André Dhôtel
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André Dhôtel
André Dhôtel, né le 1er septembre 1900 à Attigny (Ardennes) et mort le 22 juillet 1991 à Paris, est un écrivain français, à la fois romancier, conteur et poète, ainsi qu'un scénariste.
Connu du grand public par le roman Le Pays où l'on n'arrive jamais, prix Femina 1955, il est l'auteur d'une œuvre abondante et singulière, où s'exprime un merveilleux proche du quotidien, dans lequel le rapport à la nature joue un grand rôle. Il figure encore aujourd'hui parmi les auteurs français au programme de lettres françaises contemporaines du collège, sous forme de courts extraits.
source et plus : wikipedia.org
voir aussi : latribudhotel.canalblog.com
Bibliographie :
- Spoiler:
- Romans
Campements, Paris, Gallimard, 1930 ; rééd. 1987.
Le Village pathétique, Paris, Gallimard, 1943 ; rééd. coll. « Folio », 1975.
Nulle part, Paris, Gallimard, 1943 ; rééd. Paris, Pierre Horay, 1956, 1977 ; Rombaldi, 1979.
Les Rues dans l’aurore, Paris, Gallimard, 1945.
Le Plateau de Mazagran, Paris, Éditions de Minuit, 1947 ; rééd. 1960,1977.
David, Paris, Éditions de Minuit, 1948 ; rééd.Paris, Marabout, 1979
Ce lieu déshérité, Paris, Gallimard, 1949 ; rééd. 1997.
Les Chemins du long voyage, Paris, Gallimard, 1949 ; rééd. coll. « Folio », 1984.
L’Homme de la scierie, Paris, Gallimard, 1950.
Bernard le paresseux, Paris, Gallimard, 1952 ; rééd. coll. « L'Imaginaire », 1984.
Les Premiers Temps, Paris, Gallimard 1953 ; rééd. 1987.
Le Maître de pension, Paris, Grasset, 1954.
Mémoires de Sébastien, Paris, Grasset, coll. « Les Cahiers verts », 1955.
Le Pays où l’on n’arrive jamais, Paris, P. Horay, 1955 ; rééd. Paris, J’ai lu , 1960 ; Paris, Gallimard, 1975.
Le Ciel du Faubourg, Paris, Grasset 1956 ; rééd. Paris, Grasset, coll. Les Cahiers rouges, 1984.
Dans la vallée du chemin de fer, Paris, P. Horay, 1957.
Le Neveu de Parencloud, Paris, Grasset, 1960.
Ma chère âme, Paris, Gallimard, 1961 ; rééd. Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2003.
Les Mystères de Charlieu-sur-Bar, Paris, Gallimard, 1962 ; rééd. Rombaldi, 1979.
La Tribu Bécaille, Paris, Gallimard, 1963 ; rééd. 1977.
Le Mont Damion, Paris, Gallimard, 1964.
Pays natal, Paris, Gallimard, 1966 ; rééd. Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2003.
Lumineux rentre chez lui, Paris, Gallimard, 1967 ; rééd. Phébus, coll. « Libretto », 2003.
L'Azur, Paris, Gallimard, 1968 ; rééd. coll. « Folio », 2003.
L'Enfant qui disait n'importe quoi, Paris, Gallimard, 1968 ; rééd. coll. « Folio Junior », 1978.
Un jour viendra, Paris, Gallimard, 1970 ; rééd. Paris, Phébus, Libretto, 2003.
La Maison du bout du monde, Paris, P. Horay, 1970.
L’Honorable Monsieur Jacques, Paris, Gallimard, 1972.
Le Soleil du désert, Paris, Gallimard, 1973 ; rééd. 1997.
Le Couvent des pinsons, Paris, Gallimard, 1974
Le Train du matin, Paris, Gallimard, 1975.
Les Disparus, Paris, Gallimard, 1976.
Bonne nuit Barbara, Gallimard, 1978.
L’Île de la croix d’or, Paris, Gallimard, 1000 soleils, 1978.
La Route inconnue, Paris, Phébus, 1980.
Des trottoirs et des fleurs, Paris, Gallimard, 1981.
Je ne suis pas d’ici, Paris, Gallimard, 1982.
Histoire d’un fonctionnaire, Paris, Gallimard, 1984.
Vaux étranges, Paris, Gallimard, 1986.
Lorsque tu reviendras, Paris, Phébus, 1986.
Nouvelles, récits et contes
Du Pirée à Rhodes, Le Rouge et le noir, 1928 ; rééd. Rezé, Séquences, 1996 (suivi de Printemps grec, préface de Jean Grosjean).
Ce jour-là, Paris, Gallimard, 1947.
La Chronique fabuleuse, Paris, Éditions de Minuit, 1955 ; rééd. Paris, Mercure de France (éd. augmentée), 1960 ; rééd. 2000.
L'Île aux oiseaux de fer, Paris, Fasquelle, coll. « Libelles », 1956 ; rééd. Paris, Grasset, coll. « Cahiers rouges », 2002.
Nulle part, Paris, P. Horay, 1957.
Les Voyages fantastiques de Julien Grainebis, Paris, P. Horay, 1957 ; 2003
Idylles, Paris, Gallimard, 1961 ; coll. « Folio », 2003.
La Plus belle main du monde, Paris, Casterman, coll. « Plaisir des contes », 1962.
Le Robinson de la rivière, Paris, Casterman, coll. « Plaisir des contes », 1962.
Les Lumières de la forêt, Paris, Fernand Nathan, 1964.
Un soir, Paris, Gallimard, 1977.
La Merveilleuse Bille de verre, Paris, Robert Laffont, 1980
Comment Fabien regarda l’aurore, Paris, Clancier-Guénaud, Les Premiers temps, 1982.
La Princesse et la lune rouge, Paris, Casterman, 1982.
Le Bois enchanté et autres contes, Paris, Hachette, 1983.
Rhétorique fabuleuse, Paris, Garnier, 1983 ; rééd. Cognac, Le Temps qu'il fait, 1990.
La Nouvelle Chronique fabuleuse, Paris, P. Horay, 1984.
Pierre Marceau (Mesures, no 2, 15 avril 1940), Paris, Mont Analogue, 1993
Un adieu, mille adieux, Paris, La bibliothèque Gallimard , 2003
Beauté, Paris, Phébus, coll. « Libretto », 2004
D’un monde inconnu, ill. de Daniel Nadaud, Saint-Clément-de-Rivière, Fata Morgana, 2012.
Poèmes
Le Petit Livre clair, Arras, Le Rouge et le noir, 1928 ; Montolieu, Deyrolle & Théodore Balmoral, 1997.
La Chronique fabuleuse, Paris, Mercure de France, 1960
La Vie passagère, Paris, Phébus, 1978.
Poèmes comme ça, Cognac, Le Temps qu’il fait, 2000 (préface de Jean-Claude Pirotte).
Essais
L'œuvre logique de Rimbaud, Mézières, Éditions de la Société des écrivains ardennais, 1933.
Rimbaud et la révolte moderne, Paris, nrf Gallimard, 1951.
Saint Benoit-Joseph Labre, Paris, Éditions Plon, 1957.
Le Roman de Jean-Jacques, Paris, Éditions du Sud, 1962.
La vie de Rimbaud, Paris, Éditions du Sud, 1965.
Nord-Flandre Artiois-Picardie, texte par André Dhôtel, photographies par Jacques Fronval, Christian de Rudder, Alain Perceval, Jacques Verroust, série Tourisme en France nr 17, Paris, Éditions SUN, 1971.
Jean Follain, série Poètes d'aujourd'hui nr 49, Paris, Éditions Pierre Seghers, 1972.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
La bibliographie de Dhotel est trop copieuse pour etre citée. Peut etre une centaine d' ouvrages, romans, nouvelles, essais.
On y retrouve constamment l' esprit d' enfance et ses illuminations, ses amours et ses escapades. L' enfance revisitée plutôt que sa nostalgie.
Et aussi Rimbaud dont il partageait un peu le territoire et en tout cas, sa présence l' accompagna sa vie durant.
On y retrouve constamment l' esprit d' enfance et ses illuminations, ses amours et ses escapades. L' enfance revisitée plutôt que sa nostalgie.
Et aussi Rimbaud dont il partageait un peu le territoire et en tout cas, sa présence l' accompagna sa vie durant.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
CONTE DE NOEL
Un éclair a chanté
sur la vallée déserte.
Mille oiseaux répondirent
et les renards sortis
du fond des bois coururent
parmi les fleurs ressuscitées.
Car un printemps d' une seconde
traversa l' heure de Noel
à preuve que la tempete
venue d' Orient soudain
au bord du pré s' agenouilla.
Personne ne l' apprit sinon
les voyageurs du train nocturne
obligés de stopper devant
un enfant qui dormait
environné par le miracle
dont il revait profondément
entre les rails illuminés.
Poèmes comme ça. - Le Temps qu' il fait
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
Merci Bix pour l'ouverture du fil
Une découverte . Merci l'inconnu de la boîte à livres donc .
Que dire ? Il y aurait tant .
Et les mots m'en tombent .
Je viens de survoler sa bibliographie et me rend compte qu'il fut prolifique .
Une seule lecture me laisse perplexe .
Il y aurait presque du réalisme magique à la française dans cette histoire d'âme à double visages .
L'écriture est simple , élégante , sans fioritures aucune . D'une apparence trompeuse , le contenu est complètement en opposition avec l'emballage où il fait bon (ou pas , ça peut irriter car toute l'intrigue semble reposer sur des sables mouvants ) de se laisser balader par un écrivain facétieux .
Une simple histoire d'amour ?
Un conte merveilleux destiné à nous faire décoller du plancher des vaches sans autre perspective de plaisir de l'évasion ? Une ode au monde merveilleux et magique du rêve ?
Un roman philosophique avec moult réflexions sur l'identité , le vrai du faux , l'authenticité du mensonge et la perversité de la réalité , l'évanescence des choses se confrontant à l'empreinte de la temporalité etc ?
Un univers à prismes multiples enchanteur , un pli où il fait bon se loger pour un lecteur joueur et bien loin de la fast food littéraire prédigérée .
Longue vie aux boîtes à livres .Rien que pour ça je suis motivée pour ma sortie mensuelle "à la ville" .
Une découverte . Merci l'inconnu de la boîte à livres donc .
Que dire ? Il y aurait tant .
Et les mots m'en tombent .
Je viens de survoler sa bibliographie et me rend compte qu'il fut prolifique .
Une seule lecture me laisse perplexe .
Il y aurait presque du réalisme magique à la française dans cette histoire d'âme à double visages .
L'écriture est simple , élégante , sans fioritures aucune . D'une apparence trompeuse , le contenu est complètement en opposition avec l'emballage où il fait bon (ou pas , ça peut irriter car toute l'intrigue semble reposer sur des sables mouvants ) de se laisser balader par un écrivain facétieux .
Une simple histoire d'amour ?
Un conte merveilleux destiné à nous faire décoller du plancher des vaches sans autre perspective de plaisir de l'évasion ? Une ode au monde merveilleux et magique du rêve ?
Un roman philosophique avec moult réflexions sur l'identité , le vrai du faux , l'authenticité du mensonge et la perversité de la réalité , l'évanescence des choses se confrontant à l'empreinte de la temporalité etc ?
Un univers à prismes multiples enchanteur , un pli où il fait bon se loger pour un lecteur joueur et bien loin de la fast food littéraire prédigérée .
Longue vie aux boîtes à livres .Rien que pour ça je suis motivée pour ma sortie mensuelle "à la ville" .
églantine- Messages : 4431
Date d'inscription : 02/12/2016
Localisation : Savoie
Re: André Dhôtel
merci églantine, tu m' incite à faire connaissance avec cet auteur. (j'ai deux livres dans ma pal)
_________________
“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21098
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 79
Localisation : En Provence
Re: André Dhôtel
Au village de Bergeloup, quand on joue aux billes sur le pavé, les billes tintent d'une façon extraordinaire. Elles chantent véritablement.
Si l'on parle dans la rue, la voix résonne comme au creux d'une vaste caverne. Lorsqu'un enfant court, on croirait un petit cheval au galop.
Dès qu'on n'entend plus rien, le silence vous entre dans les oreilles et vous tombe sur le dos. Alors on n'ose plus bouger, et on a l'idée que quelqu'un vous guette.
C'est que le village de Bergeloup s'élève dans la profondeur de la forêt. Entre les maisons et la lisière, il y a seulement, par endroits , l'intervalle de quelques jardins.
Le village de Bergeloup est presque abandonné. Voilà pourquoi les bois se sont avancés jusqu'à toucher les murs. D'abord les noisetiers et les ronciers se sont avancés, puis les charmes, les acacias et les chênes. Voilà pourquoi tous les bruits sont plus purs et plus forts que partout au monde.
Un pays perdu
Si l'on parle dans la rue, la voix résonne comme au creux d'une vaste caverne. Lorsqu'un enfant court, on croirait un petit cheval au galop.
Dès qu'on n'entend plus rien, le silence vous entre dans les oreilles et vous tombe sur le dos. Alors on n'ose plus bouger, et on a l'idée que quelqu'un vous guette.
C'est que le village de Bergeloup s'élève dans la profondeur de la forêt. Entre les maisons et la lisière, il y a seulement, par endroits , l'intervalle de quelques jardins.
Le village de Bergeloup est presque abandonné. Voilà pourquoi les bois se sont avancés jusqu'à toucher les murs. D'abord les noisetiers et les ronciers se sont avancés, puis les charmes, les acacias et les chênes. Voilà pourquoi tous les bruits sont plus purs et plus forts que partout au monde.
Un pays perdu
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
Le champ s'arrêtait de frémir, quand un orage venait, accueillant les bruits humains, la cloche et l'enclume, les pas sur la route.
Est-il possible que la vie soit ainsi ? Jacques et Jeanne travaillaient au jardin et leur tristesse était grande.
Autour de la rivière des marais s'étendent, dans lesquels ont voit une barque noyée dont la proue est au-dessus de l'eau. Les mouches à tête rouge viennent s'y poser. Un oiseau de proie a traversé, volant bas, près de son image reflétée dans l'eau, et vers les troncs échoués, des rats se sont élancés à la nage.
Entre la rivière et le village, des peupliers sont dressés. Lorsque l'orage approche, arrêtant le vent, l'essaim de leurs feuilles qui est le plus élevé résonne, car il perçoit encore une brise.
Les nuages se croisent. Le ciel de l'été devient plus grand.
Quelle détresse ou quelle joie familière ce peut être de regarder cette vieille femme chargée de sa hotte et qui rentre au village par un chemin.
Puis nous nous souviendrons aussi de ce chien abandonné que nous avons vu boire dans l'ornière, après la pluie, et dont un rayon de soleil oblique éclairait les yeux.
Campements
Est-il possible que la vie soit ainsi ? Jacques et Jeanne travaillaient au jardin et leur tristesse était grande.
Autour de la rivière des marais s'étendent, dans lesquels ont voit une barque noyée dont la proue est au-dessus de l'eau. Les mouches à tête rouge viennent s'y poser. Un oiseau de proie a traversé, volant bas, près de son image reflétée dans l'eau, et vers les troncs échoués, des rats se sont élancés à la nage.
Entre la rivière et le village, des peupliers sont dressés. Lorsque l'orage approche, arrêtant le vent, l'essaim de leurs feuilles qui est le plus élevé résonne, car il perçoit encore une brise.
Les nuages se croisent. Le ciel de l'été devient plus grand.
Quelle détresse ou quelle joie familière ce peut être de regarder cette vieille femme chargée de sa hotte et qui rentre au village par un chemin.
Puis nous nous souviendrons aussi de ce chien abandonné que nous avons vu boire dans l'ornière, après la pluie, et dont un rayon de soleil oblique éclairait les yeux.
Campements
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
Le pays ou l’on n’arrive jamais
Ce livre est sur ma LAL depuis des décennies ; en fait, j’aurais dû le lire avant l’adolescence. Il s’agit d’un texte assez onirique, un conte bleu qui a lieu principalement dans les Ardennes, les aventures de Gaspard, un gamin de quinze ans plus ou moins en fugue.
Un petit garçon blond aux yeux bleus qui se révèle être une fille (qu’attend la police du genre pour réécrire ce livre ?), un méchant, barbu et roux, qui s’appelle Parpoil (il n’est jamais trop tôt pour apprendre à reconnaître les vilains) ; c’est le monde de l’enfance, et aussi celui des camelots forains, des baladins ambulants, des « camp-volant » nomades et vagabonds.
Mots-clés : #enfance #litteraturejeunesse #reve #voyage
Ce livre est sur ma LAL depuis des décennies ; en fait, j’aurais dû le lire avant l’adolescence. Il s’agit d’un texte assez onirique, un conte bleu qui a lieu principalement dans les Ardennes, les aventures de Gaspard, un gamin de quinze ans plus ou moins en fugue.
Un petit garçon blond aux yeux bleus qui se révèle être une fille (qu’attend la police du genre pour réécrire ce livre ?), un méchant, barbu et roux, qui s’appelle Parpoil (il n’est jamais trop tôt pour apprendre à reconnaître les vilains) ; c’est le monde de l’enfance, et aussi celui des camelots forains, des baladins ambulants, des « camp-volant » nomades et vagabonds.
« C’était simplement la vie avec ses multiples chemins. »
« En regardant cette belle vallée [la Meuse], on a le loisir de songer que la terre entière c’est le grand pays, mais cela ne nous satisfait pas complètement. On se dit qu’il faut rendre la terre encore plus belle, par le bonheur des hommes et par les histoires que l’on reprend inlassablement. Il semble que la vie restera toujours inachevée. Mais on demande une chance supplémentaire. »
« L’horizon du grand pays recule sans cesse au fond de l’espace et du temps. C’est le pays où l’on s’éloigne toujours ensemble, et l’on ne parvient en un lieu désert que pour en trouver d’autres plus beaux. »
Mots-clés : #enfance #litteraturejeunesse #reve #voyage
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15609
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: André Dhôtel
Peut etre un peu surfait si on le lit adulte ?
Mais il y a d'autres livres de Dhotel qui valent le détour.
Mais il y a d'autres livres de Dhotel qui valent le détour.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
Tu suggérerais lesquels ?Bix a écrit:Mais il y a d'autres livres de Dhotel qui valent le détour.
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15609
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
Re: André Dhôtel
Le temps a fait son travail d'oubli.
Sans doute ceux cités : Ma chère ame, Un pays perdu.
Plus La Route inconnue, Les Disparus, Pays natal.
Mais le charme de Dhotel n'opère pas forcément,
meme s'il a toujours été fidèle à lui-meme.
Sans doute ceux cités : Ma chère ame, Un pays perdu.
Plus La Route inconnue, Les Disparus, Pays natal.
Mais le charme de Dhotel n'opère pas forcément,
meme s'il a toujours été fidèle à lui-meme.
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: André Dhôtel
Je l'ai lu avant l'adolescence, Le pays où l'on n'arrive jamais. J'hésite à le relire...
Quasimodo- Messages : 5461
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 28
Re: André Dhôtel
Tristram a écrit:[ en fait, j’aurais dû le lire avant l’adolescence.
Ca a été LE livre de mon adolescence.
_________________
Etre dans le vent, c'est l'histoire d'une feuille morte.
Flore Vasseur
topocl- Messages : 8414
Date d'inscription : 02/12/2016
Age : 64
Localisation : Roanne
Re: André Dhôtel
J'ai donc raté l'occasion de nous rencontrer...
_________________
« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15609
Date d'inscription : 09/12/2016
Age : 67
Localisation : Guyane
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