Marie-Martine Muller
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Marie-Martine Muller
Martine Marie Muller
Née en 1954
Née en 1954
Martine Marie Muller [/b]est une écrivaine français d'origine alsacienne et béarnaise. Elle est actuellement professeur de lettres dans un lycée de région parisienne, Notre-Dame de Sannois.
Martine Marie Muller publie son premier roman, " Terre-Mégère ", en 1993 aux Éditions Robert Laffont et entre à l'École de Brive.
En 2017, elle publie " Nuage bleu sur ciel de craie" aux éditions Presse de la cité.
Tous ses romans témoignent d'une force hors du commun.
Elle est membre de l'École de Brive depuis 1993. Elle est également chroniqueuse dans l'hebdomadaire Pèlerin.
En août 2013, le maire de Veules-les-Roses (Normandie) a inauguré un quai sur le bord de la plage: ce quai a été baptisé Quai des Amériques, du nom du roman de Martine Marie Muller (2008). Celle-ci a été la marraine de l'événement
En 2013, elle a cosigné l'ouvrage: L'onde et l'eau. Le spectacle de l'eau en mouvement. Poème photographique. L'ouvrage, porteur du label Normandie Impressionniste 2013, regroupe les photographies de Frédéric Malandain; Martine Marie Muller signe les poèmes accompagnant les photographies.
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Je voulais donner un petit coup de chapeau à l'Armistice de 1918 avec une fiche sur le roman de Marie-Martine Muller Les filles de la section caméléon un roman inspiré de faits réels peu connus.....
3 août 1914. Le premier mort français de la guerre ne fut pas le fait d’un Allemand, mais d’une femme qui repoussait les assauts de son mari ! Sous le nom de Colline La Chance, celle-ci se réfugie à Amiens. Et elle sera la chance de la Citadelle, village abandonné que vont peupler deux cents femmes rejetées, filles mères, veuves, qui vont former la section Caméléon, des expertes dans l’art naissant du camouflage qui doit épargner la vie des soldats. C’est la vie de cette communauté d’ouvrières solidaires, gouailleuses, émouvantes que l’on découvre autour de Colline.
Une histoire vraie, magnifique, qui célèbre des oubliées de l’Histoire. ( résumé d'un membre de babélio)
C'est après un début digne de Zola, qu'ouvre vraiment le roman de ces femmes réprouvées pour l'époque et réunies un peu par hasard et par le malheur; un jour on a l'idée un peu folle de "déguiser" le paysage : ce sont les débuts de l'aviation, qui effectue des ravages sur les troupes au sol; or, démunis d'instruments de vue ( impossible au volant d'un avion d'avoir le temps d'ajuster des jumelles !)
les pilotes se fient à leur vue et effectuent plusieurs passages de reconnaissance, de jour..... est-il possible de camoufler avec des bouts de bois des toiles peintes, comme un décor de théâtre à très grande dimension, les tranchées, les postes de combat, voire les positions de repli, hôpitaux, cantine, etc, où se trouvent les hommes ??
Alors, sous la direction du décorateurs de théâtre, de peintres, toute une petite armée de femmes vont sans relâche peindre, déployer des tissus, clouer des bouts de bois... et ça marche !
C'est un roman qui ne se lâche pas, très dur, et qui ne se limite pas à la guerre ; c'st authentique de bout en bout; passionnant;
\Mots-clés : #historique #premiereguerre
Elisabeth-Louise- Messages : 156
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