation de l’homme par l’homme est à l’échelle d’un continent. Ce livre, un grand classique, est lu et commenté dans les universités nord-américaines ; il dénonce le talon d’Achille des États-Unis : l’Amérique centrale et du Sud."

BIOGRAPHIE DE EDUARDO GALEANO
Eduardo Galeano est né en 1940 à Montevideo (Uruguay). À quatorze ans, il entre comme débutant au journal socialiste El Sol, où il brosse des caricatures d’hommes politiques tout en assurant la chronique des arts et du théâtre. À vingt ans, il devient chef de rédaction au grand hebdomadaire Marcha et, en 1964, directeur du journal Epoca à Montevideo. Expulsé en 1973 d’Uruguay, considéré longtemps comme la Suisse oligarchique de l’Amérique latine, aux structures immuables et invisibles, il fonde à Buenos Aires la revue Crisis qu’il dirige de 1973 à 1976.

« Je crois, dit-il, que le journalisme est une forme de littérature. Une bonne partie de la littérature latino-américaine peut se lire dans les revues et dans les journaux – depuis José Marti jusqu’à Rodolpho Walsh. Elle est la chronique de notre temps, comme l’essai et le roman. »

En 1976, Eduardo Galeano se voit obligé de quitter l’Argentine ; il figurait sur la liste des Uruguayens condamnés à mort à Buenos Aires. Journaliste, il vécut en exil à Barcelone, avant de rejoindre l’Uruguay.

D'après Terre Humaine Poche
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Message par Chamaco Dim 26 Fév - 17:40

Les veines ouvertes de l'Amerique latine

Le livre de Galeano met le doigt sur le désastre économique que fut pour la Bolivie l’exploitation du minerai d’argent, dans les mines du Potosi, à compter du  XVIII° siècle.
Après un énorme accroissement démographique la Bolivie rétrograda dans l’ordre des nations d’Amérique du Sud,, ses temples et ses palais tombèrent en ruine, le pays connut huit millions de morts dans la population indienne qui fournissait les ouvriers des mines. « Après avoir alimenté la fortune des nations les plus riches...Potosi est une ville pauvre de la pauvre Bolivie …. (Potosi) reste une plaie ouverte dans le système colonial américain : une accusation toujours vivante»
On découvre également dans ce livre le manque d’humanité dont furent victimes les indiens « les indiens étaient des païens, ils ne méritaient pas une autre vie »
Galeano établit une étude économique et sociologique du pillage dont fut victime l’Amerique latine, pillage qui enrichit un temps les espagnols mais les plongea également dans un tres grand marasme les siècles suivants, la punition en quelque sorte. Cet ouvrage offre une large part à l’histoire, l’économie, sa lecture permet de comprendre les révoltes qui ont agité ces pays jusqu’à nos jours et éclairent l’ingratitude du peuple américain qui au lieu de fournir de l’aide tente d’établir des frontières infranchissables à la pauvreté (prendre sans rien donner)...

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Message par bix_229 Dim 26 Fév - 18:11

Galeano, écrivain d' utilité publique.
J' ignorais qu' il était mort en 2015.
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Message par Chamaco Dim 9 Avr - 18:17

Un petit ajout :
Le pillage le plus connu de l'Amerique latine fut celui de l'or, mais il ne fut pas le seul,ainsi de l'argent (Potosi), avec celui de l'or ce furent des tonnes qui quittèrent les mines vers l'Europe, les pays d'Amerique n'en profitèrent pratiquement pas, l'Espagne enrichit d'autres pays ce qui donna un dicton d'époque :"Les espagnols possédaient la vache, mais d'autres buvaient son lait". Autres richesses :le sucre,le caoutchouc,le cacao,le coton, le café, à chaque fois grâce à l'esclavage les colons epuisèrent les terres, exportèrent les produits pour enrichir les pays européens...
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Message par Bédoulène Dim 9 Avr - 18:42

un dicton bien réaliste !

merci Chamaco

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Message par Chamaco Lun 10 Avr - 19:39

oui c'est un livre super documenté qui nous amène de Colomb (mais aussi du précolombien) aux années 1970 à travers les révolutions de ce continent... nouvelle - Eduardo Hughes Galeano 2126147062 Super livre
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Message par Chamaco Ven 21 Juil - 13:04

Une nouvelle fois, mais on ne le dira jamais assez : si on veut se faire une idée de l'Amerique Latine ce livre est à lire absolument, 40 ans plus tard il est d'une actualité brulante (Cuba, Venezuela et autres)...
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