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Oser Warszawski

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Message par Bédoulène Sam 3 Déc - 17:03

Oser Warszawski (1898-1944)

 Oser Warszawski  Ozer_w10

Oser Warszawski (ou Oyzer Varshavski; Warszawski ), né le 15 avril 1898 à Sochaczew en Pologne et décédé 10 octobre 1944 au camp de concentration d'Auschwitz, est un écrivain et critique d'art juif de langue yiddish, qui vécut les dernières années de sa vie à Paris.
(source wikipedia)

Oeuvres traduites en français :

Les Contrebandiers : Page 1
On ne peut pas se plaindre ou Résidences : Page 1
La grande fauchaison : Page 1
L'uniforme : Page 1
L'arrière-Montparnasse; gouaches, aquarelles et dessins de l'auteur
Marc Chagall - le shtetl et le magicien

màj le 6/11/2017






Les contrebandiers (ce livre fait partie d’une trilogie mais peut-être facilement lu indépendamment car les personnages ne sont pas les mêmes)

Le récit se déroule au cours de la Première guerre mondiale dans une petite ville de Pologne où vit notamment une communauté Juive, leur quartier :  le » shtetl ».

Les Allemands occupent le pays et les gens modestes  vivent de plus en plus difficilement sous les astreintes et restrictions drastiques imposées. Comment s’en sortir ? A l’initiative de Pantl, charretier de métier, les hommes de la communauté décident de faire de la contrebande. Ils deviendront habiles, ingénieux  à tromper les postes de surveillance placés sur le chemin de Varsovie où ils vendent leurs produits (farine le plus souvent mais aussi viande, alcool..). C’est de nuit que les « voitures » se déplacent au rythme des sabots des chevaux, par tout temps.

Ces voyages pour être périlleux (notamment les cruels frères Gurtchisky véritables truands) n’en sont pas moins cocasses.  Pour passer plus facilement les hommes se font accompagner des «  shiskés » (prostituées non-juives) qui jouent de leurs charmes auprès des allemands et dont  les femmes légitimes  voient bien sur l’arrivée au shetetl  d’un mauvais œil.

Tous s’étaient réjouis du départ du précédent commandant allemand « Aman » (en réf. A Haman) :

« Le shtetl, un beau jour, souffla un peu. Les boulangers, les fabricants d’eau-de-vie, de savon, les marchands de cigarettes, les taverniers, les sans-travail et en outre toute la gamme possible des divers contrebandiers, tout le monde rendit grâce à l’Eternel à qui rien n’échappe, même pas le moindre vemisseau : la fin d’Haman était venue, et ce n’était pas trop tôt. »

Pelté revient de russie où il était le fournisseur du Tsar Nicolas II, il raconte les « petits bonshommes rouges avec des drapeaux, avec des banderoles rouges comme eux et criant : « liberté ! liberté ! »
De retour de chaque expédition les jeunes se délassent dans leur association la  » Bilbothèque » mais ces jeux et rencontres ne sont pas du goût des religieux et des notables qui interviennent auprès du district allemand pour fermer l’association, s’en suit une révolte de ces pauvres gens qui vont contraindre le rabbin à intervenir auprès des allemands pour la réouverture du lieu.

L’ambiance délétère rend difficile les rapports entre les « modestes » et les nantis.  Les contrôles se resserent,  la méfiance s’installe ; mais un évènement en Allemagne va bouleverser le quotidien du shtetl : l’abdication de Guillaume II. Les allemands quittent le village.

L’un des « shaïguets » Yanek, lequel a déjà fait son armée,  prend le contrôle de la situation, il récupère les armes des allemands  et les distribue. Puis sur la place du marché il déploye un drapeau portant le sigle « OMP ».

Le shtetl apprit plus tard que cela signifiait "Organisation militaire Polonaise ». Mais des rumeurs arrivent d’autres villages, bien peu réjouissantes ; qu’allait-il se passer ? Yanek  « commandant en chef » ordonne : Dispersion générale ! Rentrez chez-vous, etc.
Cependant un évènement vient les réjouir ; le mariage de Faïfké avec Raithl est source de joie dans le shtetl. De plus avec l’annonce des fiancailles d’un de ses fils Pantl clame que la contrebande, la vraie va commencer !

«  Vous entendez ? Moi, Pantl, j’vous dis comme ça : la contrebande, ça fait que commencer…La vraie contrebande…Parce que, jusqu’à maintenant, c’était seulement un truc pour les gosses…C’était pas sorcier de faire de la contrebande…Mais maintenant, les gars…
«  Vous entendez ? Moi, Pantl, j’vous dis comme ça : c’est maintenant qu’on la commence, la vraie contrebande, oui la vraie… »


Une bonne lecture qui relate le quotidien d’ un quartier juif en Pologne pendant la Grande Guerre,  l’obligation de débrouillardise pour ces gens démunis, des personnages frustres, violents  et naïfs à la fois. Ils utilisent un langage généreux en images et en insultes. Ils sont bouleversés par une chanson, une danse, le clinquant. Il faut noter aussi l’incompréhension entre les jeunes qui ne respectent plus les lieux du culte ni les cérémonies et les anciens toujours attachés aux traditions et que le passé retient. Le récit se déroule  sur deux lieux : à Varsovie dans un quartier précis où vendre les marchandises et dans le shtetl, cela renvoi à un univers fermé. Le reste du monde n’est représenté que par la présence des allemands et le retour de Russie de l’un d’eux et il n’est intéressant que s’il influe sur leur vie.

"message rapatrié"


mots-clés : #communautejuive #premiereguerre #traditions


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Message par Bédoulène Sam 3 Déc - 17:07

 Oser Warszawski  51ljo810

La grande fauchaison (2ème livre de la trilogie)

Le récit se déroule dans un bourg Polonais sous l’occupation Russe et pendant la Grande Guerre, du départ des réservistes,  Polonais et Juifs, jusqu’à la débacle des armées Russes qui traversent le bourg de Gouranè.

Situation : « La Légion Pulawski aussi appelée 1ère Légion, a été crée en août 1914 à l'initiative du Grand duc Nicolas Nicolaïevitch, qui souhaitait une réunification de la Pologne sous le sceptre russe mais aussi rallier les polonais des territoires autrichiens et allemands pour combattre aux côtés du Tsar contre les troupes du Kaiser et de l'empereur d'Autriche. » (wikipedia)

Les caractères des habitants de ce bourg, qu’ils soient Juifs, Russes ou Polonais sont traduits sans aucune aménité. Les haines entre chrétiens et juifs, entre riches et pauvres sont vivaces tout au long du récit.
L’auteur nous montre des mendiants, des paysans, des commerçants, sur lesquels  on a du mal à s’apitoyer,  mais à regretter leur obscurantisme qu’entretient la religion.

Dans la naissance d’un enfant anormal que sa mère reconnait comme « l’enfant de la guerre » l’auteur montre certainement son aversion pour  la guerre.

Dès le départ des réservistes, les « bergers » le Rabbin et le Curé se sauvent par le train, la nuit, abandonnant leur « troupeau d'âmes ». Lesquelles âmes continuent à prodiguer « longue vie à lui » pour l’un, « béni soit-il » pour l’autre.

L’ambiance est délétère, il faut au chef de la police trouver les espions,  ce sont eux qui font perdre des batailles, car qui oserait penser que les soldats du Tsar sont mal vêtus, mal équipés…. ?
La débacle déverse dans les rues du bourg les armées défaites, les habitants effrayés courent se cacher  dans leur maison. La garde arrière, celle des Cosaques abandonne le bourg à l’ennemi.

Encore une fois j’ai trouvé une belle écriture imagée et poétique malgré le contexte.

Extraits

« Pan Ludwig, le négociant, brûlait d’une sainte colère contre Chaïé Weintraub, son voisin d’en face ; il ne se calmait jamais. Après son père, bénie soit sa mémoire, doté de champs et de forêts, de propriétés foncières innombrables, après ses aïeux, bénie soit leur mémoire, jusqu’ à la plus reculée et la plus obscure des générations, tous portaient cette haine de la famille maudite de Chaïé Weintraub. »

A propos de l’indic : « Au moment où l’on remua la terre, on trouva – outre des serpents gras et peut-être vénimeux – beaucoup de squelettes pourris d’hommes avec des croix rouillées à l’endroit du cou. Petits et grands coururent avec la peur au ventre et une curiosité à peine dissimulée voir les serpents et les hommes. Au heder, Graine de potence surpassa alors tous les bandits-à-cent-têtes de plusieurs dizaines de crânes. »

« Il n’y a pas de fin au nombre de tonneaux. La fosse se transforme en rivière qui déborde sur les pavés, s’écoule dans les caniveaux. Des hommes se jettent à plat ventre, tirent la langue pour lamper le précieux liquide. Paysans, Juifs, tous accourent avec des récipients. »

« Et ce don de Dieu est sa jalousie forcenée à l’égard de Moïshé-Yankev et de Zilberbauguer qu’il cultive depuis des années, depuis qu’ils sont devenus l’un premier et l’autre deuxième conseiller communautaire. Et chaque fois que s’allume en lui le brasier rouge de cette jalousie qui commence, pareille à un ver aveugle, à lui grignoter les entrailles, il verrouille ses portes, ouvre les armoires et commence à compter les liasses accumulées dans ses tiroirs. »

« Les voyant passer, se tenant par le bras, les femmes des réservistes rappelés et celles qui étaient debout derrière leurs tristes étals se les montraient du doigt et crachaient à leur passage. Les Grinberg passaient, chapeautés et dignes, faisant semblant de ne rien voir. »

« Hum, hum, c’est ce que disent tous les juifs – mais tu sais bien Heniek que personne ne te compte parmi eux… Monsieur le curé a même dit que…oui…on savait tous… que ton père était presque un chrétien, presque. C’est pour ça que tu n’es pas obligé de faire ce que tout le monde va faire ; imiter les Juifs, ces usuriers, ces traîtres de toujours ? Moi…moi je vais… »


(message rapatrié)
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Message par topocl Sam 3 Déc - 17:09

Tu fais bien d'en parler, Bédoulène, je l'avais noté en son temps...

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Message par Bédoulène Sam 3 Déc - 17:11

L'UNIFORME 3ème livre de la trilogie

Quelle profondeur dans cette cinquantaine de pages !

L'uniforme : celui abandonné dans la rue se mouvant au gré de l'air ? Celui témoin d'un passé, sorti du placard ? Celui qui porte médailles ? Ou celui ensanglanté dans lequel se meurt le soldat ?

Ce vêtement c'est l'honneur, la gloire de la patrie.

L'auteur nous décrit la vie quotidienne d'une famille de Berlin pendant la guerre, une famille convaincue de la justesse de cette guerre parce que l'Allemagne peut et doit dominer les autres pays, c'est son destin ! Le chef de famille fait preuve d'une abnégation totale envers la Patrie et son chef suprême : le Kaiser ! Il s'est démuni de ses avoirs pour l'emprunt de guerre et ses trois fils sont sur le front. Que peut-¬il faire de plus ?.............................s'engager lui aussi.

Dans Berlin affamée les familles amputées survivent au rythme du rationnement, la détresse est commune mais supportée avec cette fierté,  cette rigueur que porte en lui le peuple Allemand.

La guerre continue sa moisson d'hommes, à Berlin certains commencent à s'interroger sur son dénouement d'autant que l'empereur d'un pays voisin est destitué mais pour cette famille là, le Kaiser est une icône. Alors quand il abdique et s'enfuit c'est l'effondrement physique et mental du chef de famille déjà éprouvé par les deuils et son passage au front. Ce personnage a le regret d'un temps disparu et ne reconnait pas sa patrie où s'invitent des étrangers.

L'auteur décrit l'horreur de la guerre sur le front et surtout pour les civils à Berlin, par la profondeur des sentiments, l'oralité n'est dans ce récit qu'accessoire.  Il me semble aussi y reconnaître le regard du photographe et du peintre qu'il est.

Le parcours de Warszawski est analysé en fin de livre par la traductrice Rachel Ertel ; c'est intéressant car elle relate les mouvements culturels, le modernisme notamment dans les grandes villes européennes et aussi aux USA.

Extraits :

"Après le passage des troupes, un uniforme était resté sur le pavé de la ville. Aux fils de ses broderies scintillait encore la rosée des cavaliers de la nuit. Piétiné, tout fripé, il se redressa. D'une grande goulée d'air il regonfla sa poitrine plate qui durcit, s'enfla comme une montagne et fit saillie. Les manches et les jambes du pantalon, semblables à des troncs creux, commencèrent alors à se mouvoir en mesure. Il se mit à marcher, et la nuit alentour s'émerveilla de ce vide en mouvement.


"Comme la plupart d'entre eux, un grand chien noir avait gonflé ses babines et son ventre, se préparant à faire entendre sa voix des grands jours quand les bribes éparses du chant des autres s'égrenaient dans les airs comme les vibrations d'une batterie. Personne, hélas, parmi ceux qui l'entouraient, n'avait remarqué le savoir-faire de ce chien-là, dont le corps avait soudain extraordinairement raccourci, gagnant en largeur ce qu'il avait perdu en longueur. Son museau s'étant coincé dans les jupes d'une dame entre deux âges, et cette position n'étant guère plaisante, d'autant plus que la lumière s'y faisait rare et l'atmosphère confinée, il tendait la gueule vers le haut, comme un tuyau. Il s' imaginait qu'ainsi il pourrait mieux rugir et son petit maître serait content de lui. Le chien n'arriva même pas au bout de sa première note. Une douleur terrible l'envahit et lui coupa le souffle. Il laissa glisser sa gueule ouverte le long de la jambe molle de sa voisine, pousser par l'obscur désir d' exhaler son souffle ultime à l'air libre. Il n'y parvint pas davantage : ses pattes vacillèrent, elles refusèrent de porter plus longtemps son grand corps noir."

"La désolation s'était emparée des grands chevaux d'artillerie et elle pesait sur leur dos. Leur tête pendait de ce côté comme une langue inutile, et à ceux qui les conduisaient ils posaient une question muette : "tout cela va-t-il durer encore longtemps ?" Et comme ils ne recevaient aucune réponse, les croupes couvertes de plaies enflaient, gonflaient - ces croupes qui depuis les semailles sanglantes portaient les fardeaux rouges de minuit, un présent pour la ville... Et voilà que leurs cavaliers eux aussi inclinaient la tête, obliquement."

"Du porche des maisons surgissaient en grand nombre des hommes âgés vêtus d'uniforme d'emprunt qui ne leur allaient certes pas comme à des jeunes gens. Dans les rues, depuis longtemps silencieuses, on entendait le bruit des serrures et des portes qui se fermaient, comme un lointain craquement d'os."

"Lorsqu'un enterrement passait dans la rue, les gens regardaient avec envie ceux qui s'en revenaient, munis d'un petit sac de rations supplémentaires."

"Elle tâta les jambes de Frida, et elle ne se contentait plus de hocher la tête : elle l'agitait en tout sans, contemplant, extasiée, ces deux colonnes de chair qui se métamorphosaient à vue d'oeil en une merveilleuse carte de ravitaillement et, Ô magie, Ô splendeur, en un grenier à pain,  à céréales, à charbon...!"

"En un rien de temps il sombra dans la confusion, commença à jeter par terre et à piétiner les rouleaux de gaze et de charpie. Il se démenait, secouait la table pour en faire descendre son fils, lequel avait déjà rendu une jambe au ciel et se traînait, avec son moignon sanglant, quelque part dans les tréfonds de la démence."


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Message par Bédoulène Sam 3 Déc - 17:12

Il le mérite Topocl !

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