Javier Cercas
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Re: Javier Cercas
je plussoie
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“Lire et aimer le roman d'un salaud n'est pas lui donner une quelconque absolution, partager ses convictions ou devenir son complice, c'est reconnaître son talent, pas sa moralité ou son idéal.”
― Le club des incorrigibles optimistes de Jean-Michel Guenassia
[/i]
"Il n'y a pas de mauvais livres. Ce qui est mauvais c'est de les craindre." L'homme de Kiev Malamud
Bédoulène- Messages : 20716
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Re: Javier Cercas
topocl a écrit:Les soldats de Salamine?
Alléchant si c'est ce que je pense : la grèce et la Perse, l'Histoire, d-s que possible je passe à ma librairie...Merci amiga.
Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
Bédoulène a écrit:je plussoie

Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
Chamaco a écrit:topocl a écrit:Les soldats de Salamine?
Alléchant si c'est ce que je pense : la grèce et la Perse, l'Histoire, d-s que possible je passe à ma librairie...Merci amiga.
ah bin non rien a voir c'est la guerre civile espagnole, je prend quand même

Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
Tu peux avoir une petite louche de guerre du Vietnam avec A la vitesse de la lumière
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Flore Vasseur
topocl- Messages : 8341
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Re: Javier Cercas
Merci
Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
Le Cercas est arrivé en librairie en Corse, je l'achete cet'aprem...Je manquais de lecture le soir avant de m'endormir avec Clio...
Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
Je viens de recevoir le livre de Cercas, parcouru la couverture il semble possible de faire un parallele entre "les lois de la frontière" et "les guerriers de Salamine", dans le film tiré du premier à la fin ce sont les paroles du père et la decision du policier qui ont decidé de l'avenir du jeune héros,, dans le second un regard aurait décidé du destin...
Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
J'ai connu la Barcelone de l'année 70 et les patrouilles tres craintes de la Guardia civile de Franco dans les rues la nuit, j'en garde le souvenir...Tout le monde fuyait et se refugiait dans les immeubles ou les bars du barrio Chino.
Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
Les soldats de Salamine
Pour l'instant plus de 40 pages sur la non-execution de Mazas, un peu repetitif non..?
Pour l'instant plus de 40 pages sur la non-execution de Mazas, un peu repetitif non..?
Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
continue
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Bédoulène- Messages : 20716
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Re: Javier Cercas
Bédoulène a écrit:continue
j'ai continué et effectivement je comprend pourquoi...

Chamaco- Messages : 4217
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Re: Javier Cercas
L'imposteur

Cercas détaille comme, troublé par l'histoire d’Enric Marco, « le grand imposteur et le grand maudit » qui s'est fait passer pour un survivant des camps de concentration et est devenu une célébrité espagnole de la mémoire historique des horreurs nazies, il s’est finalement résolu à écrire ce roman non fictionnel. « Comprendre, est-ce justifier ? » N’est-il pas lui-même un imposteur ?
D’après Tzvetan Todorov :
Intéressantes questions du kitch du narcissique, et du mensonge (peut-il être légitime ? un roman est-il mensonge ?)
Manifestement basée sur une abondante documentation, cette étude approfondie, fouillée dans toutes ses ramifications tant historiques que psychologiques ou morales, évoque aussi le rôle de la fiction comme expression de la vérité.
\Mots-clés : #biographie #campsconcentration #devoirdememoire #ecriture #guerredespagne #historique #politique #psychologique #xxesiecle

Cercas détaille comme, troublé par l'histoire d’Enric Marco, « le grand imposteur et le grand maudit » qui s'est fait passer pour un survivant des camps de concentration et est devenu une célébrité espagnole de la mémoire historique des horreurs nazies, il s’est finalement résolu à écrire ce roman non fictionnel. « Comprendre, est-ce justifier ? » N’est-il pas lui-même un imposteur ?
Simultanément s’entrelace l’histoire de Marco depuis l’enfance, retiré nourrisson à sa mère enfermée à l’asile psychiatrique ; il aurait été maltraité par sa marâtre et ignoré par son père ouvrier libertaire, puis ballotté d’un foyer à l’autre, marqué par les évènements de la tentative d’indépendance catalane d’octobre 1934, juste avant que le putsch et la guerre civile éclatent. Cercas a longuement interviewé Marco, un vieillard fort dynamique, bavard et imbu de lui-même, criant à l’injustice parce qu’il aurait combattu pour une juste cause.« La pensée et l’art, me disais-je, essaient d’explorer ce que nous sommes, ils révèlent notre infinie variété, ambiguë et contradictoire, ils cartographient ainsi notre nature : Shakespeare et Dostoïevski, me disais-je, éclairent les labyrinthes de la morale jusque dans leurs derniers recoins, ils démontrent que l’amour est capable de conduire à l’assassinat ou au suicide et ils réussissent à nous faire ressentir de la compassion pour les psychopathes et les scélérats ; c’est leur devoir, me disais-je, parce que le devoir de l’art (ou de la pensée) consiste à nous montrer la complexité de l’existence, afin de nous rendre plus complexes, à analyser les ressorts du mal pour pouvoir s’en éloigner, et même du bien, pour pouvoir peut-être l’apprendre. »
« Un génie ou presque. Car il est bien sûr difficile de se départir de l’idée que certaines faiblesses collectives ont rendu possible le triomphe de la bouffonnerie de Marco. Celui-ci, tout d’abord, a été le produit de deux prestiges parallèles et indépassables : le prestige de la victime et le prestige du témoin ; personne n’ose mettre en doute l’autorité de la victime, personne n’ose mettre en doute l’autorité du témoin : le retrait pusillanime devant cette double subornation – la première d’ordre moral, la seconde d’ordre intellectuel – a fait le lit de l’escroquerie de Marco. »
« Depuis un certain temps, la psychologie insiste sur le fait qu’on peut à peine vivre sans mentir, que l’homme est un animal qui ment : la vie en société exige cette dose de mensonge qu’on appelle éducation (et que seuls les hypocrites confondent avec l’hypocrisie) ; Marco a amplifié et a perverti monstrueusement cette nécessité humaine. En ce sens, il ressemble à Don Quichotte ou à Emma Bovary, deux autres grands menteurs qui, comme Marco, ne se sont pas résignés à la grisaille de leur vie réelle et qui se sont inventés et qui ont vécu une vie héroïque fictive ; en ce sens, il y a quelque chose dans le destin de Marco, comme dans celui de Don Quichotte et d’Emma Bovary, qui nous concerne profondément tous : nous jouons tous un rôle ; nous sommes tous qui nous ne sommes pas ; d’une certaine façon, nous sommes tous Enric Marco. »
D’après Tzvetan Todorov :
Militant anarcho-syndicaliste, Marco aurait combattu dans les rangs de la République, et Cercas analyse le « processus d’invention rétrospective de sa biographie glorieuse » chez ce dernier.« [Les victimes] n’ont pas à essayer de comprendre leurs bourreaux, disait Todorov, parce que la compréhension implique une identification avec eux, si partielle et provisoire qu’elle soit, et cela peut entraîner l’anéantissement de soi-même. Mais nous, les autres, nous ne pouvons pas faire l’économie de l’effort consistant à comprendre le mal, surtout le mal extrême, parce que, et c’était la conclusion de Todorov, “comprendre le mal ne signifie pas le justifier mais se doter des moyens pour empêcher son retour”. »
Cercas ne ménage pas les redites, procédé (didactique ?) un peu lassant.« Et je me suis dit, encore une fois, que tout grand mensonge se fabrique avec de petites vérités, en est pétri. Mais j’ai aussi pensé que, malgré la vérité documentée et imprévue qui venait de surgir, la plus grande partie de l’aventure guerrière de Marco était un mensonge, une invention de plus de son égocentrisme et de son insatiable désir de notoriété. »
Cercas évoque De sang-froid de Truman Capote et L’Adversaire d’Emmanuel Carrère, deux « chefs-d’œuvre » du « roman sans fiction » dont il juge le premier auteur atteint de « turpitude » pour avoir laissé espérer tout en souhaitant leur exécution les deux meurtriers condamnés à mort, et doute du procédé du second, présent à la première personne dans son récit peut-être pour se donner une légitimité morale fallacieuse.« Parce que le passé ne passe jamais, il n’est même pas le passé – c’est Faulkner qui l’a dit ; le passé n’est qu’une dimension du présent. »
« Mais nous savons déjà qu’on n’arrive pas à dépasser le passé ou qu’il est très difficile de le faire, que le passé ne passe jamais, qu’il n’est même pas le passé – c’est Faulkner qui l’a dit –, qu’il n’est qu’une dimension du présent. »
« La raison essentielle a été sa découverte du pouvoir du passé : il a découvert que le passé ne passe jamais ou que, du moins, son passé à lui et celui de son pays n’étaient pas passés, et il a découvert que celui qui a la maîtrise du passé a celle du présent et celle de l’avenir ; ainsi, en plus de changer de nouveau et radicalement tout ce qu’il avait changé pendant sa première grande réinvention (son métier, sa ville, sa femme, sa famille, jusqu’à son nom), il a également décidé de changer son passé. »
Intéressantes questions du kitch du narcissique, et du mensonge (peut-il être légitime ? un roman est-il mensonge ?)
En fait de déportation, Marco a été travailleur volontaire en Allemagne fin 1941, et emprisonné au bout de trois mois comme « volontaire communiste ». Revenu en Espagne, il a effectivement connu « les prisons franquistes, non comme prisonnier politique mais comme détenu de droit commun. » Il abandonne ses premiers femme et enfants, change de nom pour refaire sa vie (grand lecteur autodidacte, il suit des cours universitaires d’histoire) – et devenir le secrétaire général de la CNT, le syndicat anarchiste, puis président de l’Amicale de Mauthausen, l’association des anciens déportés espagnols. Il a toujours été un séducteur, un amuseur, un bouffon qui veut plus que tout qu’on l’aime et qu’on l’admire.« Il y a deux mille quatre cents ans, Gorgias, cité par Plutarque, l’a dit de façon indépassable : “La poésie [c’est-à-dire, la fiction] est une tromperie où celui qui trompe est plus honnête que celui qui ne trompe pas et où celui qui se laisse tromper est plus sage que celui qui ne se laisse pas tromper.” »
Après la Transition de la dictature franquiste à la démocratie, la génération qui n’avait pas connu la guerre civile a plébiscité le concept de “mémoire historique”, qui devait reconnaître le statut des victimes.« …] de même, certaines qualités personnelles l’ont beaucoup aidé : ses dons exceptionnels d’orateur, son activisme frénétique, ses talents extraordinaires de comédien et son manque de convictions politiques sérieuses – en réalité, l’objectif principal de Marco était de faire la une et satisfaire ainsi sa médiapathie, son besoin d’être aimé et admiré et son désir d’être en toute occasion la vedette – de sorte qu’un jour il pouvait dire une chose et le lendemain son contraire, et surtout il pouvait dire aux uns et aux autres ce qu’ils voulaient entendre. »
« Le résultat du mélange d’une vérité et d’un mensonge est toujours un mensonge, sauf dans les romans où c’est une vérité. »
« Marco a fait un roman de sa vie. C’est pourquoi il nous paraît horrible : parce qu’il n’a pas accepté d’être ce qu’il était et qu’il a eu l’audace et l’insolence de s’inventer à coups de mensonges ; parce que les mensonges ne conviennent pas du tout à la vie, même s’ils conviennent très bien aux romans. Dans tous les romans, bien entendu, sauf dans un roman sans fiction ou dans un récit réel. Dans tous les livres, sauf dans celui-ci. »
Cercas raconte ensuite comment l’historien Benito Bermejo a découvert l’imposture de Marco, alors devenu un héros national, et s’est résolu à la rendre publique (c’est loin d’être la seule du même genre). Marco tente depuis de se justifier par son réel travail de défense de la cause mémorielle. Cercas décrit ses rapports avec Marco partagé entre le désir d’être le personnage de son livre, et le dépit de ne pas pouvoir contrôler ce dernier.« La démocratie espagnole s’est construite sur un grand mensonge, ou plutôt sur une longue série de petits mensonges individuels, parce que, et Marco le savait mieux que quiconque, dans la transition de la dictature à la démocratie, énormément de gens se sont construit un passé fictif, mentant sur le passé véritable ou le maquillant ou l’embellissant [… »
Opiniâtre quant à la recherche de la vérité, outre ses pensées Cercas détaille son ressenti, qui va du dégoût initial à une certaine sympathie ; "donquichottesque", il pense même un temps à sauver Marco non pas en le réhabilitant, mais en le plaçant devant la vérité…« — S’il te plaît, laisse-moi quelque chose. »
Manifestement basée sur une abondante documentation, cette étude approfondie, fouillée dans toutes ses ramifications tant historiques que psychologiques ou morales, évoque aussi le rôle de la fiction comme expression de la vérité.
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« Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction ; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. »
Tristram- Messages : 15383
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Re: Javier Cercas
tu en penses quoi de ses critiques des livres de Truman Capote et Carrère ?
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Bédoulène- Messages : 20716
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Re: Javier Cercas
Pour ce qui est de Capote, le livre m'avait impressionné, mais je ne savais rien de l'attitude douteuse de l'auteur (selon Cercas) ni même de sa vie privée.
L'Adversaire est effectivement contaminé par ce qu'on peut considérer comme l'agaçant nombrilisme de l'auteur, mais se placer "honnêtement" comme l'investigateur, avec ses doutes et ses limites, est une démarche pertinente en soi, ne serait-ce que pour éviter d'asséner des faits dont le lecteur ne saurait pas d'où ils viennent à un auteur omniscient. Le ressenti personnel est aussi plus circonscrit.
En parlant de limites, je me demande encore l'intérêt pour Cercas de préciser les vêtements qu'il portait lui-même lors de la visite de tel camp de concentration. Il indique sans doute ainsi qu'il se réfère au film que son fils tourna pour documenter ladite visite, mais ça me paraît quand même plutôt déplacé.
Une approche factuelle, clinique, le plus exhaustive possible, me semble plus intéressante qu'une discutable "incarnation" fictive, comme dans Errance de Lawrence Block, encore qu'il y en a d'excellentes.
En tout cas s'emparer personnellement d'un fait divers réel est toujours gênant, sinon dangereux, cf. Le Dalhia noir de James Ellroy.
L'Adversaire est effectivement contaminé par ce qu'on peut considérer comme l'agaçant nombrilisme de l'auteur, mais se placer "honnêtement" comme l'investigateur, avec ses doutes et ses limites, est une démarche pertinente en soi, ne serait-ce que pour éviter d'asséner des faits dont le lecteur ne saurait pas d'où ils viennent à un auteur omniscient. Le ressenti personnel est aussi plus circonscrit.
En parlant de limites, je me demande encore l'intérêt pour Cercas de préciser les vêtements qu'il portait lui-même lors de la visite de tel camp de concentration. Il indique sans doute ainsi qu'il se réfère au film que son fils tourna pour documenter ladite visite, mais ça me paraît quand même plutôt déplacé.
Une approche factuelle, clinique, le plus exhaustive possible, me semble plus intéressante qu'une discutable "incarnation" fictive, comme dans Errance de Lawrence Block, encore qu'il y en a d'excellentes.
En tout cas s'emparer personnellement d'un fait divers réel est toujours gênant, sinon dangereux, cf. Le Dalhia noir de James Ellroy.
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Tristram- Messages : 15383
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Re: Javier Cercas
oh la vie de J.Ellroy m'avait impressionnée.
pour Capote j'ai vu le film mais ai-je lu le livre ? (et je viens de lire wikipedia)
pour Capote j'ai vu le film mais ai-je lu le livre ? (et je viens de lire wikipedia)
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Des Choses à lire :: Lectures par auteurs :: Écrivains de la péninsule Ibérique
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