Olivier Rolin
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Re: Olivier Rolin
merci topocl et Tristram !
je note Méroé pour le prochain
oui élégance me va
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 21164
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Re: Olivier Rolin
Baïkal- Amour
Et nous voila partis pour un nouveau voyage en train rolinesque à travers la Russie orientale, ses bouleaux sans fin, ses villes dévastées, ses entrepôts abandonnés. On fréquente des rêveuses revêches, et des voyageurs hospitaliers, on habite des chambres d’hôtel glauques qu'on a l'impression de déjà connaître. Au début ça a des petits relans de déjà vu, de paresseuse soirée-photos entre amis avec quelques anecdotes rigolotes, des descriptions sympas, une petite transmission de connaissance qui sera vite oubliée. Puis insensiblement le charme opère, la pression des milliers de déportés, célèbres ou anonymes, qui on hanté ces régions, vite oubliés, se glisse peu à peu entre les mots et confère un poids, un sens à cette écriture sobre, sombre, pleine de retenue et d'humour, une mélancolie enveloppante.
mots-clés : #campsconcentration #devoirdememoire #voyage
Et nous voila partis pour un nouveau voyage en train rolinesque à travers la Russie orientale, ses bouleaux sans fin, ses villes dévastées, ses entrepôts abandonnés. On fréquente des rêveuses revêches, et des voyageurs hospitaliers, on habite des chambres d’hôtel glauques qu'on a l'impression de déjà connaître. Au début ça a des petits relans de déjà vu, de paresseuse soirée-photos entre amis avec quelques anecdotes rigolotes, des descriptions sympas, une petite transmission de connaissance qui sera vite oubliée. Puis insensiblement le charme opère, la pression des milliers de déportés, célèbres ou anonymes, qui on hanté ces régions, vite oubliés, se glisse peu à peu entre les mots et confère un poids, un sens à cette écriture sobre, sombre, pleine de retenue et d'humour, une mélancolie enveloppante.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
Un chasseur de lions
Retour à l’auto-tutoiement, une variation du « je » à la Carrère, et pour le coup ça m’a plutôt déplu. Cette lecture n’aurait pas supporté la proximité avec celle de Flannery O’Connor ? est-elle trop proche de mes propres penchants pervers ?
Il m’a paru que tout y sonne faux, l’humour désinvolte, le badin étalage de culture et d’anecdotes historiques (tant qu'à faire, Rolin aurait pu citer Leiris à propos de l’Olympia de Manet, et Jean Raspail à propos des Patagonie et Terre de Feu…), la raillerie sans empathie pour son personnage d’élection, les allusions à sa vie "privée" (sous-entendus coquins) sans autre rapport avec l’histoire que les lieux (souvent devenus méconnaissables avec le temps), des rapprochements douteux, certains commentaires déplaisants, voire vulgaires, et généralement sans intérêt, bref une sorte de potin mondain où l’auteur aurait ses aises sinon les usages ‒ à moins qu’une fine autobiocritique…
Mais je crois que ce qui m’a vraiment agacé dans ce livre auto-satisfait (et condescendant sinon méchant pour son modèle), c’est le complaisant consensus avec l'opinion commune d'aujourd'hui : on ne s'évade pas, on se congratule en confortant le bon ton contemporain.
mots-clés : #aventure #voyage #xixesiecle
Retour à l’auto-tutoiement, une variation du « je » à la Carrère, et pour le coup ça m’a plutôt déplu. Cette lecture n’aurait pas supporté la proximité avec celle de Flannery O’Connor ? est-elle trop proche de mes propres penchants pervers ?
Il m’a paru que tout y sonne faux, l’humour désinvolte, le badin étalage de culture et d’anecdotes historiques (tant qu'à faire, Rolin aurait pu citer Leiris à propos de l’Olympia de Manet, et Jean Raspail à propos des Patagonie et Terre de Feu…), la raillerie sans empathie pour son personnage d’élection, les allusions à sa vie "privée" (sous-entendus coquins) sans autre rapport avec l’histoire que les lieux (souvent devenus méconnaissables avec le temps), des rapprochements douteux, certains commentaires déplaisants, voire vulgaires, et généralement sans intérêt, bref une sorte de potin mondain où l’auteur aurait ses aises sinon les usages ‒ à moins qu’une fine autobiocritique…
…voire une incarnation au second degré…« …] des gloires littéraires ou artistiques pour lesquelles il éprouve une naïve admiration : il sent qu’il y a chez ces esprits-là quelque chose de délié qui lui sera toujours étranger. Sa lourdeur, il lui arrive d’en être conscient, et qu’elle l’embarrasse et l’attriste. »
Bref, la bio d’un Tartarin ami de Manet, occasion de parler de ce dernier et de son époque, ainsi que de vadrouiller sur ses traces, ici à Lima :« Des chasseurs de lions, le plus bavard est celui de Javier Tomeo, le plus lamentable est le fameux Tartarin, de Daudet l’enculeur (pourquoi ce livre minable, puérile pochade colportant les plus plats clichés folklorisants et colonialistes, suite de gags téléphonés propres à faire rire des idiots, était-il tenu par l’école laïque et républicaine de ton enfance pour l’introduction nécessaire, avec quelques autres œuvrettes de Daudet, à la littérature française ? »
Le procédé est pourtant prometteur (et s’il n’est pas nouveau, avec des marques de noblesse comme le Ravel d’Echenoz, il devrait y avoir encore de belles réalisations à venir) : l’auteur n’occulte pas sa présence (de toute façon inévitable) dans le récit :« Combien les vulgarités du paganisme catholique te paraissent belles, touchantes, en regard de celles du commerce mondialisé… Vierges rutilantes, Christs sanguinolents, enfants Jésus à la tête hérissée d’aigrettes dorées, saintes poupées couronnées, enjuponnées, au fond de châsses de verre éclairées au néon, comme des poissons exotiques dans un aquarium. »
Les expéditions d’Eugène Pertuiset auraient pu être l’occasion de descriptions dépaysantes (quitte à sortir des tableaux) :« (Tu te rends au 1, rue du Dôme. Cela fait longtemps que, de ces hauteurs de Chaillot, on ne le voit plus, ce dôme des Invalides qui a donné son nom à la rue, qu’on voit aussi sur le tableau où Berthe a figuré Edma, ou Yves, accoudée au balcon de la rue Franklin, non loin de là, en robe noire, son profil de jolie renarde penché au-dessus des toits de Paris. L’idée a quelque chose de séduisant, d’une rue tirant son nom des lointains qu’on y découvrait, et qui ont désormais disparu derrière la croissance de la ville. On se demande, même, si ça n’a pas quelque chose à voir avec la littérature, ce nom qui parle d’une perspective effacée, qui inscrit une présence abolie. Tout a à voir avec la littérature. »
On a quand même quelques scènes, de rixe notamment, surtout celle de la soirée artistique/ bohème à Paris, ainsi que la femme Selknam (qui offre son sein, puis un couvercle de boîte de sardines) :« On atteint des savanes de hautes herbes bleues où on enfonce jusqu’à la poitrine. »
En veine de psychanalyse de comptoir, je pointerai ce titillant "surmoi" :« Rassurée peu à peu, elle lui manifeste sa gratitude en lui offrant le sein. Le gros bébé ne dirait pas non, mais il est un chef… Comme il refuse poliment, elle lui offre un couvercle de boîte de sardines que les courants, sans doute, ont porté sur les rivages de la Terre de Feu et qu’elle garde avec elle, dans une petite poche d’écorce, comme une chose très précieuse. (Abîmes humains rayonnant autour d’une simple chose ! Merveilleux romanesque endormi dans les modestes objets du monde, attendant d’en être éveillé par le pouvoir magique des mots ! Cette boîte, fabriquée dans une conserverie de Douarnenez, passée de là en Angleterre puis en Inde, embarquée à Calcutta sur un clipper, lichée en douce par un matelot écossais au passage du cap Froward, a été jetée par lui à la mer, vifs éclats dorés que noie le sillage tandis qu’il essuie ses doigts huileux à la toile de son pantalon. Elle lui vaut vingt coups de garcette, car il l’a volée à la cambuse. Le ressentiment qu’il éprouve de cette punition le jette dans une carrière de petit voyou puis, de fil en aiguille, d’assassin. Il monte les marches du gibet à Glasgow vers l’époque où la femme Selknam découvre, sur le rivage de la baie Inutile, une mince lame de fer étamé, courbée comme un copeau, où se devine encore, estompé par le sel, le visage d’une Bretonne en coiffe.) »
Et j’imagine parfaitement le type en cravate rouge, une grande et large qui descend jusqu’à mi-cuisses…« Voilà ce que veut dire Le Balcon, et que comprend parfaitement le type en cravate bleue, en costume de surmoi, au centre, qui a l’air de ne pas savoir que faire de ses mains. »
Mais je crois que ce qui m’a vraiment agacé dans ce livre auto-satisfait (et condescendant sinon méchant pour son modèle), c’est le complaisant consensus avec l'opinion commune d'aujourd'hui : on ne s'évade pas, on se congratule en confortant le bon ton contemporain.
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15648
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Re: Olivier Rolin
Faudrait que je le relise avec un œil plus critique, alors.
C'est pas souvent que tu es dur,Tristram, mais ça tient la route.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
Je l'ai perçu comme ça, et ça tient à moi, mais c'est un des points de vue que permet ce livre...
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Tristram- Messages : 15648
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Re: Olivier Rolin
Bien sûr. C'est incroyable à quel point je suis tolérante, j'autorise même qu'on critique Olivier Rolin (dont ce n’est pas le meilleur, je te l'accorde)
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topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
Bravo et merci pour ta tolérance ! Il est vrai aussi que j'avais pris plaisir à lire Port-Soudan et Méroé, qui font contraste me semble-t-il...
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Tristram- Messages : 15648
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Re: Olivier Rolin
Oui, on n'est pas dans la même cour.
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topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
Voici un article sur L'Invention du monde, http://revuepostures.com/fr/articles/ali-21, qui en précise toute l'ambition joycienne (et shéhérazadienne) dans une sorte d'apothéose de l'intertextualité (références et réécritures), roman plus éloge du verbe que narration du monde, totalisant monde-bibliothèque, poème-monde dans son immédiateté, "vertige de l’interminable".
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Tristram- Messages : 15648
Date d'inscription : 09/12/2016
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Re: Olivier Rolin
Mais quel charabia !
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Olivier Rolin
Si tu parles de l'article, ce n'est pas faux : l'auteure n'atteint pas à ma clarté d'éloculubration.
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Tristram- Messages : 15648
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Re: Olivier Rolin
Oui, on se croirait en période structuraliste !
Olivier Rolin peut se passer de ce genre de commentaire, je pense.
Olivier Rolin peut se passer de ce genre de commentaire, je pense.
Dernière édition par bix_229 le Sam 27 Juil - 17:54, édité 1 fois
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Olivier Rolin
Ah ! Lévi-Strauss !
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Tristram- Messages : 15648
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Re: Olivier Rolin
Extérieur monde
Il y a des erreurs de jeunesse. Eh bien là, je vais peut-être plutôt parler d’une erreur de vieillesse. Olivier Rolin réalise qu’il arrive à un moment de sa vie où on ne parle plus du « temps qui passe » mais « du temps qui reste ». Il se dit que c’est peut-être le moment de se retourner en arrière.
Mais comme il tient à être un écrivain singulier, un Écrivain, quoi, il ne va pas s’en tenir à écrire de vulgaires mémoires, très peu pour lui. Il lui faut un truc plus original, rien qu‘à lui. Adieu l’ordre chronologique, voilà un bouquin en train de s’écrire, bienvenues les errances de la mémoires, les digressions et associations d’idées ! Formidable ! Mais quand même avec un peu des thèmes, restons raisonnables et et assez basiques, des rolinades on dira : les femmes qui m’ont fait rêver, les lieux oùj’ai eu le plus le bourdon, les alcools que j’ai dégustées, les carnets où je prends des notes, les livres qui m’ont marqué, les cafés dont je me souviens etc... Mais quand même en entretenant un certain désordre, c’est mieux.
Alors il y a des passages magnifiques, des portraits saisissants, des descriptions épatantes. Il y a toujours l’humour-Rolin nonchalant, une autodérision (parfois un peu surfaite?), une érudition et une vie unique de bourlingueur du monde, dans la proximité avec les gens. Mais aussi un fouillis abominable, des moments d’ennuis profonds, l’impression d’une certaine vanité et d’un narcissisme tout aussi certain.
Ou alors on trouve que c’est ça, la littérature, ce fouillis créatif qui ne s’occupe pas du lecteur. Ou alors, comme moi, on vit ça comme une soirée diapo chez un ami, non seulement il faut se tartir toutes les innombrables diapos, les commentaires passionnés sur des lieux dont on ne connaît même pas le nom, mais en plus le gars qui invite a laissé échapper le panier-photo, n’ a pas pris le temps de re-ranger, et c’est tout sans dessus-dessous. C’est un copain alors on ne dit rien. Mais, bon…..la prochaine fois, on se demande si on ne trouvera pas une décale.
Mots-clés : #autobiographie #voyage
Il y a des erreurs de jeunesse. Eh bien là, je vais peut-être plutôt parler d’une erreur de vieillesse. Olivier Rolin réalise qu’il arrive à un moment de sa vie où on ne parle plus du « temps qui passe » mais « du temps qui reste ». Il se dit que c’est peut-être le moment de se retourner en arrière.
Mais comme il tient à être un écrivain singulier, un Écrivain, quoi, il ne va pas s’en tenir à écrire de vulgaires mémoires, très peu pour lui. Il lui faut un truc plus original, rien qu‘à lui. Adieu l’ordre chronologique, voilà un bouquin en train de s’écrire, bienvenues les errances de la mémoires, les digressions et associations d’idées ! Formidable ! Mais quand même avec un peu des thèmes, restons raisonnables et et assez basiques, des rolinades on dira : les femmes qui m’ont fait rêver, les lieux oùj’ai eu le plus le bourdon, les alcools que j’ai dégustées, les carnets où je prends des notes, les livres qui m’ont marqué, les cafés dont je me souviens etc... Mais quand même en entretenant un certain désordre, c’est mieux.
Alors il y a des passages magnifiques, des portraits saisissants, des descriptions épatantes. Il y a toujours l’humour-Rolin nonchalant, une autodérision (parfois un peu surfaite?), une érudition et une vie unique de bourlingueur du monde, dans la proximité avec les gens. Mais aussi un fouillis abominable, des moments d’ennuis profonds, l’impression d’une certaine vanité et d’un narcissisme tout aussi certain.
Ou alors on trouve que c’est ça, la littérature, ce fouillis créatif qui ne s’occupe pas du lecteur. Ou alors, comme moi, on vit ça comme une soirée diapo chez un ami, non seulement il faut se tartir toutes les innombrables diapos, les commentaires passionnés sur des lieux dont on ne connaît même pas le nom, mais en plus le gars qui invite a laissé échapper le panier-photo, n’ a pas pris le temps de re-ranger, et c’est tout sans dessus-dessous. C’est un copain alors on ne dit rien. Mais, bon…..la prochaine fois, on se demande si on ne trouvera pas une décale.
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
Les Rolin sont les chouchous de Topocl et ce n'est pas une fake news !
bix_229- Messages : 15439
Date d'inscription : 06/12/2016
Localisation : Lauragais
Re: Olivier Rolin
Ouais c’est mes chouchous, mais c'est pas une raison pour aller jusqu'au bout de la démarche narcissique paresseuse, je compte sur lui pour faire mieux la prochaine fois!
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
animal a écrit:c'est mignon "se tartir".
J'aime aussi "se trouver une décale".
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"Et au plus eslevé trone du monde, si ne sommes assis, que sus notre cul." (Michel de Montaigne)
Armor- Messages : 4589
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Localisation : A l'Aise Breizh
Re: Olivier Rolin
Je crois qu'en langage d'aujourd'hui on dit "j'ai piscine" .Armor a écrit:J'aime aussi "se trouver une décale".
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8434
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Re: Olivier Rolin
Armor a écrit:animal a écrit:c'est mignon "se tartir".
J'aime aussi "se trouver une décale".
oui, les deux
anagramme- Messages : 1367
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