Françoise Sagan

Il est un peu hystérique , le personnage. Alors pour le plaisir de la forme peut-être pas. Mais pour le plaisir du fond, je dirais oui. Un des trois à lire sans doute. De par la spécificité du sujet ? Pour voir comment Sagan pose la question de la responsabilité ?

J'ai découvert Sagan en lisant La Femme fardée. A l'époque j'entendais toujours parler de Sagan comme d'un écrivain de référence, et je me souviens avoir terminé le bouquin en disant "quoi, Sagan, c'est ça ?". Bonjour Tristesse m'a laissée indifférente, quand aux quelques romans que j'ai pu lire par la suite, ils m'ont confortée dans mon opinion : Sagan c'est de l'eau de rose.

Bien sûr c'est de l'eau de rose.
Bienvenue Zorglub, qui tout comme moi peine sur Eco : persévérance.

Comme je tente de l'induire depuis le début de ce fil, Sagan est une eau de rose. Qui a sa beauté.

J'aime me remémorer ma foi d'enfant, c'est pourquoi je creuse autant chez Sagan, et je suis contente que cela t'ai levé l'envie d'inscrire ton champ de reception. Au plaisir de te lire sur tes propres fois du coup, Zorglub. schuss hu dià