Alice Ferney
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Re: Alice Ferney
Des avis contradictoires, quand même, qui vont peut-être déclencher des lectures? Qui s'y colle?
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Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8414
Date d'inscription : 02/12/2016
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Localisation : Roanne
Re: Alice Ferney
En ce moment tout mon temps de lecture est pour la fac, mais après, pourquoi pas ? Depuis le temps que j'entends parler de ses livres !
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 28
Re: Alice Ferney
Polopp !
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15616
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: Alice Ferney
Deux innocents
Claire enseigne dans un établissement privé spécialisé pour enfants ayant un retard mental. Sans réelle formation, mais catholique fervente et pleine d’une générosité parfois débordante, elle est accusée de gestes inappropriés vis-à-vis de Gabriel, 17 ans, la dernière recrue. Elle accumule les bourdes pour aggraver son cas, elle se croit assez forte pour s’en sortir elle-même. Et quand Gabriel se suicide, l’affaire prend une autre ampleur…
Il m’a été difficile de m’attacher à cette bécasse dégoulinante de bons sentiments qui s’enferre dans une situation kafkaïenne. Ce d’autant plus que les personnages ne manquent pas de caricature, curieusement associée à des incohérences psychologiques conséquentes. C’est souvent longuet et parfois long, ce qui fait que le suspense fait un peu flop. Seule la dernière ligne m’a fait rire dans son astucieuse pirouette littéraire.
Claire enseigne dans un établissement privé spécialisé pour enfants ayant un retard mental. Sans réelle formation, mais catholique fervente et pleine d’une générosité parfois débordante, elle est accusée de gestes inappropriés vis-à-vis de Gabriel, 17 ans, la dernière recrue. Elle accumule les bourdes pour aggraver son cas, elle se croit assez forte pour s’en sortir elle-même. Et quand Gabriel se suicide, l’affaire prend une autre ampleur…
Il m’a été difficile de m’attacher à cette bécasse dégoulinante de bons sentiments qui s’enferre dans une situation kafkaïenne. Ce d’autant plus que les personnages ne manquent pas de caricature, curieusement associée à des incohérences psychologiques conséquentes. C’est souvent longuet et parfois long, ce qui fait que le suspense fait un peu flop. Seule la dernière ligne m’a fait rire dans son astucieuse pirouette littéraire.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8414
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Des Choses à lire :: Lectures par auteurs :: Écrivains européens francophones
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